LES TERRIBLES ERREURS DE L’ABBÉ GRUMEL
CONCERNANT LA CHRONOLOGIE DU SECRET DE LA SALETTE
Par Éric Faure, le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette.
Il est recommandé de méditer cet article avec sous les yeux, le secret de la Salette.
Ci-joint l’abbé Joseph Grumel, en août 2005, prêtre apostat, mort en 2008, auteur d’un pseudo-commentaire du secret de la Salette que l’on trouve sur internet sous le titre : « l’Apocalypse de Notre Dame, le secret de la Salette, donné à Mélanie Calvat, bergère de la Salette le 19septembre 1846. Etude du message par l’abbé Grumel. » Ce prêtre apostat ordonné prêtre en 1945, enseignait les mathématiques, le français, le latin et le grec. Ses adeptes voyaient en lui, pas seulement « un érudit en sciences, arts, langues anciennes et théologie », mais aussi pour « ses travaux en astronomie », où il avait été « membre fondateur de l’association Copernic et principal promoteur de l’installation de l’observatoire à Haute-Correo (la Roche des Arnaud) ». C’était un touche à tout, « animateur de travaux scientifiques » comme « la critique des équations de Lorentz et de la Relativité », « le théorème de Fermat » dit-on, mais si ses travaux scientifiques étaient du même genre que ses travaux sur le secret de la Salette, ce devait être surtout un cancre dans le domaine scientifique. Que de temps ce prêtre a-t-il volé à Dieu, en faisant des choses qui n’ont rien à voir avec la vocation sacerdotale, en étant médiocre partout ? Et à quoi lui a servi toutes ses recherches dans le vent, s’il se trouve actuellement en Enfer, qui est la place de tous les apostats ?
L’abbé Joseph Grumel est un prêtre apostat, insignifiant, dont on ignorait l’existence. Il nous était inconnu de son vivant, et après sa mort, tout le monde l’oubliera. Si on consacre un article sur lui, c’est parce qu’il est l’auteur d’un misérable commentaire du secret de la Salette, vide de toute connaissance véritable, qui est diffusé sur internet. Le titre de son pseudo-commentaire du secret prête à sourire : « Etude du message » car ce n’est pas d’une étude dont il s’agit, mais d’un débitage de bêtises aussi démentes les unes que les autres, mais qui doivent passer comme pertinentes auprès des ignorants. C’est un exemple qui montre effectivement que la compréhension du secret est fermée à ceux qui ont perdu la véritable Foi catholique. Ce qu’il dit ne relève pas de la folie nécessitant un internement psychiatrique. Il aurait mieux valu cependant, car il n’aurait pas été responsable de ce qu’il a écrit. Le fait que ce vieux prêtre ait eu toute sa tête est de l’ordre des circonstances aggravantes. Chaque ligne qu’il a écrit sur le secret de la Salette, montre qu’il était complètement atteint de cécité spirituelle, en total opposition avec Notre Dame de la Salette, qu’il prétendait suivre. Rien de ce qu’il a osé écrire sur ce secret n’est vrai, tout est faux, et pour arriver à ce résultat, il lui a fallu torturer en permanence le sens littéral du texte de Notre Dame, pour lui prêter des idées le confortant dans son Apostasie et sa soumission à l’antipape Wojtyla. Le démon a mené ce prêtre, là où il a voulu le mener, et ce dernier l’a suivi en croyant suivre probablement le Saint Esprit. Toute personne qui n’a pas été préalablement avertie par nos soins, trouvera ce qu’il dit comme intéressant, alors que tout ce qu’il sort, est semblable en vérité à des excréments qu’il sort de lui-même pour ensuite les dévorer, comme un chien et nous les donner à manger. Ne vous laissez pas prendre au piège par l’exposé de Grumel sur la chronologie du secret. Son écrit est daté de 2004, mais est probablement plus ancien. Vous n’y trouverez aucune connaissance véritable, ce misérable en était démuni, du moins, pour ce qui concerne le secret de la Salette. Il ne fait qu’exprimer au fond, ce que le démon voudrait bien nous faire croire, après avoir roulé ce misérable prêtre dans la farine.
Joseph Grumel (1921-2008)
On voit ici l’accoutrement de ce prêtre apostat complètement soumis à la synagogue de Satan, au judaïsme le plus farouchement hostile au christianisme, qui règne actuellement au Vatican. Il s’agit d’un prêtre gauchiste, ami d’Israël, complètement dégénéré. Il incarne tout ce qu’on vomit.
Voici comment ce prêtre apostat perçoit la chronologie du secret de la Salette, tout d’abord sans nos commentaires, pour que nos lecteurs se demandent pourquoi, nous trouvons ses propos répugnants, particulièrement nauséabonds :
« LE DÉCRYPTAGE CHRONOLOGIQUE DU MESSAGE. L’histoire s’est déroulée, les faits ont parlé. Il est aisé de rapprocher certains événements, tant par les dates que par la durée, des prédictions de la Bienheureuse Vierge Marie. En effet, depuis l’année de l’Apparition, 1846, nous pouvons diviser en quatre périodes les 150 ans qui nous en séparent :
1- De 1846 à 1870 : « 25 ans... » Ce sont, en gros, les 25 années du Second Empire en France, période extrêmement prospère, tant par les récoltes abondantes que par l’industrie naissante et florissante. Cette période est désignée par les paroles de la Vierge : « Cette paix ne sera pas longue : 25 ans d’abondantes récoltes… », que nous lisons au début du chapitre 4. Il est tout à fait évident que Marie est brusquement revenue en arrière dans son discours, pour commencer un nouveau développement, puisque celui qui précède, concerne manifestement les temps du Retour Glorieux de notre Seigneur et l’inauguration de son Règne sur la Terre. Ce règne ne durera pas 25 ans, mais mille ans selon les Ecritures, pour se terminer par le jugement dernier et l’avènement de la Jérusalem céleste, comme cela est parfaitement prédit dans les chapitres 20 et 21 de l’Apocalypse. 7
2- De 1971 à 1904–1914 : « 35 ans et plus... » « Trente-cinq ans et plus », selon les paroles de Marie, à la fin du chapitre 2. Période d’épidémies (tuberculose, typhus, choléra, grippe espagnole,) mauvaises récoltes dues à l’influence des parasites, insectes, champignons, phylloxéra de la vigne etc… Sur l’Eglise s’abattent alors les lois laïques et les persécutions qui aboutissent à la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et à la confiscation des biens d’Eglise, au dépouillement du clergé et l’expulsion des religieux, et en France à l’interdiction, pour les congrégations d’exister et d’enseigner. C’est la fin de cette période que Marie désigne en disant : « La société est à la veille les fléaux les plus terribles et des plus grands événements. »
3 - De 1914 à 1945. Période de « guerres qui se succèdent » civiles, internationales et coloniales, ayant pour théâtre l’Europe et les nations dites « chrétiennes » : France, Italie, Espagne, Angleterre. Marie n’a pas précisé la durée de cette période. « Pour un temps Dieu ne se souviendra plus de la France ni de l’Italie… » 1945 marque cependant la fin des hostilités entre les nations de l’Europe.
4 – De 1945 à la dernière guerre. C’est la période de la « fausse paix ». C’est la période où nous sommes encore: la paix est « fausse », car elle n’est pas fondée sur un traité, mais seulement sur une convention d’armistice (Yalta) délimitant des zones d’influences des deux principales puissances. Depuis peu l’Allemagne s’est réunifiée après avoir été « occupée » par les armées dites « alliées », comme si la guerre n’était pas finie. Les guerres locales n’ont jamais cessé : Algérie, Indochine, Moyen Orient etc… et nous vivons dans une période d’armement intensif et de trafic d’armes. C’est pendant cette fausse paix que se préparent les grands événements de la fin.
5 – De la dernière guerre au Retour glorieux du Christ. La dernière guerre est très particulière : elle sera menée par les « dix rois de l’Antéchrist » Cette période est, là encore, indéterminée, mais il semble qu’elle sera courte. Cette « dernière guerre » est annoncée clairement par les Ecritures, notamment par Zacharie (ch. 13/7 jusqu’à la fin), par Ezéchiel (ch. 37 et 38) ; et ces prophéties sont reprises par l’Apocalypse qui annonce également l’invasion de la Palestine par « Gog et Magog » ; c’est au cours de cette guerre qui voudra exterminer Israël que le Christ se manifestera dans son Retour glorieux avec ses saints Anges, pour réduire à néant l’Antéchrist et ses armées. Avec ces données préliminaires il nous est possible d’étudier maintenant avec grand profit le Message prophétique de La Salette : l’Apocalypse de Notre Daem. » L’abbé Grumel, fin de citation.
L’image représente des faux prophètes où sortent de la bouche des esprits immondes en forme de grenouilles Apo. XVI 13.
On a ici l’œuvre d’un insensé, qui sort probablement toutes ces âneries ou esprits immondes en 1996, soit 150 ans après 1846, en 1996. Il divise en quatre partie, la période qui va de 1846 jusqu’en 1996, comme si ce découpage se trouvait dans le secret, mais cela ne l’empêche pas de déborder sur la dernière guerre avant la fin du monde, qui n’est pas encore arrivée, de faire comme si Notre Dame n’avait pas décrit le grand cataclysme planétaire où les axes de pôles de rotation du globe terrestre seront redressés par Dieu – tous les passages où Notre Dame décrit la fin du monde au cours de ce cataclysme sont passés à la trappe – et on notera au final, que ce misérable prêtre pourtant catholique défend Israël, alors que Notre Dame ne parle pas d’Israël dans son secret, que Dieu va exterminer toutes les nations, y compris Israël, qui n’échappera pas à la sainte Colère de Dieu, bien au contraire. A entendre, ce prêtre apostat, qui sent l’Apostasie à plein nez, ce serait pour empêcher « l’extermination d’Israël par Gog et Magog », que le retour du Christ se ferait, l’antéchrist serait contre Israël. C’est en réalité tout l’inverse pour Notre Dame de la Salette, l’antéchrist final est pour Israël, il est juif, « né d’une religieuse hébraïque », nous dit Notre Dame de la Salette. C’est dire que ce prêtre, à l’opposé de Notre Dame de la Salette, est un grand ami des juifs qui refusent de croire en la résurrection du Christ, comme Anne et Caïphe, prend ces juifs- là, pour ses frères ainés dans la Foi, dans le sillage tracé par Wojtyla priant avec ces derniers, dans leur Synagogue farouchement opposée à N.S. Jésus-Christ et à la véritable Foi catholique, plein de haine envers la véritable Religion. Le Vatican est dirigé actuellement par la Synagogue de Satan, et l’abbé Grumel, se couche littéralement devant nos pires ennemis, en épouse la mentalité ou l’esprit. Qui se ressemble s’assemble. Il n’est donc pas étonnant, qu’il ait dénaturé le contenu du secret de la Salette, pour faire dire à Notre Dame le contraire de ce qu’elle veut dire.
Jugez-en plutôt : la période de paix de 25 ans dont nous parle Notre Dame de la Salette serait pour Grumel, « les 25 années du second Empire en France », ce serait pour lui une paix française où à la française. Ce prêtre dément, complètement déboussolé, qui tourne comme une girouette agitée par tous les vents, qui s’improvise exégète, alors qu’il n’en a pas les compétences, ne voit pas que cette paix dont parle Notre Dame dans son secret, ne concerne pas du tout la France ou l’ancien régime de Napoléon III, mais l’Eglise et uniquement l’Eglise, ce qui n’est pas du tout la même chose. En effet, Notre Dame nous dit que cette paix concerne les hommes, mais les hommes dont elle parle ne sont pas les gens de nationalité française, mais les membres de l’Eglise dont les récoltes ont fait oublier que ce sont leurs péchés à eux qui sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre », « la terre » ici signifiant Eglise. En effet, lorsque Notre Dame dit « j’adresse un pressant appel à la terre » cela signifie pour elle, j’adresse un pressant appel, « aux vrais disciples du Dieu vivant », « mes enfants, ceux qui se sont donnés à moi », c’est-à-dire les catholiques, les membres de l’Eglise. C’est Elle-même qui le dit dans son secret, et « tremblez terre » cela signifie pour Elle, tremblez fausse Eglise, mauvais catholiques, faux chrétiens qui vous dites « catholiques », et vous les prêtres de cette Eglise maudite, qui « faites profession de servir mon Fils » mais ne le servez pas du tout !
