Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

In Nomine Domini

In Nomine Domini

« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Le Diable singe de la vérité

Publié par Jean-Baptiste sur 13 Décembre 2013, 08:46am

Catégories : #Paul VI

Même dans les fausses révélations, il est parfois possible de déceler des éléments intéressants : car le démon se plaît à singer la vérité. Sainte Thérèse d'Avila disait à ce sujet : prenez ce qui est vrai et laissez le reste, le Diable sera bien attrapé. Ainsi, le 27 février 2002, une espagnole prétendit recevoir un message du Christ, qui n'était en réalité qu'une supercherie démoniaque ; or, ce message, qui portait sur les signes précurseurs du Grand Avertissement de Garabandal, énonça comme premier signe : « la fuite du Pape de Rome et son faux enterrement, la nomination de l'anti-pape ». Cette fausse révélation évoquait littéralement Jean-Paul II. On attend toujours de voir qu'il ait été faussement enterré, et qu'il ait fuit Rome ! Mais ceci ne vous rappelle-t-il rien ? C'est précisément ce que Paul VI dut subir : le sosie enterré à sa place, et dont les exorcismes nous ont dit que le tombeau était rempli de pierres (pour dissimuler son empoisonnement), puis l'usurpation du Saint-Siège par « le pire antipape de l'histoire » prédit à Bayside (Jean-Paul II), et enfin l'exil de Rome le 12 juillet 1981.

J'ai expliqué que cet exil était l'une des preuves de la vérité des messages de Bayside antérieurs à 1978, mais en même temps la preuve de leur fausseté après ! Car si l'on acceptait l'idée de la mort de Paul VI en 1978, les prophéties de Bayside relatives à ses deux exils seraient totalement dénuées d'accomplissement ! La fausse révélation citée précédemment démontre les mêmes singeries diaboliques qu'à Bayside, où les apparitions postérieures à 1978 répétaient comme un disque rayé : « il y a un plan pour retirer votre Saint-Père ». Le démon répétait ce qui avait été dit quant à Paul VI avant 1978 ! Mieux encore, il fit même ce mensonge pitoyable le 18 juin 1988 : « celui qui vient après est celui qui détruira. » Or, j'ai démontré que cette formule avait déjà été utilisée sous Paul VI, le pronom démonstratif excluant qu'il puisse s'agir de quelqu'un d'autre que le successeur de Paul VI (Jean-Paul Ier n'ayant pas été compté, en raison de son très court « règne » dû à l'assassinat). Les ruses du démon sont parfois bien misérables !

Les fausses révélations peuvent renfermer bien des surprises !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents