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In Nomine Domini

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« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Le pseudo-pontificat de Ratzinger et la pseudo-canonisation de Wojtyla, prophétisés dans l'Apocalypse

Publié par Éric Faure sur 9 Août 2018, 19:26pm

 

LE PSEUDO-PONTIFICAT DE RATZINGER AINSI QUE LA PSEUDO-CANONISATION DE WOJTYLA PROPHÉTISÉS DANS PRINCIPIUM MALORUM

Le pseudo-pontificat de Ratzinger et la pseudo-canonisation de Wojtyla, prophétisés dans l'Apocalypse

 

Commentaire de l’image : deux personnages maléfiques, qui ont un petit air de ressemblance.

 

 

Par Éric Faure, auteur du Pape martyr de la fin des temps publié en 1999, de Méditations sur les dernières devises attribuées à saint Malachie par Arnold de Wion, publié en 2015, du sosie de Paul VI dans le secret de Notre Dame de la Salette publié en 2014. (Tous téléchargeables gratuitement sur internet, et figurant dans le blog de Jean Baptiste André.)

 

Beaucoup ignorent dans l’Eglise que le règne de Ratzinger dans l’Eglise a été prophétisé dès le XIII ème siècle, dans Principium Malorum, dans un oracle qui est une juste interprétation de l’Apocalypse de N.S. Jésus-Christ, aussi il convient d’expliquer cela dans cet article. Si mes lecteurs ignorent cela ou n’ont pas de ce que je dis ici, une vision bien claire, d’où la nécessité pour moi, de leur faire comprendre les choses avec plus de clarté, en revanche beaucoup de mes lecteurs savent que Principium Malorum dès le XIII ème siècle, a prophétisé pour les derniers temps de l’Eglise, la décision de faire de l’antéchrist-antipape, un saint par les autorités apostâtes de Rome, mais il conviendra de revenir là-dessus, car les deux sujets se tiennent et sont inséparables l’un de l’autre.


 

1) LA PSEUDO-ÉLÉVATION DE WOJTYLA SUR LES AUTELS PROPHÉTISÉE PAR NOTRE-DAME DE LA SALETTE ET PAR PRINCIPIUM MALORUM :

 

Ceux qui ont lu notre ouvrage de 2014 sur le sens des dernières devises malachiques, savent que Principium Malorum est la première apocalypse annonçant l’avenir de la papauté par des oracles et des devises que l’Eglise a connue. On trouve cette apocalypse dans le recueil prophétique du XVème siècle qui a pour titre Vaticinia de summis pontificibus, habituellement traduit par « Prophéties des papes », qui est une mauvaise traduction, qui laisse croire que des papes sont les auteurs de cette apocalypse, alors qu’il s’agit d’un ensemble de prédictions pleines de références bibliques concernant ce qu’il va arriver au souverain pontificat dans les derniers temps de l’Eglise. Ce recueil qui remonte au début du XVème siècle contient deux apocalypses sur l’avenir de la papauté, dont Principium Malorum, qui est à la place d’honneur, parce qu’elle se situe dans la dernière partie de l’ouvrage qui concerne les derniers temps de la papauté. Lorsque je commente les Vaticinia de summis pontificibus, dans mon ouvrage de 1999 qui concerne la notion de pape martyr de la fin des temps, dans la littérature apocalyptique du XIIème et XIIIème siècle, et dans toute la littérature post-apocalyptique qui a suivi jusqu’au secret de la Salette, qui est un ouvrage plein de références bibliques sur la question de l’avenir de la papauté, je commentais en fait Principium Malorum, mais j’ignorais à l’époque que cette apocalypse du XIII ème siècle que j’étudiais, avait pour titre à l’origine «Principium Malorum». J’ai appris cela plus tard, en poursuivant mes recherches dans les milieux médiévistes de profession. Dans mon ouvrage de 1999, Le pape martyr de la fin des temps, je commençais à découvrir le contenu de Principium Malorum, et je commençais à en commenter le contenu et en particulier le fameux passage qui prophétise la pseudo-canonisation de Wojtyla.

C’est ainsi qu’à la fin du XXème siècle et au tout début du XXème siècle, me basant sur le secret de Notre-Dame de la Salette disant que Wojtyla qu’il parviendra à se faire regarder comme un dieu, de son vivant mais aussi après sa mort, me basant sur Principium Malorum, qui dit que le nom de Wojtyla après sa mort sera louangé dans Rome par ses successeurs qui « auront jugé injustement » lors d’une parodie de procès en canonisation, je commençais à répandre partout autour de moi, et même à l’époque où j’étais avec l’abbé Gilles François Cumant (de 1991 à 1994) que Wojtyla était un avant-coureur de l’antéchrist, un monstre d’iniquité, qui sera élevé sur les autels après la mort. En effet, ce qui me faisait dire que Wojtyla serait élevé sur les autels après sa mort, c’était l’explication que j’avais reçue de Notre Dame de la Salette, que je devais tenir secrète dans son ensemble jusqu’en 2014, une fois que les « 35 ans » dans le secret de la Salette seraient passés (fin 1978 début de l’éclipse + 35 = 2013, 2014 étant l’année où je pourrais commencer à révéler l’explication de Notre Dame de son secret). En 1999, je révèle toutefois dans mon livre sur le Pape martyr de la fin des temps, que l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » dans le secret de la Salette, désigne « l’antéchrist-antipape », et je donne de nombreux indices pour que mes lecteurs réalisent qu’il ne peut s’agir que de Wojtyla, mais j’étais tenu au secret, ne pouvant pas dire tout ce que je savais.

L’une des raisons de mon silence mais pas la seule, était que mes lecteurs en 1999 ne l’auraient pas supporté : cela eût été trop dur pour eux d’apprendre en 1999 que Wojtyla serait élevé sur les autels en 2014 et qu’il faudrait subir avant le retour de Paul VI, un voire même plusieurs antipapes après Wojtyla. Or je ne suis pas là pour décourager les justes, mais pour les encourager ou les réconforter, ce qui fait, que je suis parfois obligé de me taire, sur ce qu’ils ont envie de croire. Je me suis arrangé toutefois dans mon livre, pour faire comprendre, que le retour de Paul VI ne se ferait pas à la fin du règne de Wojtyla, mais des années plus tard. La date que donne la prédiction du bienheureux Tomasuccio est bien en dessous de celle que je pensais et que je pense toujours être la bonne. Il me semble que si Notre Dame m’a montré que la période de plus de 35 ans dans son secret concerne la durée de l’éclipse de l’Eglise et a fortiori de l’autorité visible de l’Eglise, c’est pour que je comprenne que cette durée de « plus de 35 ans » soit égale à « 42 ans ». 35 c’est trois temps de 10 et un demi temps de 5, cela nous ramène à « 3,5 » ans car la virgule dans la science des nombres ne compte pas, et « 3 ans et demi », c’est « 42 mois », et un mois peut être pour nous comme un an, soit 42 ans, d’où l’expression « plus de 35 ans » qui selon moi, veut dire « 42 ans ».

