COMMENT COMPRENDRE LA PROPHÉTIE DE MÉLANIE SUR DEUX PAPES VERMOULUS, PLATS ET DOUTEUX ?
LA PROPHÉTIE DE MÉLANIE, ENFIN ÉLUCIDÉE.

Par Éric Faure, le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette.
Voici la prophétie de Mélanie Calvat dans une lettre à l'abbé Roubaud datée du 30 septembre 1894, que personne n’a comprise avant notre intervention :
"Je n'ai pas vu, je ne vois pas de Grand Pape et de Grand Monarque avant une grandissime tribulation, épouvantable, terrible et générale pour toute la chrétienté. Mais, avant ce temps, il y aura deux fois une paix de peu de durée, DEUX PAPES VERMOULUS, PLATS, DOUTEUX".

Ci-joint image représentant Marie de la Croix victime de Jésus, née Mélanie Calvat.
Comment comprendre cette prédiction de Mélanie que l’on vient de citer ? C’est tellement simple, que personne avant nous ne l’a réalisé. Mélanie ici fait référence au secret qu’elle a reçu de Notre Dame de la Salette. Elle ne dit pas qu’il y aura deux papes vermoulus, plats et douteux, après deux fois une paix de peu de durée. Elle fait un découpage dans le secret de la Salette, où il est parlé dans un premier temps de deux fois une paix de peu de durée, et ensuite de deux papes vermoulus, plats, douteux. La question qui se pose par conséquent est « où se situe dans le secret qu’elle a reçu de Notre Dame de la Salette, deux fois une paix de peu de durée, et ces deux papes vermoulus, plats et douteux ? » En voici la réponse :
1) Voici la première fois où on a dans le secret que Notre Dame a donné à Mélanie, une paix de peu de durée : « Cette paix parmi les hommes ne sera pas longue : vingt-cinq ans d’abondantes récoltes leur feront oublier que les péchés des hommes sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre. » On a la première fois une paix de peu de durée, c’est-à-dire « une paix qui ne sera pas longue ».
J’ai livré publiquement à ce sujet, un peu partout, l’explication de Notre Dame de la Salette, cette paix de 25 ans commence comme toutes les paix après une guerre , et après la fin de la seconde guerre mondiale que Notre Dame a préalablement décrite en ces termes « la France et l’Angleterre seront en guerre » sous-entendu contre l’Allemagne de Hitler et « le français se battra avec le français, l’italien avec l’italien » sous-entendu lorsque l’Allemagne de Hitler reculera sur tous les fronts, Notre Dame nous décrivant ici la fin de la seconde guerre mondiale, pour nous faire comprendre qu’il faut faire démarrer cette paix de 25 ans, vers la fin de l’année 1945. Cette paix de 25 ans qui va de fin 1945 à fin 1970 ( 1945= 25 = 1970 ) est une paix qui ne concerne que les hommes c’est-à-dire en langage apocalyptique que les catholiques ou encore le monde catholique, qui au lieu d’être débordant de reconnaissance envers Dieu pour avoir arrêté la guerre et les avoir comblés de bienfaits, ont fait preuve d’ingratitude envers lui, perdant de vue que ce sont les péchés des catholiques qui font le plus de mal à Dieu, et qui sont causes de toutes les peines qui arrivent sur la terre, c’est-à-dire dans l’Eglise, l’Eglise étant comparée à une terre, à un jardin ou une vigne dans la Bible. Cette paix de l’Eglise ou des catholiques, c’est Wojtyla qui en arrivant progressivement à s’élever au Vatican, à partir de 1970, va y mettre fin, ce dernier étant présenté par Notre Dame de la Salette comme un nouveau Antiochus IV « épiphane », « avec ses troupes », « combattant le vrai christ » ou le vrai pontife, « répandant beaucoup de sang », et « voulant anéantir le culte de Dieu, pour se faire regarder comme un dieu », car Wojtyla n’a rien de religieux pour Notre Dame, ce dernier étant comparé au roi séleucide Antiochus IV, mais aussi à un empereur romain comme Caligula ou Néron voulant également chacun se faire regarder comme une divinité.