Les hommes de cette paix de 25 ans qui sont concernés ne peuvent en aucun cas désigner des gens qui n’ont jamais été catholiques et qui auraient la nationalité française, ne peuvent en aucun cas, désigner des français catholiques mélangés à des non catholiques, mais ne peut que désigner des catholiques de toutes nationalités, et pas exclusivement des français, encore moins des français catholiques mélangés à des non catholiques de nationalité française, comme le fait croire stupidement Grumel. Notre Dame nous le dit dans le secret transmis à Maximin, il s’agit d’une paix de l’Eglise de courte durée qui va être troublée par un monstre, ce monstre étant dans le secret donné à Mélanie, « un avant-coureur de l’antéchrist » qui va mettre un terme à cette paix de l’Eglise, et qui n’est autre qu’un loup ravisseur, un futur antipape qui entrant dans la bergerie du Christ, qu’est l’Eglise « répandra beaucoup de sang » c’est-à-dire retirera la vraie Foi catholique, à « plusieurs », à « un grand nombre de prêtres et de religieux », ses catholiques qui ont été ses victimes ressemblant à des brebis égorgées.
Donc, lorsque Grumel, veut nous faire croire, que cette paix de 25 ans dont parle Notre Dame dans son secret s’applique à la France, ce n’est pas seulement une imbécilité de sa part, c’est une tromperie du démon, à laquelle il croit bien volontiers, parce que Grumel fait partie de ces prêtres apostats qui adorent Wojtyla, et cela l’arrange de reporter cette paix de 25 ans au XIX ème siècle, alors que Notre Dame la situe au XX ème siècle, comme on l’a expliqué dans nos vidéos et articles, après la seconde guerre mondiale. En effet, si cette paix de 25 ans ne concerne que les catholiques, comme l’indiquent les précisions de Notre Dame, nécessairement cette paix ne peut être qu’une paix dans l’Eglise, et donc l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » qui vient troubler cette paix ou y mettre fin, 25 ans plus tard, fin 1970, ne peut désigner qu'un futur antipape, un faiseur de miracle ou prélat franc-maçon qui va s’emparer de la fonction pontificale et persécuter tous les vrais catholiques qui lui résisteront. Et fin 1970, cela ne peut pas désigner Paul VI qui est déjà pape dès 1963, mais un successeur de Paul VI, à savoir on le verra, Wojtyla. Ce que nous révélons ici, est comme on l’a dit, confirmé par Notre Dame de la Salette dans le secret de Maximin, où elle parle d’une paix de l’Eglise de courte durée que viendra troubler un monstre, c’est-à-dire un individu qui voudra anéantir le culte de Dieu, pour se faire regarder comme un pape, comme un christ, comme un dieu. Or ce langage qu’utilise Notre Dame s’applique à un antipape appelé au Moyen Age « perturbateur de la Sainte Eglise » – or « un avant-coureur de l’antéchrist » désigne bien dans le secret un perturbateur de la Sainte Eglise, car il vient troubler la paix de l’Eglise – appelé encore « destructeur de la discipline Apostolique » et a fortiori « dévastateur » du vrai culte, « fils de Bélial » or un fils de Bélial par définition est un opposant au vrai culte (Dictionnaire historique de la papauté sous la direction de Levillain, Fayard, p. 118, évoquant la position de Pierre Damien, docteur de l’Eglise) et Arnold d’Orléans dans sa définition d’un usurpateur de la fonction pontificale qui deviendra célèbre dans l’Eglise, utilise mot pour mot « voulant se faire regarder comme un dieu » au concile de saint Baslé en 991. Par ailleurs, Mélanie dans ses premières rédactions du secret, nous parle du « peuple ingrat », c’est-à-dire du peuple de Dieu, qui comblé de bienfaits par Dieu, fait preuve d’ingratitude envers lui. Or ici, on a bien à faire à des hommes qui ont été comblés par Dieu d’abondantes récoltes, mais qui font preuve d’ingratitude envers lui, ce qui prouve une fois de plus, que cette paix de 25 ans ne concerne que le peuple de Dieu, et le peuple de Dieu, c’est autre chose que les français du second empire qui ne sont pas tous d’ailleurs de confession catholique, même si à cette époque-là, les catholiques sont majoritaires en France et d’ailleurs plus maitres chez eux en France.
Notre Dame ne nous dit pas « cette paix parmi les français » ou « cette paix en France ne sera pas longue », c’est Grumel qui falsifie sans aucun scrupule, les propos de Notre Dame de la Salette pour les arranger avec sa position exécrable de prêtre apostat soumis à Wojtyla et à la synagogue de Satan, en faisant croire que cette paix s’applique au second Empire en France, alors qu’il s’agit d’une paix de l’Eglise à l’intérieur seulement du monde « catholique », ce qui ne veut pas dire qu’entre 1945 et 1970, il n’y a pas des guerres. Il y a plein de conflits locaux dans le monde durant cette période, mais aucun de ces conflits ne venait mettre en danger la paix de l’Eglise ou venait troubler les catholiques dans leur Foi. Notre Dame dit « cette paix parmi les hommes ne sera pas longue », ne désignant par l’expression les hommes que les catholiques, car pour Notre Dame, les non catholiques sont comme des bêtes ou se conduisent comme des bêtes ou sont pire que des bêtes, et les catholiques qui perdent la Foi deviennent à ses yeux, comme des bêtes, voire pire que des bêtes, appelés à aller en Enfer, à devenir des monstres hideux, des démons, dont plus rien ne les rattachera à la dignité d’hommes, puisqu’ils auront été déchus de cette dignité pour l’éternité.
Les non-catholiques, pour Notre Dame ne méritent pas d’être appelés « des hommes », ce qui légitime l’expression « les hommes » pour ne désigner que les membres du peuple de Dieu, à savoir les catholiques, ce langage belliqueux qui voit les choses sur le plan surnaturel, par le haut, vu du Ciel, étant propre à la littérature apocalyptique, que Grumel méconnait, comme il a fini par méconnaitre ce qu’est un catholique, ce qu’est un prêtre, ce qu’est la foi catholique, ce qu’est la véritable Doctrine, qui a perdu son identité, tout prêtre qu’il est et qui est inapte à étudier le secret de la Salette en raison de son apostasie. Suivant Wojtyla dans son œcuménisme endiablé, Grumel ne peut que s’offusquer devant cette position intransigeante de Notre Dame devant tout ce qui n’est pas catholique.
Grumel nous fait croire que le second empire a été une période prospère pour la France, par les récoltes, l’industrie, a été une période de paix, car tout cela d’un point de vue historique est faux bien sûr, prête le flanc à la controverse, est enjolivé par ce vieux prêtre mais sans sagesse, particulièrement dégénéré, corrompu, pervers, huileux, qui montre son adhésion aux mensonges de la République et des mauvais manuels scolaires de propagande. On le voyait soumis au judaïsme et à Israël, on le voit soumis à la République maintenant, ce qui va de pair.
Pour vous montrer combien l’interprétation de Grumel est des plus insensées, il faut savoir que la France entre 1846 et 1870 est constamment en guerre à l’extérieur : de 1853 à 1856, l’empire français et ses alliés entre en guerre lors de la guerre de Crimée, contre l’empire Russe autour de la Mer noire. De 1856 à 1860, c’est la seconde guerre de l’opium, où la France et ses alliés sera en guerre contre la Chine. De 1858 à 1862, c’est la campagne de Cochinchine, où la France rentre en guerre du côté de l’Espagne contre l’Empire d’Annam. En 1859, c’est la campagne d’Italie, où la France se met du côté du royaume de Sardaigne pour faire la guerre à l’Autriche. De 1861 à 1867, la France intervient militairement en faveur du Mexique, contre les Etats Unis mexicains. En 1866, la France entre en guerre contre la dynastie Joseon, conflit connu sous le nom de l’expédition en Corée. Et je ne parle pas des français qui se battent en Italie du côté de Pie IX, donc tout ce que dit Grumel sur une paix de 25 ans, qui ne concernerait que les français ne tient même pas la route, car cette période est lourde de guerres certes faites à l’extérieur de la France, par la France. Mais lorsque l’on regarde ce qui s’est passé à l’intérieur de la France, de 1846 à 1847, la France connait une grave crise, un chômage si grand, qu’en 1848, les deux tiers des ouvriers en ameublement et du bâtiment sont au chômage, et ensuite, il y aura une révolution où le gouvernement du roi Louis Philippe va rencontrer une véritable insurrection qui se fera dans le sang et après laquelle la monarchie de juillet sera abolie.
Ci-joint une grève sous le second empire. « L'année 1860 marque la fin d'une prospérité économique sans précèdent. Devant les difficultés économiques, la bourgeoisie commence à mesurer son appui à NAPOLEON III. Aussi ce dernier tente-t-il de se rallier les classes moyennes et la classe ouvrière en leur faisant quelques concessions dont le mouvement ouvrier va savoir tirer profit. » On assistera ensuite à des grèves massives de 1862 à 1865 : « C'est à cette époque que la classe ouvrière affirme sa volonté de se prendre en main. Durant les vagues de grèves de 1862 à 1865, les revendications principales sont la baisse de la journée de travail et l'augmentation des salaires. » Mais c’est ça la période de 25 ans d’abondantes récoltes pour Grumel … une récolte de coup de bâton pour la classe ouvrière ? C’était le bon temps, pour Grumel, ce gaucho qui enjolive le second Empire, parce qu’il n’y vivait pas.
Donc l’abbé Grumel est en train de nous raconter des balivernes avec ces remarques historiques stupides. Il a de surcroît une fausse vision de l’histoire, comme tous les gauchistes, reprend toutes les conneries des manuels d’histoire à propagande, aspire comme une éponge tout ce qui est subversif.
Cela dit, Grumel n’a pas le choix, s’il veut faire croire que cette paix de 25 ans concerne le XIX ème siècle, il se doit d’étendre cette paix comme il le fait à partir de 1846, en décomptant 25 ans avant la guerre franco-allemande de 1870 , même si cela pose problème, puisqu’en 1846 et 1847, la France est dans une crise très grave, où les choses ne correspondent pas avec ce que raconte Grumel, qui nous parle d’une période de prospérité et d’abondance, alors que c’est plutôt la misère, le chômage et la faim en France, des pauvres toujours plus pauvres et des riches toujours plus riches, mais ces types là comme Grumel, ça aime enjoliver les périodes révolutionnaires comme tous les pseudo-catholiques dégénérés, et ça pue à cent lieues, ça vous fait mal au ventre, quand ça parle, même si vous ne comprenez pas bien au début, pourquoi, vous vous sentez mal en essayant de comprendre sa position. Ce que Grumel comprend, c’est qu’il faut terminer cette paix de 25 ans par une guerre, puisqu’il la situe juste avant la guerre franco-allemande de 1870, mais curieusement ce que ce dernier ne voit pas, c’est qu’il se doit de faire commencer cette période, par la fin d’une guerre également. Mais avant 1848, quel est cette guerre qui permet de faire démarrer cette paix de 25 ans ? Il n’y en a pas, Grumel se tait, ce qui vous montre que Grumel est de mauvaise foi, sent bien que sa position est bâtarde, mais il continue tout de même à la soutenir, comme un carreleur qui ferait de la merde comme travail, qui saurait qu’il fait de la merde, et qui continuerait à la faire, sans se soucier des conséquences. Grumel ici nous fait un travail de cochon dans son approche du secret de la Salette, où il ne parvient d’ailleurs pas à rentrer dans le texte de Notre Dame, ne fait que glisser comme sur un lac gelé, pour se casser la figure au final.
Dans l’explication de Notre Dame de la Salette tout est en revanche très précis, est d’une logique et d’une clarté à couper le souffle, que personne ne peut s’y opposer publiquement sans prendre le risque de se faire humilier publiquement. Regardez les, nos détracteurs, lorsque nous livrons l’explication de Notre Dame, ils se taisent face à cette explication, et intérieurement ils en ragent de ne pouvoir nous faire taire, et ils cherchent pour ne pas avoir à se soumettre à cette explication de Notre Dame qu’on rapporte, à s’en prendre à notre personne, pour lui trouver des défauts qu’ils trouveront, car je n’ai pas été choisi par Notre Dame seulement en raison de mes qualités, mais aussi de mes défauts, pour leur laisser une porte de sortie. Ainsi les frères Dimond s’arrêtent dans mon étude sur le sosie de Paul VI dans le secret de la Salette, à mes diplômes universitaires et à mon passé d’enseignant, que j’ai placé en tête de mon étude, pour donner précisément l’occasion aux méchants de me prendre pour quelqu’un d’orgueilleux et de ne pas poursuivre plus loin leur lecture, car contrairement à ce que l’on pourrait croire, je ne tiens pas à ce que les méchants lisent l’explication que Notre Dame de la Salette, je tiens tout au contraire à ce qu’ils ne la lisent pas , non pas que je ne veuille pas les rendre meilleur, mais parce que le Christ nous déconseille de livrer les choses de Dieu, aux porcs et aux chiens ! Mais les frères Dimond se garderont bien de s’attaquer à l’explication du secret de la Salette que je livre, et c’est vrai de tous les méchants, qui face à cette explication sont comme confondus, démasqués dans leur iniquité.