 

Babylone la grande dans toute son abomination ! On discerne à gauche l’image de la bête qui a été guérie de sa blessure mortelle et qui est désormais adorée par les habitants de la terre, c’est-à-dire les futurs damnés.

 

En 2014, avec la pseudo-canonisation de Wojtyla, ces derniers seraient plus disposés à écouter l’explication de Notre-Dame de son secret. Ceux qui ont lu l’explication de Notre Dame de son secret, que j’ai commencé à livrer vraiment en 2014, d’abord dans des cercles privés, avant de commencer à livrer cette explication publiquement et partout en 2017, savent que Notre-Dame dans son secret à la Salette a prophétisé la pseudo-canonisation de Wojtyla.

En effet, Wojtyla est reconnaissable dans le secret de la Salette, en cela qu’il apparaît au terme d’une paix courte de 25 ans dans l’Eglise, pour précisément y mettre fin, venir la troubler. Cette paix est une paix parmi les hommes qui ont oublié que leur péché à eux, sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre, c’est-à-dire dans l’Eglise, la terre ayant ici le sens d’Eglise ( le pressant appel à la terre de Notre Dame dans son secret est un appel aux vrais disciples , c’est-à-dire aux membres de la véritable Eglise catholique, ses enfants , car terre ici signifie Eglise ou cité sainte comparable à une terre, qui ensuite tombera entre les mains de l’Ennemi, l’expression « Tremblez terre », signifiant « tremblez fausse ou contre Eglise », signifiant que l’église officielle romaine deviendra une contrefaçon de la véritable Eglise catholique ). C’est une paix qui ne concerne que l’Eglise, où le peuple de Dieu, l’ensemble des vrais catholiques feront preuve d’une incroyable ingratitude envers Dieu, qui les aura comblés de bienfaits, en cherchant à s’affranchir des exigences de la Foi catholique, par un concile. C’est une paix qui commence à la fin de la seconde guerre mondiale – fin 1945 -, qui a été décrite précédemment par Notre Dame (le passage précédant qui parle d’une guerre, une paix venant toujours après une guerre, concerne la fin de la seconde guerre mondiale, c’est de là qu’il faut faire partir cette paix de 25 ans ) et qui se termine 25 ans plus tard, fin 1970 par Wojtyla qui ne cesse de s’élever dans les plus hautes sphères de Rome en 1970.

Le scandale d’Assise qui troubla tous les justes, l’événement qui incarne le plus la grande Apostasie de Rome. L’accomplissement de la Prophétie de saint Paul dans II Thessaloniciens : « il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, 4l'adversaire ( Wojtyla ) qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu ( qu’est l’Eglise ), se proclamant lui-même Dieu » comme l’expliquent admirablement les frères Dimond. L’idée que ce fils de perdition soit un antipape remonte à Joachim de Flore au XII ème siècle, a été une idée retentissante qui a traversé toute l’Eglise au cours des siècles. On la retrouve à cette époque-là dans les écrits d’Hildegarde. Les papes n’y verront pas d’objection, bien au contraire, ils appuieront les prophéties d’Hildegarde.

 

Notre Dame voit en Wojtyla, un monstre qui va troubler cette paix de l’Eglise, d’ailleurs c’est en ces termes, qu’elle parlera à Maximin : « une grande paix arrivera mais elle ne durera pas longtemps (25 ans), un (pontife) monstre viendra la troubler toute. (Dans le texte, Maximin met à côté du mot « monstre », le mot « pontife » qu’il hachure légèrement en permettant sa visibilité), ainsi l’expression ici « un monstre » est à ramener avec l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » dans le secret livré à Mélanie, qui désigne un antipape. Dans le secret donné à Maximin, Notre Dame précise que « le monstre viendra pendant la paix et la paix et le monstre viendront au 19 ème siècle ou au vingtième (siècle ) pour le plus tard. » , et c’est tout à fait ça, car cette paix va de fin 1945 à fin 1970, et Wojtyla s’est élevé progressivement au cours de cette paix vers le sommet de l’Eglise, et ensuite, une fois qu’il s’est installé frauduleusement sur le siège de Pierre ( sens de l’expression « avant-coureur de l’antéchrist » qui servait au Moyen Age à désigner un intrus sur le point de s’emparer de la fonction pontificale ou s’emparant de la fonction pontificale ) il a eu à son service «  ses troupes » d’apostats ou faux catholiques « de plusieurs nations ». Wojtyla est présenté par Notre Dame comme combattant le vrai christ, c’est-à-dire la véritable papauté, l’expression vrai christ désignant un vrai pape ici, ce vrai pape dans le secret de la Salette a été décrit précédemment par Notre Dame, comme se situant dans un temps où l’Eglise sera livrée à de grandes persécutions. Or précisément, cet antipape combat le vrai christ qui incarne l’Eglise, c’est-à-dire qu’il est présenté par Notre Dame comme persécutant l’Eglise, comme s’opposant à ce qui sauve le monde, comme conduisant le monde à sa perte. Il est présenté par Notre Dame, comme un loup ravisseur dans la bergerie du Christ « répandant beaucoup de sang » c’est-à-dire comme faisant périr les brebis dans la bergerie du Christ, les amenant vers la mort éternelle, en leur faisant perdre la vraie Foi. Notre Dame dit aussi de cet antipape, qu’il veut « anéantir le culte de Dieu, pour se faire regarder comme un dieu » qui sont des expressions en usage dans l’Eglise dès le X ème siècle pour désigner un antipape, qui montre qu’elle tient cet antipape, comme un nouveau Antiochus IV ou un nouveau Néron, qui sont tristement connus dans l’Eglise, comme ayant voulu anéantir le vrai culte pour se faire regarder comme des divinités, Notre Dame ne voyant rien de religieux, en Wojtyla, et montrant Wojtyla tel qu’elle le voit du Ciel, et non pas comme les faux ou mauvais catholiques voient Wojtyla. Ces descriptions vont comme un gant à Wojtyla et leur place chronologique dans le secret prouvent à l’évidence qu’il s’agit bien de Wojtyla. On sait que les frères Dimond ne nous contrediront pas là-dessus, eux dont la description de Wojtyla se rapproche étonnement de la description que fait Notre Dame de la Salette de Wojtyla. Et bien justement au terme du paragraphe où Notre Dame décrit Wojtyla et résume son règne abominable, elle laisse entendre dans ses propos que Wojtyla parviendra à se faire regarder comme un dieu, pas seulement de son vivant, mais après sa mort.