Certes, ce que Notre Dame de la Salette dit ici fait référence aussi au pseudo pontife Ménélas qui a combattu le vrai christ ou le oint retranché qu’était Onias III, qui a eu le soutien de plusieurs troupes de mercenaires, a répandu beaucoup de sang et qui voulait anéantir le culte de Dieu, Ménélas étant derrière les réformes liturgiques impies, sacrilèges et invalides, qu’Antiochus IV voulait imposer à tous les croyants et il ne faut pas perdre de vue que les pseudo-pontifes Jason et Ménélas sont présentés dans le deuxième livre maccabéen, comme aplanissant les sentiers d’Antiochus IV dans le Temple de Dieu, comme des précurseurs de cet antéchrist que fût Antiochus IV, mais l’image d’Antiochus IV ici s’impose plus que toutes les autres figures, avec celle de Néron sous lequel Simon le magicien a lutté contre Pierre et les autres Apôtres.
Cela dit, tout le passage « un avant-coureur de l’antéchrist, avec ses troupes de plusieurs nations, combattra contre le vrai Christ, le seul sauveur du monde ; il répandra beaucoup de sang et voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu », montre que l’on a affaire à un antipape redoutable, de la pire espèce. Chacune des expressions utilisées ici par Notre Dame de la Salette a été pesée par elle, pour nous faire comprendre qu’il s’agit bien d’un antipape, qui à lui seul, incarne plus que tous les autres antipapes, par sa cruauté, sa perfidie, sa méchanceté, l’antipapauté antéchristique. Au Moyen Age, on appelait un antipape, « un avant-coureur de l’antéchrist » ou « précurseur de l’antéchrist », selon les traductions, le mot prodromos dans la Bible étant indifféremment traduit par l’une ou l’autre expression en français, et à l’inverse de l’antipape Anaclet II qui n’avait pas le soutien de la France, de l’Angleterre et de l’Allemagne, cet antipape sera appuyé par des troupes d’apostats de plusieurs nations, et combattra le vrai christ, c’est-à-dire le vrai pape, l’expression « vrai christ » désignant au Moyen Age, un vrai pape, et cet antipape répandra beaucoup de sang, en ce sens qu’il sera comme un loup ravisseur, car au Moyen Age on comparait un antipape à un loup faisant couler le sang, s’en prenant au troupeau pour lui faire perdre la Foi, ou à un lion dévorant ses proies , et au Moyen Age, encore, on comparait un antipape également à un antéchrist voulant anéantir le culte de Dieu, et même à un antéchrist dans le Temple de Dieu voulant se faire regarder comme un dieu. J’ai commencé à grand renfort de citations et d’auteurs, à démontrer que c’est ainsi qu’on parlait autrefois d’un antipape, en utilisant toutes ces expressions que Notre Dame de la Salette n’a fait que reprendre, pour bien se faire comprendre des vrais serviteurs de son fils. Eux savent bien, ce que toutes ses expressions veulent dire, parce qu’ils ont un grand sens de l’Eglise et connaissent bien ces textes du Moyen Age, qui d’ailleurs ne faisaient que reprendre des expressions bibliques ! Passons, car ce n’est pas là-dessus que je veux en venir.