La guerre qui se situe avant cette paix de 25 ans, est précisée précédemment par Notre Dame elle-même en ces termes : « la France (…) et l’Angleterre seront en guerre » sous-entendu contre l’Allemagne de Hitler ; « le sang coulera dans les rues » c’est-à-dire précise Notre Dame que « le français se battra avec le français, l’italien avec l’Italien », ce passage étant ce qui s’est passé en France et en Italie, lorsque l’Allemagne de Hitler reculait sur tous les fronts. Cette description de la fin de la seconde guerre mondiale a dans le secret de la Salette, deux objectifs, le premier pour nous faire comprendre qu’il faut faire démarrer cette paix de 25 ans, à partir de la fin de la seconde guerre mondiale en 1945, le second, pour nous faire comprendre que la guerre générale qui viendra après la seconde guerre mondiale, dans le secret de la Salette, est la troisième guerre mondiale, et que la description qui est faite juste après de la France et de l’Italie, est une description de la France et de l’Italie qui correspond à ce que l’on verra en France et en Italie, juste avant que la troisième guerre mondiale n’éclate. Mélanie avait compris que pour comprendre quand cette paix de 25 ans démarrera, il faut se référer à ce qu’a dit juste avant Notre Dame en parlant de guerre, car une paix commence toujours par une guerre et se termine par une guerre. L’erreur de Mélanie, car Mélanie à l’inverse de moi, n’a pas reçu le don d’expliquer le secret de la Salette – elle reconnait textuellement qu’elle n’a pas reçu ce don – c’est d’avoir fait partir cette paix à partir du passage « ensuite » c’est-à-dire après la fin de la seconde guerre mondiale, « il y aura une guerre générale qui sera épouvantable » qui désigne « la dernière guerre », la troisième guerre mondiale qui aura bien lieu pour Notre Dame et qui sera nucléaire, mais ce ne seront pas les dégâts de cette guerre qui provoqueront la fin du monde comme on pourrait le croire à première vue, mais Dieu lui-même, en redressant les axes de rotation du globe terrestre là où ils étaient avant le déluge. Mélanie avait au moins compris, que pour comprendre quand commence cette paix de 25 ans, il faut préalablement avoir cerné ce que Notre Dame raconte lorsqu’elle a parlé précédemment de guerre. Elle a ramené intelligemment le début de la fausse paix de 25 ans, au paragraphe parlant de la France et de l’Angleterre qui seront en guerre, mais au lieu de s’arrêter comme il aurait fallu à se passage, elle est allée un pont trop loin, sur le passage de Notre Dame qui annonce l’état de la France et de l’Italie lors de la mise à mort d’Enoch et d’Elie, juste avant la troisième guerre mondiale.
Cette seconde guerre mondiale avait affecté le monde « catholique » dans son ensemble ou toute l’Eglise catholique qui en avait souffert, aussi la fin de cette guerre, correspond au début de cette paix de 25 ans qui est une paix de l’Eglise ou dans l’Eglise, Dieu dans sa bonté ayant répondu aux prières des catholiques demandant que cette guerre s’arrête et les comblant de toutes sortes de bienfaits après cette guerre, mais n’ayant reçu en retour sur cette période de 25 ans, qui va de fin 1945 à fin 1970, que l’ingratitude des catholiques se révoltant contre lui. Le fait que cette paix se situe entre 1945 et 1970, montre que le dernier concile qui s’est effectué de 1962 à 1965 a profondément déplu par Dieu, a été perçu par Dieu, comme un affront ou un camouflet qui lui a été fait par son peuple, en récompense de tout le bien qu’il a fait au peuple de Dieu. Il est logique de Grumel, qui s’est donné à la fausse église wojtylienne postconciliaire, avec l’aide du démon, fasse tout ce qu’il peut, pour détourner ses lecteurs, de cette juste compréhension du secret de la Salette, qui donne raison à tous ceux qui dans l’Eglise ont dénoncé les reformes impies du dernier concile.
Enfin, cette paix de 25 ans , Notre Dame de la Salette montre qu’elle se termine par une tout autre guerre menée par « un avant-coureur de l’antéchrist » dont la description fait penser à Antiochus IV Epiphane qui combattait contre le oint de Dieu, qui est un oint retranché, à savoir le pontife Onias III dans le second livre des Maccabées, d’où l’idée que cet avant-coureur de l’antéchrist combattra contre le vrai christ, le mot christ signifiant oint, ne pouvant que désigner un vrai pape, le pape souffrant du secret de la Salette. Dans le même sens Antiochus IV répandait beaucoup de sang, le sang des justes ou du peuple de Dieu, de même cet avant-coureur de l’antéchrist dont Notre Dame nous dit qu’il répandra beaucoup de sang, une fois au pouvoir, ne peut que répandre le sang du troupeau dans la bergerie du Christ, pour un loup ravisseur, qui ravit au vrai pontife ses sujets pour leur faire perdre la foi, ce qui équivaut à leur perte, comme on égorge une brebis bien grasse le jour de l’abattoir. Enfin Antiochus IV Epiphane est bien connu dans l’Ancien Testament, pour avoir voulu anéantir le vrai culte et se faire regarder comme un dieu, et cela est dit de cet avant-coureur de l’antéchrist qui suit cette paix de 25 ans de l’Eglise, pour y mettre un terme précisément et persécuter les vrais catholiques qui lui résisteront. On a ici le monstre dont le secret donné à Maximin parlait qui venait troubler le peuple de Dieu, qui ne peut être qu’un antipape se faisant passer pour le Bon pasteur, mais qui trouble les brebis, car les brebis connaissent bien leur pasteur, mais celui qui se présente à elles comme étant leur guide, elles ne le reconnaissent pas ou sont troublées par son comportement qui est celui d’un loup, certaines s’enfuyant, d’autres tétanisées par la peur se laissant égorger dans une résistance purement symbolique.
Notre Dame plus loin nous fait comprendre que l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » désigne un prêtre qui fait profession de servir Jésus-Christ, se réclamant de la Foi catholique, mais qui bien évidement n’est pas catholique et ne sert pas Jésus-Christ, mais bien plutôt le démon ou Baal. En effet, elle dit de lui, qu’il veut « se faire regarder comme un dieu », et elle dit plus loin dans son texte, des prêtres qui font profession de servir Jésus-Christ et qui sont des faux pasteurs, qu’ils s’adorent eux-mêmes. Or celui qui veut se faire regarder comme un dieu, nécessairement comme Néron dans le passé, s’adore lui-même, donc nécessairement, on a la preuve par Notre Dame de la Salette en personne, que l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » désigne bien un prêtre qui se dit catholique et qui ne l’est pas. Mieux encore, Notre Dame nous donne la preuve que ce prêtre en question s’est installé frauduleusement sur le siège de Pierre, car ces prêtres qui font profession de servir Jésus-Christ dont elle parle sont nécessairement les plus hautes autorités du Vatican. Notre Dame nous dit d’eux qu’ils ont pour charge, la responsabilité des lieux saints, sous-entendu, des lieux saints de Rome, comme la basilique saint Pierre de Rome, comme le Latran ou comme la basilique saint Pierre hors les murs qui sont sous la juridiction du pape. Honte à ceux, par conséquent, qui ont osé donner une toute autre interprétation, et qui n’ont pas compris, que l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » dans le secret de la Salette désigne Wojtyla, qui fait partie de ces prêtres qui font profession de servir Jésus-Christ, mais qui au-dedans sont comme des loups ravisseurs, s’adorant eux-mêmes, qui sont tous des avant-coureur de l’antéchrist, ce qui permet de comprendre, qu’après avoir décrit ces prêtres maudits de Dieu, appelés pour la damnation éternelle, Notre Dame parle ensuite de la naissance du grand antéchrist « né d’une religieuse hébraïque », dont ils n’ont été que des avant-coureurs, qui par définition ont planifié les sentiers, pour lui faciliter la tâche, à l’image du pseudo-pontife Jason ou du pseudo-pontife Ménélas aplanissant les sentiers d’Antiochus IV Epiphane dans le second livre maccabéen.
Les loups ravisseurs ici en habits religieux dévorant une brebis.
Pour Grumel, qui est inspiré par le démon, l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » désigne Staline, c’est dire à quel point Grumel est bête: « Il faut penser à Staline qui a répandu plus de sang que tout homme pour assurer le succès de la « Révolution » et qui, effectivement s’est fait regarder comme dieu par de nombreuses populations arriérées de son vaste territoire. Sa mort en 1953 suscita chez tous ces humbles odieusement trompés une véritable désespérance. Par la suite, il y eut la « déstalinisation », lorsque tant de scandales affreux furent mis au jour. Cependant, avant lui, Lénine autre « avant-coureur de l’antéchrist » s’était fortement élevé contre toute idée de Dieu avec une rager infernale. Avant sa mort il ne se fit pas regarder comme un dieu ; mais ensuite des millions d’imbéciles rendirent un culte, et le rendent encore, à son cadavre décomposé par la syphilis, même de son vivant. » Grument tient son inspiration de Vincent Morlier dit encore Boanergès, qui voyait en 1988 dans l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist avec des troupes de plusieurs nations », l’Union soviétique. C’est dire que Vincent Morlier, autre phénomène que celui-là, pire encore que Grumel (voir notre article le grand Bêtisier de Vincent Morlier) a fait des adeptes parmi les apostats et les schismatiques de tout poil ! La bonne affaire, cela permet de faire croire que Notre Dame n’a jamais annoncé le règne de Wojtyla, ni présenter ce dernier comme un monstre ! Ce genre d’interprétation a pour inspirateur le démon qui envoie ses exégètes contredire Notre Dame de la Salette.
Pour Grumel encore, « Tremblez terre », la terre ne désigne pas la fausse église de Wojtyla ou la fausse église des derniers temps, surtout pas mais le genre humain tout entier. Et « Tremblez-vous qui faites profession de servir Jésus-Christ », cela ne désigne pas les autorités apostâtes de Rome venant après l’abominable Wojtyla. Surtout pas ! Cela désigne seulement l’hypocrisie religieuse qui fait horreur à N.S. Jésus-Christ, qui se trouve chez les scribes et les pharisiens de son temps ! Avec une petite place peut être pour Mgr Lefebvre ou les sédévacantistes, tous ceux qui s’opposent aux réformes du dernier concile, jugés comme des pharisiens et des sadducéens, alors qu’ils ne sont jamais fait partie des plus hautes autorités religieuses du moment comme l’étaient les pharisiens et les sadducéens ? C’est vers cela que tend Grumel, même s’il ne le dit pas. Et l’Ennemi de Dieu, pour Grumel, qui va permettre à Dieu de se débarrasser des plus hautes autorités du Vatican, cela ne désigne surtout pas l’islam, qui envahit actuellement Rome, l’Italie, la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique et j’en passe A non ! Surtout pas ! Cela désigne vaguement « les puissances sataniques de l’Antéchrist », mais quoi donc exactement pour Grumel, mais « les équivoques dangereuses d’un humanisme qui fait fi de la Vérité. » La bonne blague ! Voyiez comment le démon inspire Grumel, lui dicte ce qu’il faut comprendre du secret de la Salette et se moque de nous, à travers Grumel !