Wojtyla dit « Jean Paul II » se faisant adorer le 11 septembre 1984 au stade Olympique de Montréal. Le genre d’images qui sentent le souffre ! On voit la tête de la bête juste au-dessus de l’autel … la pseudo-canonisation de Wojtyla était planifiée depuis longtemps par la Synagogue de Satan.

 

Par qui ? Mais précisément par « ses troupes de plusieurs nations » qui ont porté Wojtyla, et par ses successeurs, dont Notre Dame de la Salette nous dit « qu’il font profession de servir Jésus-Christ », mais qui en réalité ne le servent pas du tout, mais «  au-dedans », tel des loups ravisseurs eux aussi « s’adorent eux-mêmes  », l’expression « s’adorer soi-même » devant être rapproché de l’expression « se faire regarder comme un dieu » , car Néron qui voulait se faire regarder comme un dieu, s’adorait lui-même, étant une indication que l’expression « un avant-coureur de l’antéchrist » désigne un homme qui fait profession de servir Jésus-Christ, mais qui se révèle être un faux pasteur, « un avant-coureur de l’antéchrist » parmi ses successeurs qui sont aussi des « avant-coureurs de l’antéchrist », le passage suivant portant sur cet antéchrist dont ces antipapes sont les avant-coureurs : «  ce sera pendant ce temps – lorsque beaucoup de couvents ne seront plus les maisons de Dieu, mais les pâturages d’Asmodée – que naitra l’antéchrist, d’une religieuse hébraïque » On sait que les successeurs de Wojtyla dans le secret de la Salette vont élever Wojtyla comme un dieu, car ils s’adorent eux-mêmes, car on retrouve ici le culte de l’empereur dans la Rome antique, mais sous la forme d’antipapes se congratulant entre eux, se faisant adorer, à leur mort ou de leur vivant. Notre-Dame de la Salette reproche aux successeurs de Wojtyla d’avoir livré les lieux saints à la corruption, c’est probablement parce qu’ils ont fait adorer l’image de la bête Wojtyla dans les lieux saints de Rome, là où se trouve la basilique saint Pierre de Rome. C’était déjà le raisonnement que je tenais à la fin du XX ème siècle et au tout début de ce siècle, sans donner de noms aux successeurs de Wojtyla, quoique je pensais à la fin du règne de Wojtyla, que Ratzinger serait son successeur. Je pensais même que c’était Ratzinger qui allait se livrer à cette parodie de pseudo-canonisation de Wojtyla. J’ai bien évidemment laissé des traces indiquant que j’avais vues ces choses, avant qu’elles n’arrivent.

Ratzinger au moment de la pseudo-béatification de Wojtyla. Suite à cet acte abominable de Ratzinger, la pseudo-béatification de Wojtyla, par Bergoglio, n’était plus qu’une formalité à remplir. Par Bergoglio, la Synagogue de Satan gouvernant au Vatican, terminait la sale besogne commencée par Ratzinger. Ah ! Que Mgr Lefebvre avait raison de voir en Ratzinger un serpent, un personnage maléfique ! Que dirait aujourd’hui Mgr Lefebvre en voyant toutes ces abominations ?


 

Si je n’ai pas voulu expliquer dans mon ouvrage Le pape martyr de la fin des temps, ces choses que je savais, si ce n’est d’une manière cachée ( il faut lire dans ce livre ce que je dis du paragraphe « un avant-coureur de l’antéchrist » , pour se rendre compte que j’y voyais l’antéchrist-antipape Wojtyla, même si je prononce pas le nom de Wojtyla, et faire des recoupements avec ce que je dis par ailleurs, à savoir que Wojtyla est l’antéchrist-antipape par excellence, celui qui incarne le plus l’antipapauté antéchristique, qui a parachevé la révolution dans l’Eglise, qui a été le premier à innover toutes sortes d’abominations, ces premières innovations, comme à Assise, étant les plus diaboliques , P. 79-80 ), en revanche, je n’avais pas obligation de me taire sur Principium Malorum et en particulier pour commenter le passage dans Principium Malorum, qui prouve que la pseudo-canonisation de Wojtyla y a été prophétisé. Voici le passage en question de Principium Malorum, qui m’a permis de comprendre à la fin du XXème siècle qu’il y aurait une pseudo-canonisation de Wojtyla, passage qui m’a fait comprendre l’importance qu’avait cette pseudo-canonisation, non seulement dans le secret de la Salette, mais également dans les écrits de la fin du Moyen Age qui sont des éclairages de certains passages se trouvant dans l’Apocalypse de Jésus-Christ :

« Malheur à toi ville aux sept collines, quand la lettre K sera louangée dans tes murs. Alors approchera la chute et la ruine de tes préposés qui jugent injustement. Celui-ci a les doigts armés de la faucille. Il est la faux de la dévastation... et dans G.V., Ysatios éteindra cette engeance. Jean vit en grâce. Constantin est pauvre. Prends garde, toi qui contemple les choses saintes et les porte sur ton épaule, que la poussière ne devienne pour toi un opprobre. On taillera justement dans ta barbe épaisse ; car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Jo. Obi. »

Et voici comment j’ai commenté à l’époque, cette Prophétie, « Prophétie » avec un grand « P », car elle vient conforter l’interprétation des frères Dimond disant que la pseudo-canonisation de Wojtyla a été prophétisée au chapitre XIII de l’Apocalypse de N.S. Jésus-Christ («  la bête de la terre amenant la terre » c’est-à-dire les apostats ou faux catholiques « à adorer la première bête dont la blessure de mort a été guérie » est Ratzinger, et » la première bête dont la blessure de mort a été guérie » dont Ratzinger « a fait faire une image », est Wojtyla , voir notre dernier article sur les 7 derniers Rois prêtres de Rome )