2) Maintenant il faut trouver la deuxième fois où on a une paix de peu de durée. On n’a pas le choix dans le texte, car il n’existe qu’un seul autre passage qui parle de paix et c’est celui-ci : « Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu’à se divertir ». On a ici la deuxième paix, et comme une paix commence toujours après une guerre, il faut situer cette paix après une guerre. A partir de quelle guerre commence cette deuxième paix ? C’est très simple, elle commence là où ce nouvel Antiochus IV qui combattait le vrai christ, répandait beaucoup le sang, qui faisait la guerre aux catholiques, meure, c’est-à-dire à l’année 2005 qui est celle de la mort de Wojtyla. Il est dit qu’avec lui, la terre, c’est-à-dire l’Eglise sera frappée de toutes sortes de plaies. C’est présenté après l’idée qu’il parviendra à se faire regarder comme un dieu par ses troupes de plusieurs nations, c’est-à-dire que sa pseudo-canonisation nous apportera les pires calamités. Ensuite, Notre Dame revient sur l’idée qu’il y aura des guerres, qui est une reprise du passage où elle parlait de ce qui s’est passé lors de la seconde guerre mondiale, pour dire qu’il y aura une dernière guerre, qui ne peut être que la troisième guerre mondiale, compte tenu du fait, que cette dernière guerre est présentée par Notre Dame à côté de la seconde guerre mondiale. Elle précise que « les dix rois de l’antéchrist », qui sont les dirigeants de l’Europe paganisée sous la direction spirituelle du Vatican apostat, entreront dans cette guerre, mais avant cela, dit-elle, c’est-à-dire, avant la troisième guerre mondiale, on aura dit Notre Dame « une espèce de fausse paix dans le monde », ce qui montre que cette fausse paix si elle commence à la mort de Wojtyla en 2005 se termine avec la troisième guerre mondiale. Pour Mélanie cette seconde paix est aussi de courte durée comme l’autre, mais court ici peut signifier tout autant 25 ans, c’est-à-dire que si cette troisième guerre mondiale arrive 25 ans après 2005, en 2030, pour Mélanie, c’est court. Pour nous qui n’apprécions pas le temps de la même façon car nous sommes foulés aux pieds par la Rome apostate, c’est long, et cela parait même interminable. Par ailleurs, l’idée qui est manifeste ici, du moins pour Mélanie, est que les gens ne pensant qu’à se divertir ne verront pas le temps passer et que la paix qu’ils traversent leur paraitra courte, lorsqu’elle sera terminée. Passons, car ce n’est pas là-dessus non plus, où je veux en venir.
Mélanie nous dit que les deux papes vermoulus, plats et douteux, apparaissent après la description de ces deux paix ou deux fois une paix de peu de durée : « Mais, avant ce temps, il y aura deux fois une paix de peu de durée, DEUX PAPES VERMOULUS, PLATS, DOUTEUX", car ce qui fait dire cela à Mélanie, c’est son découpage dans le secret de la Salette, le même que celui qu’on reprend ici en suivant scrupuleusement ses indications, car on aime bien reconstituer son raisonnement à l’inverse des idiots qui préfèrent croire que cette prophétie n’est pas le fruit de son intelligence, mais que cette prophétie lui a été donné directement par Notre Dame de la Salette. La bonne affaire, cela les dispense de réfléchir et de se poser les bonnes questions ! Et bien logiquement on devrait voir apparaitre ces papes vermoulus, plats et douteux juste après cette deuxième paix de peu de durée, et c’est effectivement ce qui se passe.
En effet, cette deuxième paix est décrite pas seulement avec les méchants qui en profitent pour se livrer à toutes sortes de péchés, mais avec les justes que sont Enoch et Elie, qui pendant ce temps, croîtront dans l’amour de Dieu, mais cachés comme Notre Dame l’a été, et qui attendent pour se montrer d’arriver à la plénitude de l’âge : « Mais les enfants de la Foi, mes vrais imitateurs croîtront dans l’amour de Dieu et dans les vertus qui me sont les plus chères. Heureuses les âmes humbles conduites par le saint Esprit ! Je combattrai avec elles jusqu’à ce qu’elle arrive à la plénitude de l’âge », c’est-à-dire que Notre Dame les porte comme elle a porté son fils, avant de laisser son fils prêcher publiquement lorsqu’il est arrivé à maturité et qui a dû la quitter pour accomplir sa mission. Certes, ce passage ne parle pas d’Enoch et Elie, mais c’est bien d’eux qu’il s’agit avant tout, mais ce n’est pas là-dessus, qu’on veut porter l’attention dans cet article.