Toutes ces expressions utilisées par Notre Dame qui évoquent des persécutions contre L’Eglise, indiquent qu’après la paix de 25 ans, on entre dans une nouvelle guerre contre l’Eglise qui, à l’inverse de la seconde guerre mondiale est souterraine, faite par un Ennemi qui au lieu de venir de l’extérieur comme la seconde Guerre mondiale, vient de l’intérieur même de l’Eglise, est un prélat faux prophète déguisé en agneau, qui est revêtu des vêtements pontificaux de l’agneau ou du Christ, qui accomplit des prodiges mais qui au-dedans est un loup ravisseur, c’est-à-dire un intrus, un franc-maçon qui s’est infiltré dans les ordres religieux, et qui usurpe la fonction pontificale. Pour notre Dame, cet intrus qui se présente comme le pape, n’a rien de religieux, est comparable aussi bien au roi usurpateur Antiochus IV, qui a usurpé la place de son frère Seleucus IV Philopator et de son fils héritier, qu’à l’empereur Néron qui soutenait Simon le magicien, contre saint Pierre, et voulait lui aussi anéantir le vrai culte et se faisait regarder comme un dieu, mais cela ne signifie pas pour autant qu’il faille voir dans cet avant-coureur de l’antéchrist une puissance militaire ou politique sans rapport avec le clergé romain, comme l’Union soviétique ou le troisième Reich. Les troupes de plusieurs nations dont parle Notre Dame, qui soutiennent cet antipape une fois installé au pouvoir au Vatican, sont tout simplement des troupes d’apostats de plusieurs nations, des apostats venant de tous les pays du monde où l’Eglise catholique était implantée, qui vont ensuite vouer un culte à cet antipape, l’adorer comme un christ, comme un saint ou un très grand pape, Antiochus IV étant connu lu aussi pour utiliser à côté des troupes grecs des troupes composées de mercenaires de plusieurs empires, lui offrant leur service en échange d’une bonne solde, ainsi que l’empereur de Rome avait dans ses légions, des troupes de mercenaires de plusieurs empires au service de Rome et rémunéré par l’empire romain.
Ainsi donc tout l’interprétation de Grumel, nous assurant, sans la moindre démonstration – et on comprend bien pourquoi, il ne démontre pas ce qu’il avance - que cette paix de 25 ans désigne « les 25 années du second régime » s’écroule parce que fondée sur du sable, ne vaut strictement rien. Mais lorsque le profane, celui qui n’entend rien au secret de la Salette lit son commentaire complètement idiot, il ne peut qu’être trompé par ce charlatan, dont les opinions vides de toutes connaissances véritables sont méprisables : « Ce sont, en gros, les 25 années du Second Empire en France, période extrêmement prospère, tant par les récoltes abondantes que par l’industrie naissante et florissante. Cette période est désignée par les paroles de la Vierge : « Cette paix ne sera pas longue : 25 ans d’abondantes récoltes… », que nous lisons au début du chapitre 4. » Oh ! prêtre plein d’impureté, chien qui dort au lieu de protéger le troupeau contre les loups, chien qui gobe son propre vomi, porc qui se roule dans ses propres excréments, qui se couche devant la synagogue de Satan, voilà que tu oses citer les paroles de Notre Dame, en disant que tu les comprends, alors que tu ne les comprends pas, mais tu caches par des pointillés tout ce qui permet de saisir que cette paix dont parle Notre Dame n’a rien à voir avec le second empire au XIX ème siècle, mais désigne une paix dans l’Eglise qui ne concerne que les catholiques et qui court de fin 1945 à fin 1970, et qui va déboucher sur le règne d’une fausse papauté dans les années 70 persécutant la véritable Eglise de Jésus-Christ !
Quant au reste de l’exposé de Grumel sur la chronologie du secret de la Salette, elle est du même acabit, tout aussi stupide, ridicule et écœurante. Ce faux dévot de Notre Dame de la Salette, cet imposteur poursuit dans le sens du vent, du démon de l’air, comme une girouette : « Il est tout à fait évident que Marie est brusquement revenue en arrière dans son discours, pour commencer un nouveau développement, puisque celui qui précède, concerne manifestement les temps du Retour Glorieux de notre Seigneur et l’inauguration de son Règne sur la Terre. Ce règne ne durera pas 25 ans, mais mille ans selon les Ecritures, pour se terminer par le jugement dernier et l’avènement de la Jérusalem céleste, comme cela est parfaitement prédit dans les chapitres 20 et 21 de l’Apocalypse. 7 » Ce prêtre est complètement déboussolé, car il croit discerner dans le passage précédent, qui annonce l’intervention miraculeuse de Jésus-Christ et ses effets dans l’Eglise, un règne de mille ans : « Alors Jésus-Christ (…) commandera à ses anges que tous ses ennemis soient mis à mort. Tout à coup les persécuteurs de l’Eglise et tous les hommes adonnés au péchés périront, et la terre deviendra comme un désert. Alors se fera la paix, la réconciliation de Dieu avec les hommes ; Jésus-Christ sera servi, adoré et glorifié ; la charité fleurira partout. Les nouveaux rois seront les bras droits de la Sainte Eglise qui sera forte, humble, pieuse, pauvre, zélée et imitatrice des vertus de Jésus-Christ. L’Evangile sera prêché partout, et les hommes feront de grands progrès dans la Foi (…) vivront dans la crainte de Dieu. »
Or Notre Dame ne parle absolument pas ici d’un règne de mille ans, ce nombre « mille ans » ne figure même pas dans le secret. Notre Dame parle ici tout simplement de l’intervention miraculeuse de N.S. Jésus-Christ faisant revenir Enoch et Elie, pour confondre d’autorité les autorités apostâtes du Vatican, qui loin d’être un règne de mille ans du Christ, est en réalité une période où Enoch et Elie, les envoyés de N.S. Jésus-Christ vont être mis à mort, cette période loin de correspondre au règne social de N.S. Jésus-Christ étant tout au contraire une période de persécution sanglante pour les derniers vrais catholiques, c’est-à-dire que Grumel fait dire à Notre Dame, exactement le contraire de ce qu’elle veut dire, et bien évidemment derrière cette interprétation diabolique de Grumel, on soupçonne l’influence de Boanergès dans son abominable commentaire du secret de la Salette, où il est le premier à sortir un tel contre sens, car Grumel écrit ces âneries bien après le pseudo-commentaire du secret de Boanergès, qui est comme on le verra le plus ridicule mais aussi paradoxalement le plus diabolique commentaire du secret de la Salette que l’Eglise a connu.
Notre Dame ici, nous parle ici de la fin de l’éclipse de l’Eglise par le retour miraculeux d’Elie, c’est-à-dire du pape souffrant de son secret, dont le retour qui fera penser à la résurrection du Christ suscitera dans l’Eglise, un élan, une énergie, comparable, à celle de l’Eglise dans les premiers temps apostoliques tout de suite après la résurrection du Christ. La réconciliation de Dieu avec les hommes, n’est pas une réconciliation avec les persécuteurs de l’Eglise que sont les apostats de l’église wojtylienne, et une réconciliation avec les hommes adonnés au péché, c’est-à-dire ceux qui sont adonnés à la révolte permanente contre Dieu, qui sont des infiltrés dans les ordres religieux appartenant à la Synagogue de Satan ou à la franc-maçonnerie, qui sont commandés par le judaïsme le plus farouchement opposé au christianisme. Cette réconciliation de Dieu avec les hommes ne concerne que les vrais catholiques, membres de la véritable Eglise catholique ainsi que la véritable papauté qui est à leur tête , est une réconciliation avec Enoch et Elie et le reste de l’Eglise, que Dieu avait abandonné à eux-mêmes, condamnés à l’exil, à vivre à l’extérieur de chez eux, loin de leur cité sainte qu’est l’église officielle romaine désormais investie et occupée par l’Ennemi, mais Grumel dans sa démence s’imagine que Dieu se réconcilie ici avec tous les êtres humains après un cataclysme où il croit qu’il restera des survivants sur le globe terrestre, alors qu’après le dernier cataclysme, il ne restera aucun impie, ni aucun justes, aucun survivant. Grumel dit exactement l’opposé de ce que raconte Notre Dame. Notre Dame parle du retour d’Enoch et d’Elie, qui vont être bien accueilli par une infime minorité de justes, mais qui vont être mis à mort par la Rome païenne, c’est-à-dire par l’Europe paganisée, islamisé, cette partie de l’Europe qui a son centre spirituel et diabolique à Rome au Vatican, qui est une nouvelle version de l’empire romain qui persécutait les premiers chrétiens autrefois, et avec la complicité des plus hautes autorités du Vatican et de l’écrasante majorité d’apostats qui suivent la fausse papauté des derniers temps. Quand Notre Dame décrit l’impact de ce retour dans l’Eglise, Grumel, croit voir cet impact positif dans le monde entier, et c’est pour ça qu’il y voit un règne social du Christ sur le globe terrestre de mille ans, alors que Notre Dame dit tout le contraire, explique que si les justes seront réconfortés par le retour d’Enoch et d’Elie, que le rejet d’Enoch et d’Elie par le reste du monde, provoquera la disparition totale et définitive de notre monde. Grumel est pire qu’un âne, car un âne ça ne comprend pas, mais au moins ça ne fait pas dire à Notre Dame, le contraire de ce qu’elle dit.
La prophétie « Jésus-Christ sera servi, adoré , glorifié » n’est qu’une description de ce qui se passera à l’intérieur de la véritable Eglise de Jésus-Christ actuellement éclipsée par l’église wojtylienne, lorsque Enoch et Elie reviendront, le petit nombre de vrais catholiques ou de justes qui auront été oppressés, persécutés par l’église wojtylienne, remerciant Dieu pour ce miracle du retour d’Enoch et d’Elie, qui les délivreront de cette oppression, et qui feront d’eux des hommes libres comme le Christ, c’est-à-dire qui ne craindront pas de mourir pour Dieu et de s’exposer aux pires persécutions, comme les premiers chrétiens . Les vrais catholiques ont toujours servi, adoré, glorifié Jésus-Christ, mais lorsque Enoch et Elie reviendront ils le feront avec bien plus de joie et de zèle, tellement cette intervention miraculeuse de N.S. Jésus-Christ, les feront pleurer de joie, et les rendront semblables aux premiers apôtres et disciples du Christ, les surpassant même dans le martyr, si tant est que cela soit encore possible. En fait, ce paragraphe qui parle de l’intervention de Jésus- Christ par ses anges que sont Enoch et Elie, n’est rien d’autre qu’une description du retour miraculeux de Paul VI par une intervention merveilleuse de N.S. Jésus-Christ. Elie qui n’est pas mort, est toujours en vie et va revenir n’est rien d’autre que Paul VI qui n’est pas mort, est toujours en vie et va revenir.
C’est une certitude à la lumière des indications que nous donne Notre Dame de la Salette dans son secret, mais je comprends, que cela dérange, pas mal de monde à l’intérieur de la Sainte Eglise, Notre Dieu est un Dieu dérangeant, plein de surprises, comme dans le passé, qui sait étonner et surprendre les siens. Mais cela serait un peu trop long à expliquer ici. Disons pour le moment, que Enoch et Elie prêchant avec la force de Dieu, sont nécessairement l’autorité visible de l’Eglise, qui d’invisible qu’elle était est redevenue visible, or il n’y a pas d’autorité visible de l’Eglise, sans un vrai pape. Disons également que c’est Enoch et Elie qui dans le secret de la Salette mettent fin à l’éclipse de l’Eglise, d’après ce que dit Notre Dame de la Salette, or si Paul VI n’est pas mort, est toujours en vie, et va revenir, cette fin de l’éclipse de l’Eglise ne peut être faite que par son retour miraculeux, ce qui tend à indiquer que Elie qui n’est pas mort, qui est toujours en vie, et qui va revenir n’est autre que Paul VI. Notre Dame situe le pape souffrant de son secret dans l’Eclipse de l’Eglise, ce qui prouve que ce dernier vit caché en exil, attendant son heure pour en sortir et se montrer. Elle dit en effet de ce pape, qu’il souffrira dans un temps de grandes persécutions, or quand on cherche dans le secret des précisions sur ce temps on tombe sur ce temps d’un avant-coureur de l’antéchrist, qui est le temps où il sera donné à Wojtyla de fouler aux pieds les justes. Dans le même sens, Notre Dame nous parle d’un pape souffrant dans un temps de ténèbres, mais lorsqu’on cherche à comprendre ce que sera ce temps, on tombe sur ce temps où l’église sera éclipsée qui ne peut être que ce temps de ténèbres dont elle parle. Notre Dame décrit Paul VI comme un nouveau Tobie que le démon Asmodée n’a pas pu faire périr, elle le décrit comme un pape protégé miraculeusement par Dieu, qui ne pourra pas être mis à mort, tant qu’il n’aura pas accompli sa mission. Elle donne toutes sortes de précisions, qui font qu’on est contraint de voir en Paul VI, le pape souffrant de son secret. En fait, tout le secret de la Salette tend vers cette idée que Paul VI est l’Elie, le nouvel Elie qui doit venir, mais pour s’en rendre compte, il faut avoir du sens réel du secret de la Salette, une vue complète.