« La lettre K selon Péladan qui écrivait alors en 1872, signifierait « Karolus ». Mais Péladan ne justifie pas son choix (cf. A. Péladan, Nouveau Liber Mirabilis, Nîmes, chez l’auteur, 1872, p. 369). Péladan semble le premier à avoir diffusé en France les prédictions dites d’Anselme qu’il a trouvées dans Vaticinia, seu praedictiones illustrium viorum, in-4, imprimé à Venise en 1604 chez Batista Bernoti. Nous avons trouvé des manuscrits médiévaux comportant l’initiale K, pour désigner le roy Charles (Charles vient du latin médiéval Carolus, Karolus, du germ. Karl, signifiant « homme, mâle »), étant l’ancienne lettre de l’alphabet latin, remplacée par le C, et qui ne s’est conservée que dans quelques mots. Mais cela ne prouve rien (d’autant plus que l’antéchrist-antipape selon la pensée médiévale est à rapprocher plutôt de la femme, de la grande prostituée, Babylone). D’autre part, compte tenu des références bibliques cachées dans ce passage, tout porte à penser qu’il faille chercher l’explication de ce terme dans la Bible, comme tout porte à penser que l’auteur de cette prédiction nous a laissé un indice pour trouver ce qui se cache derrière la lettre K ; Catherine saint Pierre est ravie de ce choix de Péladan fait au XIXème siècle, car elle pense à juste titre que Karol Wojtyla dit « Jean-Paul II » est un antipape attirant la colère de Dieu sur Rome. Mais de notre point de vue cette interprétation n’a aucune valeur car elle ne peut pas se justifier à partir du sens mystique des saintes Écritures sur lequel l’auteur a forgé sa prédiction. »

  • Remarque : ici bien évidemment, je fais l’andouille, car tout en faisant semblant d’être contre cette interprétation de Catherine saint Pierre, j’abonde dans son sens. Ce qui m’énervait ici chez Catherine saint Pierre, c’est qu’elle ne faisait aucun effort, pour démontrer que K désigne Karol Wojtyla, comme si cela allait de soi, et le fait qu’elle ne faisait aucun effort pour comprendre que ce passage prophétise une pseudo-canonisation de Wojtyla, dans un temps qui ne s’est pas encore accompli. Le fait, qu’elle ne comprenne pas le reste du texte, à savoir que ce texte présente K, comme une préfiguration du pseudo-pontife Ménélas qui a machiné la mort du vrai pontife Onias III, et présente le vrai pontife Onias III comme une préfiguration du pape souffrant des derniers temps, m’exaspérait également. Ce n’est que plus tard, que j’ai appris que les commentateurs médiévaux donnaient à la lettre K, le sens de Karolus, et que la notion de « Karolus redivus » désignant le plus redoutable des antipapes de la fin des temps venait d’une interprétation de cette fameuse lettre K dans Principium Malorum. Ce que je reproche à Catherine saint pierre, c’est son incapacité à argumenter, même si elle a raison de voir dans la lettre K, le nom de Karol Wojtyla, ce qui n’empêche pas à la lettre K d’avoir plusieurs sens qui tous convergent vers l’idée qu’on a à faire ici, à un antipape qui n’a plus rien de religieux, qui est comparable à un empereur ou un roi de la Rome antique, par son paganisme et sa haine du christianisme.

  • Poursuivons :

« Tout au plus K pourrait avoir la signification de Kaesar, César, en raison du culte accordé à l’empereur romain dans la Rome antique, ce dernier étant comme une idole parmi son peuple. Cela serait justifié dans la mesure où les prédictions dites d’Anselme parlent bien ici de Rome, c’est à dire de « la ville aux sept collines » (inutile de chercher à démontrer ce point qui ne pose aucune difficulté), et pas de n’importe quelle Rome, mais de la Rome qui de chrétienne qu’elle était est redevenue païenne en adhérant à l’Antéchrist-antipape qui est comme une idole dans le Temple de Dieu, du moins si l’on suit la pensée médiévale. A la limite, ce ne serait pas trahir l’esprit des prédictions dites d’Anselme, que de dire que la lettre K désigne tout à la fois, Kaesar, Kaïnam qui est la transcription grecque de Caïn, et Karnaïn qui est la transcription grecque de l’hébreux Qarnayim qui signifie « les deux cornes », dans la mesure ou K désigne bien comme on va le démontrer l’Antéchrist-antipape, qui est tout à la fois une idole, un Caïn ou un criminel, et la bête à deux cornes de l’Apocalypse, mais s’en tenir à cela serait nettement insuffisant car ce serait perdre de vue l’essentiel, ne pas saisir pleinement le sens littéral du texte. Quant à l’interprétation d’Albert Marty, elle est des plus fantaisiste. Il ose traduire K par Khrouchtchev et par Kennedy.

(Remarque de l’auteur Éric Faure : j’ai commis une erreur en présentant l’antéchrist-antipape par excellence, à savoir Wojtyla, comme étant la bête de la terre à deux cornes, mais il est vrai que l’antéchrist antipape Wojtyla porte lui aussi une mitre à deux cornes comme Ratzinger la bête de la terre : c’est surtout Barthélemi Holzhauser qui m’a induit en erreur ici, en faisant croire que la bête de la terre serait le pire des antipapes. Il n’a pas compris comme saint Bernard, que la première bête que la bête de la terre va faire adorer, est un antipape, mais Barthélemi Holzhauser dit des choses très intéressantes en allant dans le sens d’une Europe islamisée avec le soutien d’une fausse papauté, en cela il faut lui reconnaitre malgré tout un don de visionnaire. Cette idée que les apostats préféreront se tourner vers l’islam plutôt que de revenir à la véritable Foi catholique ou au vrai pape, que l’on trouve chez Barthélemy Holzhauser, était très forte du temps du cardinal saint Bellarmin, l’un des plus grand défenseurs de cette idée est le père Léonardus Lessius, qui avait avisé saint Bellarmin de cette idée pertinente ( voir à ce sujet, notre étude «  du sens que donnent les théologiens et les apocalypticiens à l’expression « Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’antéchrist » publié par Jean Baptiste André qui est particulièrement croustillante, avec des apports nouveaux alimentant le débat, qu’on ne trouve nulle part ailleurs que chez nous ! ) : il faut dire que l’islam faisait toujours très peur même après la victoire de Lépante où l’Europe chrétienne , contre la France – François 1er était un mauvais roi allié des turcs ! – imposa un coup décisif à l’expansionnisme islamique. Barthélémy Holzhauser prophétise que la fausse papauté poussera à l’invasion islamique de l’Europe, or c’est le cas de Bergoglio qui pousse à cette invasion pour faire disparaître le christianisme, et que cette politique antichrist, a été planifiée par Wojtyla et Ratzinger, Wojtyla étant le premier à embrasser le Coran, ouvrage diabolique des mahométans plein de blasphèmes, mais comme par hasard, on ne trouve plus personne, pour souligner ce qu’il y a de bon dans les écrits de Barthélemi Holzhauser ; on ne trouve que des ânes pour retenir les erreurs de ce dernier, sur un grand Monarque et un saint pape, et bien d’autres erreurs encore. Holzhauser aurait dû comprendre que l’image de la bête que fait adorer un antipape, ne peut être que l’image d’un antipape, si on rajoute cette précision à son texte, son texte devient bien plus cohérent ! Je pense qu’il n’était pas loin cependant à penser cela, il a commis toutefois, bien d’autres erreurs, vraiment trop, de telle sorte qu’on ne comprend pas vraiment l’engouement de certains pour son commentaire de l’Apocalypse, engouement qui ne s’explique que par le fait que les catholiques ont été coupés de leur propre littérature apocalyptique, par la subversion prophétique qui a bien manœuvré pour les maintenir dans l’ignorance !)

