Je vous annonce la publication de mon dernier ouvrage, qui sera également disponible en version papier (dans une version probablement augmentée, au moins quelque peu) : La survie du Pape Paul VI prédite par l'apôtre saint Jean.
Cet ouvrage démontre de manière précise que l'Apocalypse décrit l'élection d'un pape avant la grande apostasie du clergé romain, puis son exil pendant cette apostasie, et enfin son retour et son jugement à l'encontre de la Grande Prostituée, à savoir la Rome infidèle. Je décris la symbolique du langage utilisé par saint Jean, admirablement exposée par le Père Kramer. Je cite les analyses de ce dernier en corrigeant ses erreurs (notamment sa confusion du règne de la Grande Prostituée et de celui de l'Antéchrist), en peignant un tableau limpide du déroulement des événements tels que décrits du chapitre XII au chapitre XVIII.
Le chapitre XII montre les deux phases du combat à venir : l'un interne à l'Église, par l'infiltration du clergé (le règne de la Grande Prostituée, à savoir la contre-Église), et l'autre externe (le règne de l'Antéchrist).
Le chapitre XIII décrit la Grande Prostituée et ses deux bêtes (bête de la terre et bête de la mer).
Le chapitre XIV annonce le triomphe de l'Église et décrit la manière dont il s'opérera : par le jugement d'un Pape sur la contre-Église.
Le chapitre XV annonce les sept plaies destinées à fondre sur la Grande Prostituée.
Le chapitre XVI décrit les sept plaies.
Le chapitre XVII approfondit la description de la Grande Prostituée.
Le chapitre XVIII approfondit la description du jugement de la contre-Église.
Le chapitre XIX évoque le triomphe du Christ.
Les chapitres suivants dépeignent la Jérusalem céleste et le règne des élus dans l'éternité.
Répandez cet ouvrage autant que vous le pouvez, c'est mon plus beau livre et il livre une explication très claire de l'Apocalypse.
Tout est formulé en langage symbolique : le ciel désigne l'Église, la terre la contre-Église ; les saints les catholiques, et les habitants de la terre les modernistes, attachés aux plaisirs terrestres ; les anges et les êtres vivants (ou animaux) désignent les évêques, le lion étant le Pape ; les étoiles désignent les prêtres, et les rois de la terre le clergé moderniste, chef des habitants de la terre. Les voix venant du ciel, ou encore les éclairs, le tonnerre et la fumée, manifestent l'intervention divine par le biais de l'autorité magistérielle (celle du Souverain Pontife) : ce sont littéralement les voix venant de l'Église (ou ciel).
Je démontre précisément le sens avéré de ces symboles, en citant le Père Kramer.
Mon ouvrage réfute allègrement l'idée du "temps de paix" avant la venue de l'Antéchrist : c'est l'homme de perdition lui-même qui dépouille la Grande Prostituée et la consume par le feu. De quoi faire réfléchir les prêtres qui enseignent la morale relâchée à leurs fidèles, en matière de sexualité (et qui laissent les femmes entrer dans leurs chapelles dans des tenues immodestes et sensuelles) !
À quoi vous attendez-vous ?! Comme l'a dit le Père Jean (capucin de Morgon) ce matin au prieuré de Besançon, c'est au martyre qu'il faut s'attendre (et à rien d'autre) : il n'y a pas un siècle de l'histoire de l'Église sans persécutions.
Mon livre est d'une telle importance qu'il faut le traduire en un maximum de langues possibles, et d'abord en espagnol, en allemand et en italien. Il nous faut des bénévoles. Nous sommes les ouvriers de la dernière heure, et celui qui ne fait rien pour Dieu est un serviteur infructueux. Moi, je me chargerai de l'anglais.