On veut montrer qu’après la description de cette deuxième paix, apparaissent des papes vermoulus, plats, douteux. On continue donc. Ensuite Notre Dame après avoir dit cela, nous fait comprendre que ces justes dont elle parle sont foulés aux pieds par les méchants, et que la nature veut venir en aide à ces justes, et veut les venger, veut châtier ceux qui ont fait tant souffrir ces justes : « la nature demande vengeance pour les hommes », les hommes désignant comme on l’a toujours montré les vrais catholiques ou les membres de la véritable Eglise catholique, et par-dessus tout désignant ces justes dont Notre Dame parle que sont Enoch et Elie. Et la nature « frémit d’épouvante dans l’attente de tout ce qui doit arriver à la terre souillée de crimes », c’est-à-dire de tout ce qui doit arriver à l’église officielle romaine souillée par Wojtyla et tous les apostats qui vivent à l’intérieur, car Jérusalem apostate est comparée à une terre souillée de crimes dans les saintes Ecritures : « dis à Jérusalem : tu es une terre qui n’est pas purifiée » , qui est souillée par « ses sacrificateurs qui violent ma loi et profanent mes sanctuaires » (Ez. 22 : 24-26), Notre Dame établissant ici un rapport analogique entre Jérusalem apostate et Rome apostate dans les temps de la fin. C’est-à-dire que jusque-là, on est toujours dans la période de la deuxième paix.
3) Donc, si on a raison dans notre reconstitution de la pensée de Mélanie, on doit voir immédiatement apparaitre des papes vermoulus, c’est-à-dire rongés par les vers comme Antiochus IV à la fin de sa vie, bien pourris, des papes plats c’est-à-dire sans relief, et douteux, c’est-à-dire dont l’autorité est incertaine, selon l’adage qui dit qu’un « pape douteux est un pape nul » : « papa dubius, papa nullus. », ce qui revient à voir dans ces derniers des antipapes qu’il ne faut pas suivre, des chefs à qui, il ne faut surtout pas obéir. Et effectivement, on voit ces faux pasteurs, ou faux papes apparaître dans le secret de la Salette juste après la deuxième paix : « Tremblez terre » c’est-à-dire « terre souillée de crime », c’est-à-dire Eglise souillée de crime, c’est-à-dire église officielle romaine souillée de crimes et vous tous les habitants de la terre, vous les faux catholiques qui occupaient illégitimement cette citadelle sainte qu’est l’église officielle romaine, tremblez ! Tremblez « vous qui faites profession de servir Jésus-Christ », c’est-à-dire vous les chefs de cette église maudite, Tremblez ! Les voilà les deux papes vermoulus ou pourris, plat sans relief, et douteux, dont parlait Mélanie dans sa prophétie. S’agit-il de vrais papes, comme l’a cru stupidement Boanergès qui a toujours interprété de travers les paroles de Notre Dame, jusqu’à lui faire dire le contraire de ce qu’elle veut dire, ou s’agit-il d’antipapes ?
S’agit-il de Jean XXIII et de Paul VI, comme Boanergès a osé l’écrire ? Non, il s’agit des successeurs de Wojtyla, car leur description apparait après celle de Wojtyla et de son règne, description de Wojtyla qui commence par « un avant-coureur de l’antéchrist » et qui se termine « pour se faire regarder comme un dieu », Wojtyla étant parvenu à se faire regarder, comme un dieu, c’est-à-dire comme un christ, comme un pape, comme un saint de son vivant et après sa mort, par ces troupes d’apostats de plusieurs nations qui le soutiennent, nous fait comprendre Notre Dame de la Salette. Et ces successeurs de Wojtyla dont parle Notre Dame de la Salette sont ceux qui ont élevé Wojtyla sur les autels après sa mort, à la manière des empereurs romains qui étaient perçus comme des divinités de leur vivant, mais aussi après leur mort, et qui avaient un clergé qui les honoraient après leur mort. Est-ce que ces successeurs de Wojtyla sont pour Notre Dame de la Salette de vrais papes ? Bien sûr que non ! Honte à Boanergès qui a toujours pris le contrepied de Notre Dame de la Salette, en faisant croire qu’il était son plus fidèle dévot, et qui accorde aux antipapes Ratzinger et Bergoglio, une légitimité dans l’élection.