« Avant de chercher tout de suite à saisir la signification de la lettre K, il faut bien analyser le texte point par point. K désigne à n’en pas douter « l’Antéchrist-antipape » pour un nombre considérable de raisons. Il est fait des reproches à quelqu’un qui a machiné la mort du pontife, exactement comme Ménélas, première préfiguration de l’Antéchrist-antipape a été blâmé dans le deuxième livre maccabéen pour avoir machiner la mort du Vrai Pontife Onias III (2 Maccabées IV 24). L’expression « comme ayant machiné la mort du Pontife » indique qu’il a voulu la mort du Pontife, mais sans pouvoir attenter à ses jours (cf. Secret de la Salette). Mais sa culpabilité reste inchangée puisqu’il est le premier responsable de la mort sociale du Vrai Pape, puisqu’il est le Caïn moderne de tous les catholiques. C’est la raison pour laquelle Anselme (appelons l’auteur de ces prédictions Anselme par commodité - [remarque tardive de 2018 : Principium Malorum était attribué au Moyen Age à un saint évêque du nom de Anselme] évoque « le renard » en référence à Luc XIII, 32, passage où Notre Seigneur averti qu’Hérode veut le mettre à mort, traite ce dernier de « renard », et déclare qu’il continuera son ministère jusqu’au temps fixé. Hérode, le meurtrier de saint Jean-Baptiste, méritait bien cette appellation par son astuce, sa lâcheté et sa cruauté. Comme Hérode machinant la mort de Jésus, l’Antéchrist-antipape qui est tout aussi indigne des honneurs qu’on lui rend, machine la mort du Vrai pape. Le parallèle établi ainsi entre Jésus subissant les persécutions et le Pape, tend bien à montrer que ce pontife dont parle Anselme est bien le Pape Martyr de la fin des temps. D’autre part Ezéchiel XIII, 4, compare les faux prophètes à des renards dans les ruines. Ces prophètes se croient très rusés, mais l’événement montre qu’ils se sont trompés ; par leurs faux oracles, ils contribuent au malheur de leur peuple, comme le renard qui accélère la chute des ruines au milieu desquelles il creuse son terrier. C’est ainsi qu’il convient de résumer la prophétie d’Ezéchiel sur le renard.

« Or, qu’est-ce que nous dit Anselme ? Il fait parler Notre Seigneur contre quelqu’un qui se croit bien malin, qui se sent protégé par son statut d’homme vénérable, ou encore, ce qui revient au même, se sent protégé par sa barbe (« on taillera justement dans ta barbe épaisse »), et qui parce qu’il a comme machiné la mort de la Papauté a contribué au malheur, à la ruine de Rome. Le mot renard lui va comme un gant car il est partout établi comme dirait saint Vincent que l’Antéchrist-antipape est le faux Prophète de l’Apocalypse, du moins selon la pensée des médiévaux catholiques. Il n’est pas étonnant de constater par conséquent que les démons dans les révélations au cours d’exorcisme de suisse (cf. Révélations en cours d’exorcisme, publiées aux Ed. D.F.T.), attestant le scénario de la thèse de la survivance de Paul VI, traitent Wojtyla qu’ils reconnaissent comme étant bien l’Antéchrist-antipape, de « renard rusé ». Anselme en disant « on taillera justement dans ta barbe » fait référence à l’Ancien Testament car dans le Nouveau testament, nous ne trouvons aucune allusion à la barbe. La barbe a toujours été tenue en haute estime parmi les sémites, et en général parmi les habitant de l’Asie occidentale. Elle est perçue par eux comme un ornement sacré, une marque de la perfection de la race humaine, à un tel point que les arabes disent que cette perfection serait moins défigurée si, au lieu d’avoir coupé la barbe, on avait coupé le nez, qu’il vaut mieux à la limite mourir que de subir ce supplice de la barbe coupée. « Tailler dans la barbe » de quelqu’un, en tout ou en partie, était lui faire l’affront le plus sanglant (II Esdras XXIII, 25). David considère comme un cruel outrage l’injure que les Ammonites avaient faite aux ambassadeurs qu’il leur avait envoyés, en leur coupant la moitié de la barbe ; ces ambassadeurs restent cachés à Jérico, sans oser se montrer, jusqu’à ce que leur barbe soit repoussée (II Reg. X, 2-5 & I Par. XIX, 2-5). Une guerre entre les Israëlites et les Ammonites fut la conséquence de cette insulte. A la lumière de ces explications, « on taillera dans ta barbe épaisse » signifie que l’Antéchrist-antipape va subir de la part de Dieu une marque d’infamie, un châtiment pire que la mort, et qu’il sera démasqué à l’heure fixée par Dieu (par le retour du Vrai Pape probablement).