Autre chose de certaine, c’est que le démon redoublera encore de fureur contre les derniers chrétiens et disposera de plus de puissance que dans le passé. D’ailleurs Notre Dame ne dit-elle pas de Lucifer et des démons qu’ils « ont été détachés de l’Enfer » en « 1864 », pour se trouver « sur la terre et dans les airs », situation effroyable que n’a jamais connu l’Eglise ou la sainte Religion dans le passé, qui indique que la fin du monde est proche, bien plus proche qu’on ne pourrait le croire à première, où il reste très peu de temps au démon pour faire ce qu’il veut, car la fin du monde est proche. Dans ce contexte, la mise à mort des persécuteurs de Jésus-Christ et de tous les hommes adonnés au péché ne peut pas être une mort physique, mais une excommunication qui ferme la porte du Ciel d’une manière radicale de ces gens-là, qui ont été démasqué d’autorité par Elie – Elie = le pape souffrant des derniers temps à sa sortie d’exil -, comme Elie dans l’Ancien Testament est parvenu à confondre par un miracle de Dieu, les prêtres de Baal, avant de les mettre à mort. C’est une mise à mort pire que celle d’Elie sous l’Ancienne alliance, qui était une mise à mort par l’épée. Ici, c’est la pire des mises à mort : une sentence d’excommunication qui condamne à la mort éternelle, pas à une mort physique. C’est dans ce sens-là qu’il est dit par Notre Dame, de ces derniers qu’ils « périront », c’est-à-dire iront en enfer, à moins qu’ils ne se soumettent à Enoch et à Elie, et reconnaissent leur autorité, avant que cela ne soit trop tard pour eux, mais si quelques conversions se feront du côté des apostats persécuteurs de l’Eglise et des intrus dans l’Eglise, francs-maçons, elles seront certes d’autant plus spectaculaires que peu nombreuses. Dans le même sens, « la terre deviendra comme un désert » ne signifie pas une mortalité de toutes les populations habitant le globe terrestre, avec quelques survivants au nombre insignifiant, mais que l’église officielle romaine, appelée « la terre » ne contiendra plus que des excommuniés, futurs damnés, des morts à toute vie spirituelle, au milieu desquels le juste se sentira seul comme dans un désert.
Grumel croit voir dans ces expressions de Notre Dame, le globe terrestre débarrassé de tous les impies, comme au jour du déluge, pour un règne social du Christ sur le globe terrestre de mille ans, car c’est un aveugle dépourvu de toute intelligence dans les choses de Dieu, un prêtre, qui est tombé de haut dans son Apostasie, dont les propos sur le secret de la Salette, montrent que son état est bien plus grave que celui d’un idiot congénital qui serait handicapé par sa génétique mais qui serait en état de grâce. La paix relative au retour d’Enoch et d’Elie, est encore une paix qui ne concerne que les hommes, c’est-à-dire précisément comme le dit Notre Dame elle-même « les ouvriers de Jésus-Christ », c’est-à-dire ceux qui travaillent dans la vigne du Seigneur, qu’est la véritable Eglise catholique. Il ne s’agit pas d’une paix qui s’étendrait au-delà de l’Eglise, dans un monde qui s’ouvrirait à l’Evangile. Le fait que l’Evangile soit prêché partout par Enoch et Elie, et ceux qui les suivront, ne signifie pas que l’Evangile sera reçu partout, l’avènement du règne social du Christ pour mille ans, mais signe au contraire d’une dernière persécution sanglante cette fois, au cours de laquelle le monde tentera de se débarrasser une bonne fois pour toute, des derniers chrétiens, ce monde étant plus coupable que celui de Noé le jour du déluge, devant disparaitre à son tour dans un cataclysme planétaire où aucun être humain ne survivra. Il n’y a pas dans le secret de la Salette, l’annonce d’une paix ou d’un règne de mille ans du Christ. Il n’y a rien dans ce secret, indiquant que Notre Dame soutient le millénarisme, c’est une invention du démon, pour faire cracher les méchants sur le secret de la Salette et pour détourner les justes du sens réel du secret de la Salette. On a vu ce que cette croyance a donné chez Boanergès ou Vincent Morlier ! On voit ce qu’elle donne chez Grumel, ça ne le fait pas revenir dans la véritable Eglise et ça encourage les imbéciles de tout bord, à croire que le secret de la Salette, ça enseigne un règne de mille ans et que par conséquent le secret de la Salette est une invention de Mélanie, pas très catholique ! Quel quiproquo ! Quelle mauvaise plaisanterie du démon qui ricane en ce moment de toutes les couleuvres qu’il a fait avaler à l’abbé Grumel !
Ensuite Grumel qui est intarissable dans les contresens et les bêtises, expert dans l’art de dénaturer le contenu du message de Notre Dame, poursuit sa torture du sens littéral du secret, pour lui faire dire ce qui lui plait :
« 2- De 1971 à 1904–1914 : « 35 ans et plus... » « Trente-cinq ans et plus », selon les paroles de Marie, à la fin du chapitre 2. » écrit-il, s’imaginant avoir compris ce qu’est cette période de plus de 35 ans. Et il continue à marteler ses inepties en radicales opposition avec le secret de la Salette : « Période d’épidémies (tuberculose, typhus, choléra, grippe espagnole,) mauvaises récoltes dues à l’influence des parasites, insectes, champignons, phylloxéra de la vigne etc… Sur l’Eglise s’abattent alors les lois laïques et les persécutions qui aboutissent à la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et à la confiscation des biens d’Eglise, au dépouillement du clergé et l’expulsion des religieux, et en France à l’interdiction, pour les congrégations d’exister et d’enseigner. C’est la fin de cette période que Marie désigne en disant : « La société est à la veille les fléaux les plus terribles et des plus grands événements. »
Grumel commet une étourderie, il écrit « 1971 », alors qu’il voulait dire 1871. Cela n’a aucun sens de partir de l’année 1971 pour descendre vers 1914. Remarquez que même avec cette correction, ce qu’il dit ne s’en trouve pas mieux, car on est avec Grumel, toujours dans les absurdités et le ridicule. Et en effet, lorsqu’il commente plus loin dans son pseudo-commentaire du secret, cette période de plus de 35 ans, voici ce qu’il dit : « Marie vise ici, manifestement, la période qui a suivi les 25 ans de paix entre les hommes et d’abondantes récoltes (de 1846 à 1870). Selon l’aveu de Mélanie, cette période a commencé en 1880. » Donc pour Grumel, il faudrait faire partir cette période de plus de 35 ans, après 1870, en 1871. Il prétend s’appuyer sur Mélanie, mais ce n’est pas vrai, Mélanie a commis certes de nombreuses erreurs d’interprétations, mais lorsqu’elle les commettait, elle arrivait toujours par une chance incroyable à nous mettre dans la bonne direction. En effet, pour ce qui concerne le repérage dans le temps de la période de 25 ans, Mélanie se trompe en faisant partir cette paix de 25 ans, à la fin de « la guerre générale qui sera épouvantable », car cette guerre vient dans le secret de la Salette, après la description de la fin de la seconde guerre mondiale, et concerne donc la troisième guerre mondiale, mais Mélanie qui a un peu de bon sens – ce n’est pas comme tous les pseudo-commentateurs du secret que l’on a rencontrés, qui sont tous déboussolés et sans le moindre bon sens – comprend qu’une paix se situe entre deux guerres, et que pour comprendre quand commence cette paix de 25 ans, il faut revenir dans le paragraphe où Notre Dame utilise le mot « guerre » et à deux reprises, qui contient la description de la fin de la seconde guerre mondiale, que Notre Dame a donné pour que nous comprenions notamment à partir de quand il faut faire démarrer la paix de 25 ans. Dans le même sens Mélanie s’était trompé en estimant que les faiseurs de miracles se manifesterait vers 1920, mais avait compris qu’il s’agissait de francs-maçons infiltrés dans l’Eglise, etc. Comme je l’ai déjà dit Mélanie est une mauvaise commentatrice du secret, mais c’est la moins mauvaise, tout comme Maximin d’ailleurs, où rien de bon n’a été écrit sur le secret après eux, jusqu’à ce que Notre Dame intervienne sur sa montagne pour nous faire connaitre son secret, puisque personne n’a été capable de le comprendre.
Mélanie contrairement à ce que raconte Grumel ne dit pas que la période d’abandon de plus de 35 ans dans le secret de la Salette commence en 1880, ce qui d’ailleurs ne colle pas vraiment avec ce que dit Grumel, qui part de l’année 1871. Lorsque Mélanie a dit : « la Règle donnée par la Vierge a été refusée en 1879, et la guerre acharnée contre le Secret a commencé en 1880. Puisque les hommes refusaient le remède, il n’y avait plus rien à faire, Dieu frappait et aveuglait. », elle ne faisait pas référence à la période de 35 ans où Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes. Grumel croit qu’elle y faisait référence implicitement, mais Grumel prend ses désirs pour des réalités. En effet, il n’y a rien dans le secret de la Salette qui montre que Dieu va abandonner les hommes à eux-mêmes pendant plus de 35 ans, parce qu’ils ont refusé le remède qu’apportait le secret ou se sont acharnés contre le secret. Cette idée à vrai dire est vraiment des plus absurdes et des plus ridicules. D’une part le secret est rédigé dans ce genre littéraire qu’est l’apocalypse pour ne pas être compris de la plupart des gens, mais seulement pour être compris par un tout petit nombre d’élus et si on suit ce raisonnement ridicule de Grumel, Notre Dame aurait mieux fait de ne jamais donner son secret, si le rejet de son secret par ailleurs rédigé dans un langage volontairement abscons, doit nous apporter plus de 35 ans d’abandon de la part de Dieu. Cet abandon de Dieu de plus de 35 ans qui concerne les hommes, c’est-à-dire disons-le, encore une fois, uniquement les vrais catholiques et certainement pas les non catholiques, n’est pas dû à Notre Dame de la Salette et à son secret. Il ne faut pas tout inverser comme le fait scandaleusement Grumel, qui est agaçant avec ses faux raisonnements qui lui sont inspirés par le démon, démon qui prend un malin plaisir à s’opposer à Notre Dame de la Salette, et à lui dire : « voyiez, ma très Haute, vos enfants ne vous écoutent pas, mais ils m’écoutent moi, et de ce que vous dites, je leur fais croire ce que je veux ! Vous aurez beau leur parler, au final, c’est toujours moi, qui aura le dernier mot, même avec vos paroles que je transformerais ! » Mélanie veut seulement dire qu’on ne doit pas faire la guerre au secret de Notre Dame, car on ne s’attaque pas à Notre Dame impunément, Jésus-Christ ne supporte pas ceux qui s’en prenne à sa Mère. Mélanie veut dire que le secret de la Salette est fait pour nous éclairer, et que si l’on se prive de cet éclairage, et bien on est comme un aveugle qui ne veut pas voir. Mélanie ne fait pas de lien avec le refus du secret par les méchants, qui est bien naturel au fond, puisque le secret n’est pas fait pour les méchants et ne s’adresse pas à eux, avec la période de plus de 35 ans dans le secret de la Salette. Et combien même, ferait-elle ce lien, il ne faudrait pas la suivre.