Notre Dame de la Salette dit d’eux au contraire qu’ils font profession de servir Jésus-Christ, mais au-dedans dit-elle, ils s’adorent eux-mêmes, c’est-à-dire qu’ils ne servent pas Jésus-Christ, mais eux-mêmes, servent leurs propres intérêts, et n’adorent pas Dieu ou N.S. Jésus-Christ mais eux-mêmes. Notre Dame de la Salette est formelle, il ne s’agit pas de vrais papes, mais tout au contraire de faux pasteurs, de faux papes ou d’antipapes ! Ils sont les héritiers spirituels de Wojtyla qui voulait se faire regarder comme un dieu et qui semblable à Antiochus IV épiphane qui voulait se faire regarder comme une divinité dans le sillage tracé par Alexandre le Grand, s’adorait lui-même également, tout comme Néron qui s’adorait et voulait qu’on le tienne pour un dieu de l’Olympe ! Ce passage « du dedans, vous vous adorez vous-mêmes » les relie à Wojtyla dont il est dit, qu’il voulait se faire regarder comme un dieu ! « Au-dedans » est une expression qui, les relie à ces faux prophètes qui « au-dedans » sont des loups ravisseurs, qui ravissent par conséquent au bon pasteur, qu’est le pape, son troupeau, pour lui faire perdre la Foi ou l’entrainer dans la mort spirituelle :
Matthieu 7
15Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
Et comment sait-on encore que ces gens qui font profession de servir Jésus-Christ sont des antipapes ou sont les plus hautes autorités apostâtes du Vatican pour Notre Dame de la Salette ? Mais parce que Notre Dame de la Salette nous dit d’eux, que « Dieu va les livrer à son ennemi, parce que les lieux saints sont dans la corruption » ce qui signifie qu’ils avaient la responsabilité ou la charge des lieux saints de Rome, comme la basilique saint Pierre de Rome, comme le Latran, ou la basilique saint Paul hors les murs, et qu’ils ont fait de ces lieux un obstacle pour la conversion des âmes, empêchant les âmes de suivre Enoch et Elie, comme Anne et Caïphe avaient fait du Temple de Jérusalem un obstacle à la conversion des âmes, empêchant les âmes de suivre le Messie en la personne de Jésus-Christ. Dieu va livrer la terre, c’est-à-dire l’église officielle romaine occupée par des faux catholiques et dirigées par de faux pasteurs, et va livrer les chefs de cette église maudite, à son ennemi, c’est-à-dire à l’islam dont Dieu s’est toujours servi pour châtier les apostats ou à des peuples étrangers. Ces faux pasteurs sont les prêtres cloaques d’impureté dont Notre Dame parlait dans l’introduction de son secret, en disant que la vengeance de Dieu est « suspendue sur leurs têtes », car c’est le seul passage où après l’introduction de Notre Dame, il est fait mention de la vengeance de Dieu contre des gens qui font profession de le servir, mais qui ne le servent pas du tout, contrairement à ce que voulait nous faire croire Boanergès qui voyait dans ces cloaques d’impureté, tout autre chose que les successeurs de Wojtyla et n’a jamais rien compris du secret de Notre Dame de la Salette.

Caïphe et Anne à droite de l’image venant se moquer de N.S. Jésus-Christ au pied de la croix sont une préfiguration de Bergoglio et Ratzinger ! Ces derniers sont les prêtres cloaques d’impureté dont parlait Notre Dame de la Salette au tout début de son secret, crucifiant de nouveau N.S. Jésus-Christ.