« L’expression « Prends garde que la poussière ne devienne un opprobre » est une référence encore à Ezéchiel XXIV, qui accuse Jérusalem comme Anselme accuse la seconde Jérusalem terrestre, Rome. Accusant Jérusalem, Ezéchiel dit à son sujet qu’elle a versé le sang sur la roche nue, et non sur la terre pour le recouvrir de poussière. Ezéchiel veut signifier par-là que les crimes de Jérusalem ont été commis impudemment, au grand jour, et que les traces en sont visibles. (Idem pour les crimes de la Rome apostâtes, dois-je rajouter dans cet article. ) Dans un sens similaire à celui-ci, Anselme signifie par-là que la Rome apostate en revanche a pris soin de recouvrir le sang de ces victimes par de la poussière, mais qu’il se pourrait bien que cet acte soit découvert, que la poussière qui sert à recouvrir le crime, ne fasse pas l’effet demandé et contribue à l’accuser davantage. L’expression « Prends garde, toi qui contemples les choses saintes et les porte sur ton épaule » est une référence aux fils de Caath. Caath peut s’écrire aussi Kaath, la Septante utilise la lettre K pour signifier Caath, et c’est par ce passage là qu’Anselme nous livre la clé permettant de saisir le sens caché de K. Il faut savoir que dans l’Ancienne Alliance les fils de Caath étaient toujours placés, par l’ordre du Seigneur, immédiatement après les prêtres, leurs frères, et avant les autres Lévites. Ils reçurent la mission de porter, pendant les marches, le mobilier du tabernacle. Toutefois, les vases, les ustensiles et les diverses pièces de ce mobilier devaient être préalablement enveloppés avec le plus grand soin dans des couvertures par des prêtres, et il était défendu aux Caathites, sous peine de mort, soit de toucher directement leur sacré fardeau, soit de regarder et de voir à découvert ces différents objets, avant qu’on les eût enveloppés (Num. IV, 4-20). Les objets dont le transport revenait aux Caathites étaient l’arche d’alliance, la table des pains de proposition avec ces pains, les encensoirs, les mortiers et les coupes pour les libations, le chandelier à sept branches avec ses lampes et tous les accessoires, l’autel d’or des parfums, et tous les vases du sanctuaire, enfin l’autel des holocaustes, ainsi que les brasiers et tous les vases ou ustensiles employés dans les sacrifices. A cela s’ajoute sans doute le bassin d’airain. Les Caatthites contrairement aux Gersonites et aux Mérarites qui pouvaient utiliser des bœufs pour transporter la charpente du tabernacle, les tentures, les couvertures, etc., ne reçurent ni chars ni bœufs, parce qu’ils devaient porter eux-mêmes sur leur épaules leur part de bagage sacré, et cela à cause de la sainteté plus grande de leur fardeau (Num. VII, 1-9). En résumé, les Caathites n’avaient pas le droit sous peine de mort de contempler les choses saintes et devaient porter les choses saintes sur leurs épaules. Par conséquent quand il est dit de l’Antéchrist-antipape qu’il « contemple les choses saintes », cela signifie contrairement à ce que l’on pourrait penser, qu’il prend un malin plaisir à faire ce que la Loi divine lui interdit de faire, qu’il n’a aucun respect pour toutes les choses les plus sacrées de l’Église, à commencer par le saint sacrement, qu’il passe son temps à provoquer le Seigneur, et qu’il n’a nullement la crainte de Dieu.

« Et pour cause, répétons-le, encore une fois (pour que notre lecteur comprenne bien ce que nous pensons de Wojtyla dit « Jean-Paul II »), l’Antéchrist-antipape a pour dieu non pas Notre Seigneur mais Lucifer, il hait le christianisme plus que tout, et foule aux pieds tous les jours le Dieu des chrétiens, veut brûler tout ce que nous adorons, c’est une ordure de la pire espèce, un être possédé par Satan. Rappelons-nous ces paroles de Slowacki, « le Satan de la poésie », polonais du XIXème siècle dont nous avons analysé précédemment la pensée, au sujet « du pape slave » : « lui - le pape slave- ne fuira pas devant le glaive (du Dieu des chrétiens), il se présentera avec courage comme le Seigneur (Lucifer) ». Et quand il est dit qu’il « porte les choses saintes », cela signifie, que l’Antéchrist-antipape aura à sa merci tous les trésors de l’Église, à savoir les murs de l’Église, à savoir toute l’église officielle romaine, les sacrements, les objets du culte de l’Église, les sanctuaires de l’Église, et enfin toutes les brebis de Notre Seigneur, où presque toutes. Tout ce que l’Église a de plus précieux sera l’objet de sa tyrannie, de son machiavélisme. On comprend la raison maintenant des menaces, et de la Colère de Dieu : « Prends garde, on taillera dans ta Barbe, tu seras extrêmement blâmé », et puis enfin, « Malheur à toi, ô Ville aux sept collines, quand la lettre K, c’est à dire quand ce chien d’Antipape qui vient vomir sur ce que j’ai de plus sacré, qui foule aux pieds tous mes commandements en ne cessant de me provoquer, qui détruit ce que Mon Église a de plus sacré, qui m’arrachent mes enfants pour les jeter à Satan, sera louangé dans tes murs. Alors, approchera la chute et la ruine de tes préposés qui jugent injustement ». Une fois le problème de la lettre K élucidé, tout s’éclaire. Et si tous les commentateurs de ces prédictions, du moins ceux que nous connaissons, ont échoué quant à déterminer rationnellement le sens de la lettre K, c’est tout simplement parce qu’ils ne font pas l’effort de rechercher le raisonnement qui a fait naître la prédiction, et n’ont même pas l’initiative d’ouvrir leur Bible. En effet, il n’est pas nécessaire d’être un grand théologien pour comprendre ce qui suit. « Celui qui a les doigts armés de la faucille », celui qui est « la faux de la dévastation », c’est malgré les apparences, Notre Seigneur Jésus-Christ, en référence à Apoc. XIV, 14-16, 17-19, où saint Jean à Pathmos voit quelqu’un semblable au Fils de l’homme ayant à la main une faux tranchante (falcem acutam), qui lui sert à moissonner la terre. Saint jean voit un autre ange ayant le même instrument, avec lequel « il vendange la vigne de la terre ». La faux est ici le symbole de la puissance de Dieu (position partagée par S. Grégoire le Grand, Mor. in Job, XXXIII, 11, T. LXXVI, col. 685), jugeant à la fin des temps les hommes, figurés par le blé et les raisins mûrs.