En effet, qu’est-ce qui dans le secret de la Salette, est la cause de cet abandon de Dieu de plus de 35 ans ? C’est le mauvais comportement des papes, des papes validement papes, pas des antipapes, et en particulier de Paul VI : « les chefs, les conducteurs du peuple de Dieu ont négligé la prière et la pénitence, et le démon a obscurci leur intelligence », les chefs du peuple de Dieu par-delà les évêques et les cardinaux, désignent les papes, pas des antipapes qui ne sont pas les chefs du peuple de Dieu, mais les chefs d’un peuple apostat, schismatique coupé du peuple de Dieu. Plus précisément, c’est le comportement de Jean XXIII et de Paul VI après la mort de Pie XII. De ces deux papes, que le vieux Diable trainera avec sa queue (la queue est le symbole de la ruse, évoque l’attitude du scorpion qui fait semblant de vouloir embrasser sa victime avec les bras, mais attaque en réalité par en haut, avec sa queue, pour inoculer à l’improviste son poison ) pour les faire périr, l’un d’eux Paul VI ne périra pas, Asmodée qui est le vieux Diable qui veut dire « faire périr », ne pourra pas nuire à ses jours comme il espérait le faire avec ses adeptes que sont les faiseurs de miracles ou prélats francs-maçons : « les méchants attenteront à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours », car Paul VI est à l’image de Tobie qui été protégé par Dieu d’Asmodée, un nouveau Tobie qui doit se couper des siens pour vivre caché en exil, pour ensuite revenir vers les siens. Laissons donc de côté Jean XXIII qui lui en revanche ne dispose pas d’une protection miraculeuse de Dieu, et n’est pas le personnage principal du texte, puisque tout le texte se porte désormais sur Paul VI, même si cela ne se voit pas à première vue. Le reproche fait à Paul VI de négliger la prière et la pénitence, renvoie au pape nu au chapitre III de l’apocalypse, qui est « tiède, ni froid, ni chaud », et qui doit « exciter son zèle et faire pénitence ». C’est un pape qui est appelé à suivre les pas du christ dans la passion : « je te conseille d’acheter de l’or éprouvé au feu », appelé à triompher « afin que tu deviennes riche et que tu te revêtes de vêtements blancs, et que n’apparaissent pas la confusion de ta nudité », appelé à être « repris et corrigé » par Dieu, appelé voir, un pape contraint à vivre caché, coupé des siens, pour suivre les pas du christ dans la passion, à vivre caché en exil, pour vivre dans une plus grande intimité avec Dieu, et dont le retour fera penser à la résurrection du Christ : « voici que je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix, et m’ouvre, la porte, j’entrerai chez lui, et je souperais avec lui, et lui avec moi. »
Asmodée ne peut pas nuire aux jours de Paul VI, pour toutes ces raisons, mais Asmodée peut le frapper c’est-à-dire faire en sorte de le remplacer par un faux pasteur, l’évincer de la fonction pontificale, le contraindre à vivre caché en exil , ce que sous-entend le passage suivant, qui est une conséquence du mauvais comportement de Paul VI : « Dieu permettra au vieux serpent » toutefois, c’est-à-dire à Asmodée, « de mettre des divisions parmi les régnants, dans toutes les sociétés, et dans toutes les familles ». En effet, ces divisions sont celles qui se produisent dans le troupeau, lorsqu’un loup ravisseur rentre dans la bergerie, après que le bon pasteur qu’est le pape ait été frappé ou neutralisé, réduit à l’impuissance, le Bon pasteur ayant été frappé, toutes les brebis sont dispersées. Qui dit dispersions dit divisions, et les régnants qui sont divisés ici se sont ceux qui après le pape régnaient sur le peuple de Dieu : ce sont les évêques et les prêtres d’influence et les sociétés divisées ici ce sont les associations catholiques et les familles divisées se sont les familles catholiques, bref, tout ceux qui se trouvent divisés ici ce sont en définitif les ouvriers de Jésus-Christ ( les hommes comme les femmes ), c’est-à-dire les vrais catholiques, ceux qui pour ont pour charge de prendre soin de la vigne du Seigneur, et qui sont dans la véritable Eglise catholique. Comment sait-on que ce sont les ouvriers de Jésus-Christ qui sont ici divisés, mais parce que Notre Dame le dira plus loin, lors du retour miraculeux d’Enoch ou d’Elie (Elie qui n’est pas mort, qui vit toujours et va revenir = Paul VI , Paul VI aura besoin d’Enoch , d’un témoin, qui vienne le soutenir, lors de son retour, Dieu lui en procurera un : Enoch ) , « il y aura unité parmi les ouvriers de Jésus-Christ » ce qui sous-entend qu’avant ces derniers étaient divisés et en particulier en ce qui concerne Paul VI ou ce qui revient au même la question du pape.
Conséquence de cette division à l’intérieur du peuple de Dieu ou du troupeau appartenant au Bon pasteur qu’est le pape : « on souffrira des peines physiques et morales » c’est-à-dire que les vrais catholiques, pas les apostats, souffriront, ces peines physiques et morales étant supportés par le troupeau du bon pasteur qui est l’Eglise, qui ne reconnaissant pas le Bon pasteur en voyant un loup ravisseur à la place, a fui dans toutes les directions et s’est divisé, ce sont les vrais catholiques qui à la suite du vrai pape ou dans son sillage, vont souffrir à leur tour. Conséquence également du mauvais comportement de Paul VI : « Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes et enverra des châtiments qui se succèdent pendant plus de 35 ans. » Cet abandon est dû au mauvais comportement de Paul VI, mais aussi des autres chefs et conducteurs du peuple de Dieu, donc il s’agit d’une sanction qui frappe le pape Paul VI et les autres conducteurs du peuple de Dieu, les forces vives de l’Eglise et a fortiori les autres membres de l’Eglise, les hommes ici « abandonnés par Dieu », c’est le pape et les autres membres du peuple de Dieu, surtout pas les apostats qui par leur apostasie ont cessé d’appartenir à ce peuple. Mais cet abandon de Dieu, n’est que provisoire, car passé ce délai de plus de 35 ans, « Dieu se réconciliera avec les hommes », et comme Notre Dame associe dans son secret, cette réconciliation de Dieu, avec les hommes au retour d’Enoch et d’Elie, et le retour d’Enoch et d’Elie à la fin de l’éclipse de l’Eglise, il faut en déduire nécessairement que cette durée de plus de 35 ans concerne la durée de l’éclipse de l’Eglise ou ce qui revient au même le retour de Paul VI. Il faut en déduire que cette période de plus de 35 ans, commence avec le début de l’éclipse de l’Eglise, lorsque l’église officielle romaine s’est vidée de la véritable papauté en la personne de Paul VI, pour perdre toute autorité apostolique, suivre une fausse papauté et devenir la Babylone maudite de l’Apocalypse, et les châtiments que Dieu va envoyer pendant cette période de plus de trente-cinq ans, sont décrits par Notre Dame de la Salette plus loin dans son secret, cela comporte le règne d’ « un avant-coureur de l’antéchrist » et d’autres encore « qui font profession de servir Jésus-Christ » mais qui s’adorent eux-mêmes et se font adorer comme les empereurs romains d’autrefois, qui sont des antipapes, la durée de cette fausse papauté étant également comptée devant durer également plus de trente cinq ans.
Mais pour Grumel, cette période d’abandon de Dieu, n’a strictement rien à voir avec l’éclipse de l’Eglise, où l’avènement d’une fausse église qui se fait passer pour la vraie aux yeux du monde, et qui foulent au pied les justes. Cela n’a rien à voir non plus avec la souffrance du pape des derniers temps suivant le Christ dans sa passion, et cela n’a rien à voir avec l’évincement de la véritable papauté par une fausse. Cela n’a rien à voir avec toutes les persécutions que ce pape subira par les faiseurs de miracles ou prélats francs-maçons, subira de la part de la fausse église wojtylienne, cela n’a rien à voir avec les justes qui subiront cette oppression de cette fausse église, rien à voir avec tout le peuple de Dieu qui face à ses épreuves demandera pardon et miséricorde au Bon Dieu ! Cela concernerait d’après lui, la période qui va de 1871 à 1904-1914, c’est-à-dire la période où on avait de vrais papes. Dieu dans cette période qui va de 1871 à 1914, a donné à son peuple de bons papes, de bons pasteurs, de bon guides, même un saint Pape « Pie X », mais pour Grumel, c’est la période où Dieu a abandonné les hommes à eux-mêmes. Mais comment peut-on dire, ici, que Dieu, a abandonné les hommes à eux-mêmes, alors qu’il leur a donné de bon papes ? Grumel cherche ici à nous faire avaler une couleuvre, il n’est pas seulement déboussolé, c’est quelqu’un de mauvais, de perfide, comme les gens de la synagogue de Satan, qu’il suit aveuglément, qui considère que l’Eglise autrefois, ça allait très mal, mais que maintenant avec Wojtyla tout va très bien, depuis que c’est le judaïsme antichrétien qui gouverne au Vatican, on respire, c’est effectivement tellement mieux ! On sent bien ici derrière sa pseudo-explication de la durée de plus de trente-cinq ans, la patte du démon amicalement posé sur son épaule !
Et ça y va, Grumel débite son faux raisonnement qui lui est inspiré par le Diable : « Période d’épidémies (tuberculose, typhus, choléra, grippe espagnole,) mauvaises récoltes dues à l’influence des parasites, insectes, champignons, phylloxéra de la vigne etc… Sur l’Eglise s’abattent alors les lois laïques et les persécutions qui aboutissent à la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et à la confiscation des biens d’Eglise, au dépouillement du clergé et l’expulsion des religieux, et en France à l’interdiction, pour les congrégations d’exister et d’enseigner. C’est la fin de cette période que Marie désigne en disant : « La société est à la veille les fléaux les plus terribles et des plus grands événements. » Parce que vous comprenez aujourd’hui, à notre époque, on n’a plus de tels fléaux, toutes ses persécutions de l’Etat contre les vrais catholiques ! ! On a en Wojtyla, un pape merveilleux ! On a l’Etat qui encourage l’invasion islamique pour faire disparaitre le christianisme en France, mais ça, c’est une chance pour l’Eglise, et plein de progrès de ce type ! Soit Grumel se moque de nous, n’est pas sincère, hypothèse que je ne retiens pas, soit il est atteint de cécité spirituelle à un point qu’il ne se rend pas compte que ce qu’il dit est complètement idiot.
Mais derrière ces idioties de Grumel, il n’y a aucune innocence, il y a un prêtre apostat qui n’est pas inoffensif, mais qui entraine avec lui, dans l’abîme ses lecteurs, qui les empêchent de comprendre le secret de la Salette, qui monte des murs pour empêcher la compréhension du secret de la Salette, et qui s’interdit de rentrer dans le secret de la Salette, pour le comprendre, qui trahit , torture en permanence le sens littéral du secret de la Salette, pour lui enlever toute sa substance et en faire un sac vide. En effet, ce que fait dire Grumel à Notre Dame n’a vraiment aucun intérêt pour les justes : « Période d’épidémies (tuberculose, typhus, choléra, grippe espagnole,) mauvaises récoltes dues à l’influence des parasites, insectes, champignons, phylloxéra de la vigne etc… Sur l’Eglise s’abattent alors les lois laïques et les persécutions qui aboutissent à la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et à la confiscation des biens d’Eglise, au dépouillement du clergé et l’expulsion des religieux, et en France à l’interdiction, pour les congrégations d’exister et d’enseigner. » En effet, les justes n’ont pas besoin de Notre Dame pour savoir ces choses que rapporte Grumel, et puis Grumel veut nous faire croire que Notre Dame dans son secret a annoncé tout ce qu’il raconte. « Plus c’est gros plus ça passe » a dû se dire le Malin en faisant avaler à Grumel toutes ses imbécilités. Et bien non, à moins d’avoir de la fiente d’oiseau sur les yeux, comme le père de Tobie, ce qu’il dit ne passe pas. On sent bien chez Grumel, l’imposteur, le faux prophète, qui dit Notre Dame m’a dit, mais à qui Notre Dame n’a rien dit et n’a voulu rien faire comprendre de son secret. Quel conducteur aveugle, que l’abbé Grumel ! Il parait beau au dehors avec son prétendu soutien pour le secret de la Salette, mais au-dedans est plein d’ossements de morts et de toutes espèces d’impuretés. Il parait juste aux hommes, mais au-dedans, il est plein d’hypocrisie et d’iniquité ! Quel serpent, quelle race de vipères ! Il ramène les siens vers le secret de la Salette, mais c’est pour en faire des enfants de la géhenne, deux fois plus que lui !