Mélanie dit de ces successeurs de Wojtyla, qu’ils sont deux, sans doute parce qu’elle a dû voir Ratzinger et Bergoglio en tenue blanche de pape marcher ensemble au moment de l’Apparition de Notre Dame de la Salette, lorsqu’elle lui parlait de ces gens qui font profession de servir Jésus-Christ et qui sont de faux pasteurs. Ce dernier point reste pour moi une énigme. En effet, on a passé au crible toutes les prédictions concernant l’avenir de la papauté que Mélanie pouvait connaitre à son époque, et on n’en a trouvé aucune parlant de deux faux pasteurs dans les temps de la fin. Par ailleurs, il est rigoureusement impossible que Mélanie interprète le corpus malachique qu’elle connaissait très bien, à la manière de Jean Baptiste André, et encore moins à notre manière ! Et on ne trouve pas dans Principium Malorum, que Mélanie Calvat a connu par le curé d’Argoeuvres, cette idée de deux faux pasteurs dans les derniers temps de la papauté, même si on y trouve une description des successeurs de Wojtyla, le nombre de ces derniers n’étant pas mentionné. Dans Principium Malorum, il est parlé des préposés qui ont mal jugé et ont fait du grand antipape, un saint, ces préposés étant des antipapes, mais il n’est pas mentionné qu’ils sont deux, et il est parlé du règne de Ratzinger et de sa démission, ce que l’on verra une prochaine fois. Je pense que cette donnée de deux faux pasteurs vient de Mélanie elle-même et pas de Notre Dame de la Salette, hélas ! En effet, Notre Dame de la Salette dans son secret ne dit pas qu’ils ne seront que deux ! Il y a place dans le secret de la Salette, pour un successeur de Bergoglio ou un antipape après lui !
Cela est une interprétation de Mélanie, tout comme le passage : "Je n'ai pas vu, je ne vois pas de Grand Pape et de Grand Monarque avant une grandissime tribulation, épouvantable, terrible et générale pour toute la chrétienté. » En effet, Notre Dame de la Salette ne parle jamais d’un grand pape secondé par un grand monarque, mais elle parle d’un pape souffrant ou d’un grand monarque qui n’est pas autre chose, que ce pape souffrant, ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Mélanie reconnait qu’elle n’a pas vu un grand pape travaillant de concert avec un grand monarque guerrier du genre de Charlemagne, dans le secret de Notre Dame de la Salette. En effet, le secret de la Salette se termine par une grandisse tribulation, épouvantable, terrible et générale, et pas seulement pour la chrétienté, mais aussi pour l’humanité entière : « Alors l’eau et le feu purifieront la terre et consumeront toutes les œuvres de l’orgueil des hommes, et tout sera renouvelé : Dieu sera servi et glorifié. » Il s’agit ici d’un retour en arrière dans le texte où Notre Dame de la Salette reprend d’une autre façon ce qu’elle a déjà dit : « l’eau et le feu donneront au globe de la terre des mouvements convulsifs et d’horribles tremblements de terre qui feront engloutir des montagnes, des villes (etc.) » Mélanie ne voit pas de grand pape et de grand Monarque avant cette grandissime tribulation, dont on a vu dans notre dernier article, qu’il s’agit d’un redressement par Dieu des axes de rotation du globe terrestre, pour remettre ces axes là où ces axes se trouvaient avant le déluge. C’est donc, que cette histoire de saint ou de grand pape avec un grand Monarque du genre de Charlemagne ou Constantin, doit être rejetée pour Notre Dame de la Salette. Mélanie cependant ne dit pas rejeter cette histoire de grand pape et de grand Monarque, mais semble émettre l’hypothèse aventureuse que ce grand pape et ce grand Monarque pourraient venir après ce grand cataclysme planétaire que sera le redressement ( plutôt que le renversement ) des axes de rotations du globe terrestre, et là-dessus, on ne la suit pas du tout, mais en revanche, on la suit, lorsqu’elle dit qu’elle ne voit pas cette histoire de grand pape et de grand Monarque dans tout le secret de Notre Dame de la Salette.

Article rédigé par Éric Faure, ce dimanche 28 janvier 2018 A.D.