« Pour comprendre « Et dans G. V., Ysatios, éteindra cette engeance », il faut tout simplement poursuivre sa lecture de la Bible dans le sens indiqué par Anselme : « Et ce qui avait été vendangé tomba dans le grand lac de la Colère de Dieu » c’est dire en enfer, « et le lac fut foulé aux pied hors de la cité de Dieu », (Apoc. XIV, 20) ce qui signifie que cette engeance que sont l’Antéchrist-antipape et ses sbires sera mise sous l’oppression d’un remords et d’une souffrance éternels, elle ne pourra plus nuire aux justes, elle sera foulée aux pieds en enfer. « Jean vit en grâce » concerne le pouvoir spirituel, traditionnellement dévolu à l’Église, qui est une auctoritas, le pouvoir plénier et la puissance fondatrice. Plus précisément, cela signifie que la papauté sous le règne de l’Antéchrist-antipape vivra en grâce, comme saint Jean, c’est à dire sera arrêtée, conduit devant la Rome païenne, traduit en jugement, condamnée à être jeté dans une cuve d’huile bouillante, pour en sortir contre toute attente, plus sainte qu’avant, et dans l’exil (thèse de la survivance), d’où précisément le nom du Vrai Pape Jo. Jo est le diminutif de Joannes (Jean signifiant étymologiquement « Dieu pardonne », « Dieu dispense ses bienfaits. »), comme il est le diminutif de Job ou Jobus, qui après avoir perdu tous ses biens sauf la vie est rétabli dans ses biens.Et Johanan (Jean en hébreux) est la forme développée de Onias, ou encore comme le déclare Jean starcky, « Onias est une forme abrégée de Johanan. » (cf. Les Livres Maccabéens, Ed. Du Cerf Paris, 1961, p.233), Onias désignant essentiellement ici le Pontife Martyr de l’Ancienne Alliance veut également dire « navire » (de « onia », le navire, de « oni » ma force), le navire symbolisant dans la pensée chrétienne l’Eglise. (cf. Dictionnaire des noms propres de la Bible, Cerf, Paris, 1996,p.347) Obi. de obitus signifie « disparition, trépas, éclipse » : « Constantin est pauvre » désigne le pouvoir temporel qui est lui une simple potestas, pouvoir de fait et administration des choses et des personnes. Plus précisément, cela signifie que celui qui pourrait décider du triomphe de l’Église, comme Constantin, à savoir le Roy de France, est pauvre, c’est à dire n’a pas les moyens de protéger les fidèles des persécutions. » (fin de citation p. 94 à 96 dans le Pape martyr de la fin des temps )

Emporté par mes autres connaissances, je ne reviens pas sur cette prophétie de Principium Malorum, si ce n’est vers la fin de mon livre, où je récapitule toutes les choses qui ont été prophétisées sur Wojtyla au cours des siècles dans l’Eglise, que j’y reviens. Il a été prophétisé qu’il serait « slave », « idolâtre », « œcuméniste », « hérétique », « voyageur », « charismatique », « sans tiare », « prenant un nom rompant avec la Tradition », et pour finir « juif », et je récapitule ce qu’il y a à dire, pour chacun de ces points. Voici ce que j’écrivais sur le fait qu’il serait charismatique : «  il attirera les foules à ses pieds, et les puissants de la Terre lui seront favorables. Il est perçu par les médiévaux comme étant la troisième personne de la contretrinité satanique (cf. Compilation de Pirus : « les grands de ce monde soutiendront les antipapes », et Slowacki). Or, Wojtyla attire les foules, il passe pour un très grand saint auprès des impies. Il faudra s’attendre à ce qu’il soit canonisé, avant le retour de Paul VI, comme le montre cette prédiction que nous avons commentée précédemment avec soin : « Malheur à toi, ô ville aux sept collines (Rome), quand la lettre K (Karolus, Karol Wojtyla, l’Antéchrist-antipape par excellence) sera louée dans tes murs. Alors approchera la chute et la ruine de tes préposés qui jugent injustement (qui ont jugé injustement en élevant K, ce Caïn, sur les autels, ces derniers étant les successeurs de Wojtyla, les plus hautes autorités apostâtes de Rome au début du XXI ème siècle). Ces louanges attireront la sainte colère de Dieu sur la basilique saint Pierre de Rome, qui si on suit les révélations en cours d’exorcisme, sera dans les flammes. » (Fin de citation).

En clair voici comment il faut comprendre la prophétie de Principium Malorum qui concerne effectivement la pseudo-canonisation de Wojtyla et l’adoration de son image à Rome :

: « Malheur à toi ville aux sept collines, quand la lettre K sera louangée dans tes murs. Alors approchera la chute et la ruine de tes préposés qui jugent injustement. Celui-ci a les doigts armés de la faucille. Il est la faux de la dévastation... et dans G.V., Ysatios éteindra cette engeance. Jean vit en grâce. Constantin est pauvre. Prends garde, toi qui contemple les choses saintes et les porte sur ton épaule, que la poussière ne devienne pour toi un opprobre. On taillera justement dans ta barbe épaisse ; car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Jo. Obi. »

 

La ville au 7 collines, c’est bien évidemment Rome dans les derniers temps de la papauté ou de l’Eglise, lorsqu’elle louangera le nom d’un antipape de la pire espèce jusqu’à le considérer comme un saint. Pourquoi loue-t-on ici un nom qui commence par K et non pas une personne vivante ? Parce que l’antipape loué dans Rome est mort depuis quelques temps déjà, et qu’on ne peut plus le louer de son vivant comme autrefois. Ce qui sort donc, c’est son nom, et c’est son nom qui est loué, ainsi que l’image qui est associée à son nom, depuis qu’il est mort. Il s’agit d’un nom d’antipape qui est louangé suite à une parodie ce canonisation. On le sait à partir du texte, car le texte, nous dit que ce nom est louangé à cause de « préposés qui ont jugé injustement. » On est bien dans un procès, un procès en canonisation, où les préposés de Rome c’est-à-dire les successeurs de cet antipape qui dirigent Rome sur le plan spirituel, ont mal jugé, ont jugé injustement. De deux choses l’une, soit ils se sont trompés en élevant un monstre d’iniquité sur les autels, en le déclarant saint, soit ils savent pertinemment que cet antipape n’est pas pape, est un ennemi de l’Eglise, mais ils le font passer pour un saint dans une Eglise qui est une contrefaçon de la véritable Eglise Catholique. L’auteur de cette prophétie, penche en faveur de cette seconde possibilité, car précédemment il rapporte l’idée que les « fils de Balaal » grandiront dans l’Eglise, s’empareront de la fonction pontificale, plongeront le monde catholique dans de terribles tribulations, qui « mettront à nu le secret des cœurs », c’est-à-dire que les méchants seront reconnaissables à ceux qui les suivent, et les bons à ceux qui se maintiendront dans la véritable Eglise catholique et dénonceront leur imposture. En fait, la fonction pontificale sera asservie par des adorateurs du démon, qui dirigeront le Temple de Dieu à Rome, et qui savent très bien qu’ils n’ont pas jugé justement dans ce procès de canonisation. Ce sont des hypocrites et ce procès n’a été qu’un simulacre de procès, une parodie immonde, et c’est la raison pour laquelle ces préposés qui ont jugé injustement, qui sont des brigands, attirent sur Rome, la Sainte Colère de Dieu : malheur à toi, ville aux sept collines, et malheur à tous ceux qui louangeront ou adoreront cet antipape, qui est comme une idole dans le Temple de Dieu, qui continue à faire le mal, même après sa mort !