Et Grumel infatigable dans la bêtise, nous dit que la période de plus de 35 ans « C’est la fin de cette période que Marie désigne en disant : « La société est à la veille les fléaux les plus terribles et des plus grands événements. » Non, la fin de cette période de plus de 35 ans, c’est au contraire le retour d’Enoch ou d’Elie, ou la fin de l’éclipse de l’Eglise. Cette période où Dieu a abandonné les hommes c’est-à-dire les vrais catholiques, se termine lorsque Dieu par le retour avec Enoch et Elie, se réconcilie avec les hommes, montre qu’il n’est plus fâché avec les siens, mais seulement avec ceux qui seront contre Enoch et Elie ! En effet, le passage suivant « on doit s’attendre à être gouverné avec une verge de Fer » fait référence « au fils de la femme qui doit gouverner toutes les nations avec une verge de fer » au chapitre XII de l’Apocalypse verset 5, où la femme en question est l’Eglise à l’image de la très Sainte Vierge Marie, et le fils de la femme, le pape qui doit gouverner. La femme est menacée par le dragon qui entraine avec sa queue des étoiles du ciel, que nous a décrit Notre Dame en ces termes « le vieux diable trainera avec sa queue pour les faire périr », les conducteurs du peuple de Dieu, c’est-à-dire les évêques, les cardinaux, et pour faire périr le plus haut d’entre eux qu’est le pape, mais le pape qui viendra d’être élu » que la femme qu’est l’Eglise aura mis au monde, - Paul VI - « le vieux diable » ou « le dragon » ( par « les faiseurs de miracles » ou prélats francs-maçons qui sont ses serviteurs ) ne pourra pas nuire à ses jours. En effet, Notre Seigneur Jésus-Christ confirme le secret de la Salette, ce fils de la femme, qu’est le pape (Paul VI) fut enlevé vers Dieu, comme Elie dans un char de feu, car Elie dont Notre Dame parle dans son secret et le pape, c’est la même personne, c’est-à-dire que le pape Paul VI sera enlevé vers Dieu, où cela ? Dans un endroit caché connu que de Dieu seul, où il vivra dans une plus grande intimité avec Dieu, c’est un endroit où le pape vit coupé des siens, en exil, retiré, comme Elie autrefois , mais ajoute Notre Seigneur Jésus-Christ, ce pape qui sera enlevé vers Dieu, c’est-à-dire conduit par Dieu en exil pour vivre avec Dieu, sera enlevé « ensuite vers son trône », vers le trône de Dieu , qu’est l’Eglise à Rome, c’est-à-dire que ce pape du fond de son exil sera appelé par Dieu à sortir de son exil caché, pour revenir à Rome. Revenir à Rome, pour quoi faire ? « Pour mettre à mort les ennemis de Dieu » nous dit Notre Dame, comme Elie a mis à mort les prêtres de Baal, c’est-à-dire pour confondre d’autorité, les persécuteurs de l’Eglise que sont les apostats de l’église wojtylienne et tous les mauvais catholiques qui ne voudront pas se soumettre à lui, et pour confondre d’autorité « toutes les personnes adonnés au péché » qui sont des francs-maçons, que le démon « a introduit dans les ordres religieux » pour s’asservir la fonction pontificale, et cette mise à mort se fera par une excommunication, où le pape, le nouvel Elie, en compagnie d’Enoch ( celui que Dieu aura choisi pour l’accompagner et lui rendre témoignage) , condamnera également toutes les erreurs de ce monde-là.
Ceux qui se soumettront à Elie, c’est-à-dire au pape lors de son retour miraculeux, se sauveront, mais ceux qui ne se soumettront pas à lui, se perdront, comme cela s’est passé lorsque Moïse que l’on croyait mort est revenu du mont Sinaï pour constater la corruption du peuple de Dieu par un veau d’or, où ceux qui ont résisté à Moïse ont péri. C’est ce que voulait dire Notre Dame : « on doit s’attendre à être gouverné par une verge de fer » Elle rajoute « et à boire le calice de la colère de Dieu », car le nombre de ceux qui se soumettront à Elie ou Paul VI lors de son retour miraculeux, sera tout petit, les nations y seront opposés à l’intérieur de la Rome païenne, de cette Europe paganisée qui a son siège spirituel, diabolique, à Rome, au Vatican, nouvelle version de l’empire romain païen d’autrefois qui avait son panthéon de toutes les fausses religions à Rome, car Enoch et Elie après avoir accompli leur mission seront mis à mort par cette Rome païenne, qui comprend l’Etat du Vatican, et qui est l’Europe également islamisée. Mais cette mise à mort d’Enoch et d’Elie, provoquera le jour de la sainte Colère de Dieu, où Dieu exterminera les nations, en deux temps, en permettant une dernière guerre épouvantable, la troisième guerre mondiale, et dans un deuxième temps, en redressant les axes de rotations du globe terrestre pour les remettre à la place où ces axes se trouvaient avant le déluge, ce qui aura pour effet d’anéantir toute vie humaine, d’anéantir notre monde : la fin du monde ! Mais tout cela Grumel ne le comprend pas, parce qu’il est pire qu’un âne, est un aveugle qui ne veut pas voir !
Et Grumel continue son découpage, enfin, ce qu’il croit comprendre de la chronologie de Notre Dame de la Salette :
3 - De 1914 à 1945. Période de « guerres qui se succèdent » civiles, internationales et coloniales, ayant pour théâtre l’Europe et les nations dites « chrétiennes » : France, Italie, Espagne, Angleterre. Marie n’a pas précisé la durée de cette période. « Pour un temps Dieu ne se souviendra plus de la France ni de l’Italie… » 1945 marque cependant la fin des hostilités entre les nations de l’Europe.
Grumel ici s’imagine expliquer ce passage dans le secret de la Salette, mais encore une fois, il peut en être autrement pour un apostat de son espèce, il a tout faux :
« La France, l’Italie, l’Espagne, et l’Angleterre seront en guerre ; le sang coulera dans les rues ; le français se battra avec le français, l’italien, avec l’italien ; ensuite il y aura une guerre générale qui sera épouvantable. Pour un temps l’Eglise ne se souviendra plus de la France, ni de l’Italie, parce que l’Evangile n’est plus connu. Les méchants déploieront toute leur malice ; on se tuera, on se massacrera jusque dans les maisons. » - Dit Notre Dame.
Voici, ce que Grumel écrit à ce sujet, plus loin pour compléter son point de vue à la p.56 de son pseudo-commentaire :
« Prédictions particulièrement impressionnantes, parce qu’elles visent des nations chrétiennes depuis des siècles, mais où l’Evangile de Jésus-Christ n’est plus connu. Déficience prévue déjà par le Seigneur Jésus : 57 « Alors beaucoup succomberont, se livreront les uns les autres ; et il surgira beaucoup de faux prophètes qui induiront beaucoup de monde en erreur, et par l’excès de l’iniquité la charité de beaucoup se refroidira. » (Mt. 24/10) « Une guerre générale qui sera épouvantable ». Les discordes politiques n’ont cessé, en effet avec un fanatisme grandissant jusqu’à cette guerre dont parle ici la Vierge Marie. Elle désigne, sans aucun doute, la guerre de 1914-18. Elle fut épouvantable, en effet ! Elle fut cette guerre entre les nations chrétiennes ici nommées. Marie ne dit pas qu’elle sera la seule, ni qu’elle sera la dernière… Elle ne parle pas de l’Allemagne, car l’Allemagne n’est plus catholique. C’est au chapitre 3 qu’elle parlera, au contraire, de la « dernière guerre » : « Il y aura des guerres jusqu’à la dernière guerre qui sera faite par les 10 rois de l’Antéchrist. »
Comment peut-on débiter à la queue autant de bêtises ! A entendre Grumel, « Marie ne parle pas de l’Allemagne parce que l’Allemagne n’est plus catholique », mais ajouterais-je, la très Sainte vierge Marie nous parle pourtant bien ici de l’Angleterre, et l’Angleterre aussi, n’est plus catholique depuis le schisme d’Henri VIII ! Dire que Notre Dame ne parle pas de l’Allemagne parce que l’Allemagne n’est pas catholique, c’est donc complètement idiot ! Notre Dame ne parle ici tout simplement pas de l’Allemagne, car lorsqu’elle dit que « la France et l’Angleterre seront en guerre », elle ne veut pas que les méchants comprennent qu’elle parle ici de la seconde guerre mondiale, où la France et l’Angleterre sont entrées en guerre les premières contre l’Allemagne de Hitler. Pour Grumel, tout ce passage qu’on vient de citer du secret de la Salette, concernerait la première guerre mondiale, alors que Notre Dame ne parle absolument pas ici de la première guerre mondiale, mais de la seconde guerre mondiale, où l’Italie aussi est entrée en guerre du côté de l’Allemagne. Notre Dame parle de l’Espagne, parce qu’Elle voit ce qui s’est passé en Espagne sous un autre angle particulier. Si elle évoque l’Espagne en guerre, c’est parce que l’Eglise a beaucoup souffert durant la guerre civile espagnole, et que les grandes puissances se sont battues d’une manière indirecte, par des forces interposées, en Espagne, avant de se battre d’une manière directe au cours de la seconde guerre mondiale. Par ailleurs, comme je l’ai déjà expliqué, le passage « ensuite il y aura une guerre générale qui sera épouvantable » signifie qu’une autre guerre viendra après la seconde guerre mondiale, qui sera générale, c’est-à-dire mondiale, elle aussi, épouvantable, en ce sens, qu’elle sera bien plus terrifiante que la seconde guerre mondiale, frappera « l’univers de terreur » précisera plus loin Notre Dame, en parlant de villes européennes anéanties par des armes de destruction massive , l’expression « trois villes » désignant dans le secret de la Salette, une totalité de villes dans l’Europe paganisée qui a son centre spirituel diabolique au Vatican. Notre Dame appelle cette Europe ou partie de l’Europe : « la Rome païenne », qui est une nouvelle version de l’Empire romain « sous la forme de l’Union européenne » comme disaient les frères Dimond, au sujet de « la bête qui monte de l’abîme » dans Apocalypse chapitre XVII verset 8, qui est pour Notre Dame de la Salette, « la Rome païenne ». Cette autre guerre, c’est pour Notre Dame de la Salette, la troisième guerre mondiale, mais Grumel, y voit la guerre 14-18, parce qu’il est comme je l’ai déjà dit, pire qu’un âne, pire qu’un idiot congénital, un aveugle qui ne veut pas voir.
Mais le pire de ce que dit Grumel, le plus méprisable, n’est pas là. Il est dans le fait que Grumel ne comprend pas le passage « Pour un temps l’Eglise ne se souviendra plus de la France, ni de l’Italie, parce que l’Evangile n’est plus connu » Notre Dame ici nous parle ici de l’Etat de la France et de l’Italie, juste avant la troisième guerre mondiale. L’Evangile n’est plus connu en France et en Italie, parce que pendant plus de 35 ans, une fausse papauté a déchristianisé la France et l’Italie, a fait en sorte que l’Evangile n’y soit plus connu. L’idée que l’Evangile ne soit plus connu en Italie, et donc pas même au Vatican, implique l’idée que le Vatican est dirigé par des loups ravisseurs, ces prêtres cloaques d’impureté, dont Notre Dame de la Salette nous parlait au tout début de son secret, et qu’elle comparait à Anne et Caïphe, en établissant un rapport analogique entre le Christ livrés aux romains par les prêtres du Temple de Jérusalem, et les prêtres cloaques d’impureté de la basilique saint Pierre de Rome, livrant Enoch et Elie, à la Rome païenne, ou encore, car il s’agit de ces mêmes personnes, ces gens « qui font profession de servir Jésus-Christ », qui sont déguisés en agneau, mais qui au-dedans sont comme des loups ravisseurs, qui ont ravi au vrai pape son troupeau, et qui « s’adorent eux-mêmes », comme Lucifer se voue un culte à lui-même. Mais cela Grumel ne veut pas le voir. Il est mort sans savoir, et que lui sert de savoir ces choses s’il est en Enfer maintenant ? Pour Grumel, et c’est là qu’il est vraiment repoussant, cette période où l’Evangile n’est plus connu en France et en Italie, se situe lorsqu’il y avait de bons ou de vrais papes, c’est-à-dire au début du XX ème siècle. La période où Dieu ne se souviendra plus de la France et de l’Italie, c’est pour Grumel, celle de la première guerre mondiale. Cette interprétation est des plus immonde, car Notre Dame veut parler au contraire ici d’une France et d’une Italie, déchristianisée, et même islamisée, paganisées à outrance sous la bannière satanique de l’Union Européenne. Cela n’a rien à voir avec la France ou l’Italie, où pendant la première guerre mondiale, l’Evangile était encore connu, parce qu’on avait à cette époque-là, un bon pasteur à la tête de l’Eglise, la Grande Apostasie, celle de Rome, du clergé romain, n’étant pas encore arrivée ! Grumel inverse sans arrêt ce que veut dire Notre Dame, lui fait dire l’opposé toujours de ce que Notre Dame veut nous faire comprendre dans son secret. Il ne s’agit pas d’accidents malheureux. C’est une ligne de conduite qui est satanique, à laquelle s’accroche constamment Grumel, comme un train s’accroche à une voie ferroviaire, à cette différence près que la destination du train qu’a pris Grumel, c’est l’Enfer. Il aurait mieux valu qu’il n’ait jamais rien écrit sur le secret de la Salette !
Et Grumel continue son voyage du secret de la Salette conduit par le même train, lui-même conduit par le démon, qui lui fait gober du secret de la Salette, ce qu’il veut :
« 4 – De 1945 à la dernière guerre. C’est la période de la « fausse paix ». C’est la période où nous sommes encore: la paix est « fausse », car elle n’est pas fondée sur un traité, mais seulement sur une convention d’armistice (Yalta) délimitant des zones d’influences des deux principales puissances. Depuis peu l’Allemagne s’est réunifiée après avoir été « occupée » par les armées dites « alliées », comme si la guerre n’était pas finie. Les guerres locales n’ont jamais cessé : Algérie, Indochine, Moyen Orient etc… et nous vivons dans une période d’armement intensif et de trafic d’armes. C’est pendant cette fausse paix que se préparent les grands événements de la fin ».- écrit Grumel.
Encore une fois, tout est faux ici dans cette interprétation de Grumel. Grumel fait référence ici à ce passage dans le secret de la Salette, mais il ne le comprend pas, ce qui est le cas, de tout ce qu’il rapporte du secret de la Salette : « avant que ceci arrive, il y aura une fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu’à se divertir. » Il croit, qu’il faut faire démarrer cette paix à la fin de la seconde guerre mondiale, seconde guerre mondiale qui cela dit en passant, il a été incapable de repérer dans le secret de la Salette. Il est complètement perdu Grumel dans le secret de la Salette, mais personne ne l’a contraint à commenter le secret de la Salette. C’est de lui-même, avec son consentement, qu’il a entrepris (avec le démon) ce travail de subversion consistant à vider le secret de la Salette de son contenu, pour y mettre à la place, ce que veut le démon ! Grumel est complètement déboussolé ici, il nous sort des banalités, des choses superficielles sans la moindre consistance, parce qu’il n’a reçu de Dieu, aucune connaissance véritable dans les choses de Dieu : « Les guerres locales n’ont jamais cessé : Algérie, Indochine, Moyen Orient etc… et nous vivons dans une période d’armement intensif et de trafic d’armes » On croirait lire la copie d’un élève de collège, de lycée en mal d’inspiration, qui n’arrive pas à penser, où on ne sent aucune progression, qui non seulement sort des banalités à mourir d’ennui, mais fait en plus du hors sujet. Ce n’est bien évidemment pas là, ce que veut dire Notre Dame dans son secret, ce que Grumel dit là, ne révèle rien du secret de la Salette, mais révèle le vide intérieur de Grumel, la médiocrité, la bêtise du personnage.
Pour Note-Dame de la Salette, ce qu’elle veut dire en parlant de « fausse paix » a une toute autre sens et une tout autre envergure. Cette faix paix fait suite à la guerre menée contre l’Eglise par « un avant-coureur de l’antéchrist » dont on a vu qu’il s’agissait de Karol Wojtyla, véritable précurseur de l’Antéchrist, véritable Jean Baptiste luciférien de l’antéchrist, appelé également « un avant-coureur de l’antéchrist » dans les révélations en cours d’exorcisme. Après avoir décrit Wojtyla et son règne, fait référence à son culte de son vivant mais aussi après sa mort, où Notre Dame laisse entendre qu’il sera regardé comme un dieu, comme un christ, comme un saint pape, après sa mort et pas seulement de son vivant par ses troupes d’apostats de plusieurs nations qui le soutiennent, culte qui fait penser à Notre Dame au culte de l’empereur dans la Rome antique ou la Grèce antique, car Wojtyla pour Notre Dame, n’a rien de religieux, est un immonde païen comme Néron, Caligula, ou encore Antiochus IV, voire encore Alexandre le Grand, Notre Dame fait référence à Enoch et Elie qui frapperont l’église officielle romaine : « la terre sera frappée de toutes sortes de plaies » . Il s’agit d’une référence à « ils ont pouvoir (…) pour frapper la terre de toutes sortes de plaies », c’est-à-dire que Notre Dame nous fait comprendre que Dieu par Enoch et Elie va s’en prendre à l’église de Wojtyla. Ensuite, Notre Dame nous rappelle ce qu’elle a dit précédemment en parlant de guerres, elle nous rappelle qu’après la seconde guerre mondiale, il y en aura une troisième, la dernière, car après ce sera la fin du monde, mais pas provoquée par la dernière guerre, mais le redressement des pôles de rotation du globe terrestre. Elle nous dit, de cette dernière guerre qu’elle « sera faite par les dix rois de l’antéchrist. » Grumel ne comprend rien à ce que Notre Dame raconte, pour lui « les dix rois de l’antéchrist » sont « des opposants au Christ et au christianisme » : les ignorants vont être bien avancés avec ce genre de commentaire sans le moindre intérêt de sa part (P. 67). Comme il n’est pas assez ridicule, Grumel rajoute : « ils représentent une coalition des nations contre l’Entreprise divine de la Rédemption si chèrement payée par Jésus-Christ ». C’est d’un comique !
Mais de quelles nations ? De toutes les nations ? Certainement pas, Grumel comme toujours s’engouffre dans un tunnel avec son train, dont la destination finale est la mort. Les dix rois de l’antéchrist sont les dirigeants seulement de la Rome païenne, pour Notre Dame de la Salette, c’est-à-dire de cette partie de l’Europe paganisée, qui a son centre spirituel, diabolique au Vatican, qui est sous le contrôle des Etats Unis d’Amérique, qui contient la France et l’Italie, par opposition à cette deuxième partie de l’Europe qui est sous le contrôle de la Russie. Il s’agit de nos gouvernants civils, de ceux qui viendront à cette époque, et qui « ont tous un même dessein », celui de faire disparaitre la vraie Religion, pour y mettre à la place tout ce que le démon veut voir à la place ! Notre Dame en disant donc que cette guerre sera faite par les dix rois de l’antéchrist, veut nous faire comprendre que cette partie de l’Europe où la France et l’Italie se situe, y participera et sera ravagée en conséquence par la dernière guerre, la plupart de ses villes anéanties. Elle nous avertit à l’avance, que ces gouvernants civils dans cette partie de l’Europe, on ne pourra pas s’en débarrasser, ils auront les pleins pouvoirs, et qu’ils vont nous entrainer dans le chaos et la mort. Mais avant que ceci arrive, avant que cette dernière guerre vienne qui est la troisième guerre mondiale, « il y aura une fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu’à se divertir » comme les impies à l’approche du déluge du temps de Noé, car une fois que cette guerre aura commencé, ce sera le commencement de la fin, juste avant la fin du monde. Cette faix paix, il faut la faire commencer le 2 avril 2005 à la mort de Wojtyla, car voici comment s’enchaine le secret de la Salette : Fin de la seconde guerre mondiale puis paix de 25 ans de fin 1945 à fin 1970, puis de nouveau guerre mais cette fois par un ennemi qui ne vient pas de l’extérieur de l’Eglise, mais de l’intérieur de l’Eglise, par des intrus que le démon a introduit dans les ordres religieux pour s’asservir la fonction pontificale, avec un avant-coureur de l’antéchrist Wojtyla qui s’impose illégitimement sur le siège de Pierre pour fouler aux pieds les vrais catholiques, qui persécute la véritable Eglise de Jésus-Christ, et après sa mort, de nouveau une accalmie, mais c’est une fausse paix, car c’est toujours le temps des ténèbres, celui de l’éclipse de l’Eglise, où « les méchants » deviendront toujours plus méchants , se livrant à toutes sortes de péchés, qui vont atteindre des sommets jamais inégalés dans l’iniquité, mais c’est un temps où le pape souffrant , le nouvel Elie, le oint caché de Dieu va croître toujours plus avec les autres justes dans l’Amour de Dieu, les vertus les plus chères à Notre Dame de la Salette, Notre Dame combattant avec ce pape, ce nouvel Elie, jusqu’à ce qu’il soit prêt pour sortir de son exil caché, « jusqu’à ce qu’il arrive », lui et Enoch à la plénitude de l’âge pour se montrer au reste de l’Eglise. C’est dans ce sens-là, qu’il faut comprendre cette fausse paix, dont nous parle Notre dame de la Salette et non pas dans le sens de Grumel, qui voit simplement dans cette fausse paix, le temps qui sépare la seconde guerre mondiale de la dernière guerre, ce qui est stupide.
Pour Grumel, il s’agirait d’une fausse paix car la paix de la seconde guerre mondiale « n’est pas fondée sur un traité, mais seulement sur une convention d’armistice (Yalta) délimitant des zones d’influences des deux principales puissances. Depuis peu l’Allemagne s’est réunifiée après avoir été « occupée » par les armées dites « alliées », comme si la guerre n’était pas finie. », c’est-à-dire que Grumel ici égal à lui-même en rajoute dans le ridicule, en mêlant ce qui est profane, impure, au secret de la Salette. Il est délirant ici, mais jusqu’au bout, à fond ! Le démon l’amène à croire ce qu’il veut ! C’est comme une marionnette : guignol mais pas un guignol pour les enfants, qui fait rire de bon cœur, mais une marionnette avec des attitudes de plus en plus obscènes, qui parle comme un petit instituteur gauchiste de rien du tout, qui met des guillemets partout, et qui donne la nausée pour un juste ! Pour Notre Dame, il s’agit d’une fausse paix, parce que dans cette fausse paix, le démon et ses suppôts travaillent en coulisse pour se débarrasser une bonne fois pour toute du christianisme.
Finissons- en avec Grumel, avec ce dernier pseudo-commentaire qu’il fait, qui est sensé porter lui aussi sur la chronologie du secret de la Salette :
« 5 – De la dernière guerre au Retour glorieux du Christ. La dernière guerre est très particulière : elle sera menée par les « dix rois de l’Antéchrist » Cette période est, là encore, indéterminée, mais il semble qu’elle sera courte. Cette « dernière guerre » est annoncée clairement par les Ecritures, notamment par Zacharie (ch. 13/7 jusqu’à la fin), par Ezéchiel (ch. 37 et 38) ; et ces prophéties sont reprises par l’Apocalypse qui annonce également l’invasion de la Palestine par « Gog et Magog » ; c’est au cours de cette guerre qui voudra exterminer Israël que le Christ se manifestera dans son Retour glorieux avec ses saints Anges, pour réduire à néant l’Antéchrist et ses armées. Avec ces données préliminaires il nous est possible d’étudier maintenant avec grand profit le Message prophétique de La Salette : l’Apocalypse de Notre Dame. » Disons, bien plutôt qu’avec ce poison apporté par Grumel, il sera impossible au contraire, pour le profane qui l’absorbera, d’étudier l’apocalypse de Notre Dame de la Salette.
Le masque tombe. On voit ici Grumel dans toute sa nudité. Il a jeté aux oubliette toute la partie du secret de la Salette qui parle du grand cataclysme planétaire où le monde que nous connaissons disparaitra complètement : « les astres perdront leurs mouvements réguliers, la lune ne reflètera qu’une faible lumière rougeâtre : l’eau et le feu donneront au globe de la terre des mouvements convulsifs et d’horribles tremblements de terre qui feront engloutir des montagnes, et des villes, etc. (…) la terre ouvrira son sein plein de feu (…) l’eau et le feu purifieront la terre et consumeront toutes les œuvres de l’orgueil des hommes », décrivant la fin du monde. Pourquoi ? C’est parce que le rêve juif de domination mondiale est aussi le sien dans une certaine mesure. Pour lui, en effet, le Christ va revenir dans la gloire, pour sauver Israël, menacé par « Gog et Magog », c’est-à-dire que Grumel, ne pense plus comme un chrétien, mais comme un partisan de la Synagogue de Satan, qui n’a de yeux, que pour l’état d’Israël , alors que Notre Dame présente tout au contraire, le grand antéchrist, comme « né d’une religieuse hébraïque », donc un juif pour l’Etat d’Israël et la domination du Judaïsme sur tout ce qui n’est pas juif, qui sera reçu par les juifs comme le Messie. Grumel, comme on l’a dit, n’a eu de cesse de faire dire à Notre Dame le contraire de ce qu’elle veut dire, de torturer en permanence le contenu du secret de la Salette, qui ne parle pas d’Israël, mais on sent que pour Grumel, qui a vendu son âme à la Synagogue de Satan qui règne au Vatican, il est très apportant de se coucher devant Israël ! C’est le salaire de sa félonie, en tant que prêtre apostat de la Babylone maudite de l’apocalypse ! Il ne vaut pas mieux que les membres du sanhédrin qui ont livré Notre Seigneur aux romains ! Il est de la même race.
Article rédigé par Éric Faure le 27 mai 2018 A.D.
PS : en cours de rédaction par Éric Faure : « LA CHRONOLOGIE DU SECRET DE LA SALETTE EXPLIQUE PAR NOTRE DAME DE LA SALETTE DANS SES PROPOS. » Il s’agit d’un article sur le sens des années que Notre Dame donne dans son secret, les durées qu’elle précise, et comment situer dans le temps, les évènements qu’elle décrit.
L’abbé Grumel vu de dos ?