Ce sera le temps de la moisson, où la mauvaise herbe sera jetée au feu. Jésus-Christ, celui qui éteindra cette engeance, qui jugera tous les hommes, le Juge redoutable, sera pour eux la faux de la dévastation. Ce monde-là ira en Enfer dans un feu leur a été préparé qui ne finira pas où ceux qui y sont ne pourront jamais en sortir. La véritable papauté sera en revanche comme un tison tiré du feu, que Dieu sauvera par un miracle extraordinaire, comme saint Jean qui fût jeté dans un cuve d’huile bouillante, d’où l’expression « Jean vit en grâce », Jean étant aussi le nom de baptême du pape souffrant qui sortira de son exil caché, comme un tison tiré du feu, prophétisé dans l’apocalypse du prophète de l’Ancien Testament Zacharie. Celui qui pourrait décider du Triomphe de l’Eglise, comme Constantin, sera inexistant sur la scène politique, car les vrais catholiques dans cette période seront persécutés comme dans les premiers temps apostoliques. Voilà pourquoi, il est dit que Constantin est pauvre, si pauvre qu’il n’a pas les moyens financiers de lever une armée pour venir au secours des chrétiens, c’est-à-dire, qu’il ne faudra compter sur aucun monarque pour nous venir en aide, hormis N.S. Jésus-Christ et le vrai pape. Il faut être complètement taré pour voir ici la confirmation de la venue d’un grand monarque guerrier du genre de Constantin, car le texte dit précisément le contraire !

Quand il est dit de l’Antéchrist-antipape qu’il « contemple les choses saintes », cela signifie contrairement à ce que l’on pourrait penser, qu’il prend un malin plaisir à faire ce que la Loi divine lui interdit de faire, qu’il n’a aucun respect pour toutes les choses les plus sacrées de l’Église, à commencer par le saint sacrement, qu’il passe son temps à provoquer le Seigneur, et qu’il n’a nullement la crainte de Dieu. En effet, c’est une référence à la loi divine, qui interdisait aux Caathites sous peine de mort de contempler les choses saintes, ils devaient seulement les porter sur leurs épaules. Lorsqu’il est dit du même antipape (Wojtyla ) « Prends garde que la poussière ne devienne un opprobre », il s’agit encore d’une référence à l’Ancien Testament, où le prophète Ezéchiel, veut signifier par cette expression, que les crimes de Jérusalem ont été commis impudemment, au grand jour et que les traces sont visibles. Cela signifie que cet antipape a commis impudemment ses crimes au grand jour, et que on ne peut pas en effacer les traces, et cela vaut pour cette Rome maudite qui a dit voir en ce monstre d’iniquité, un saint, qui ne pourra pas échapper également à la sainte Colère de Dieu. « On taillera dans ta barbe épaisse » signifie que l’Antéchrist-antipape va subir de la part de Dieu, un châtiment pire que la mort, qu’il ira en Enfer pour l’éternité, et qu’il sera démasqué à l’heure fixée par Dieu, car tailler une barbe épaisse était perçu dans l’Ancien Testament, comme une humiliation si grande, que la mort était préférable. « tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Jo. Obi. » signifie que cet antipape est comparable au pseudo-pontife Ménélas qui a machiné la mort du vrai pontife Onias III ( deuxième livre des Maccabées ) , « comme ayant machine la mort du (vrai ) pontife » signifie qu’il ne pourra pas le tuer , mais seulement l’éclipser, car le vrai pape dispose d’une protection miraculeuse de Dieu, comme l’Apôtre Jean, qu’on n’a pas pu tuer. C’est pour ça, que ce pape est appelé Jo. qui est le diminutif de Joahannes qui veut dire Jean en latin, or Paul VI dont on dit qu’il n’est pas mort, vit toujours et va revenir, a pour nom de baptême Jean. Obi est le diminutif de « Obitus » qui veut dire en latin « disparition, trépas, éclipse », c’est-à-dire que du temps de l’antéchrist –antipape, le vrai pape aura disparu, sera éclipsé,  l’ expression « comme ayant machine la mort » , signifie que ce vrai pape ne sera pas mort, malgré tous les efforts de l’antéchrist-antipape pour le faire disparaitre.

[NB : Wiktionnaire nous donne le sens étymologique de Karol. Vient du français Carole, c’est une variante de Karel. Karol vient de Carole et de Charles. Même racine Karl.

 De l’ancien français carole ou charole (« danse en rond », « déambulatoire d'une église »), d’origine discutée :

  1. du latin choraule (« joueur de flute ») qui donne le latin médiéval caraula attesté au VIIIe siècle et apparenté à chorus (« chœur ») ; cette hypothèse pose problème du point de vue sémantique ; ….. Fait penser à la séduction

  2. du latin *choreola dérivé de chorea ; cette hypothèse faisant difficulté du point de vue phonétique.

  3. Comme chevet est le diminutif de chef (« tête »), du latin *carula, diminutif de cara (« tête »). …. Fait penser à l’une de ses têtes dans Apocalypse XIII verset 8.

  4. Karl vient du vieux haut allemand karal qui veut dire homme …. Fait penser à « l’homme du péché » dans II Thess.

  5. Charles du haut allemand Karl ]


 

Maintenant que j’ai bien exposé tous les termes de cette prophétie du XIII ème siècle qui concerne les derniers temps de la papauté et atteste que la pseudo-canonisation de Wojtyla a bien été prophétisée, pas seulement par N.S. Jésus-Christ dans son Apocalypse, mais aussi par saint Anselme, l’auteur de cette Prophétie du XIII ème siècle, qui a très bien compris les paroles de N.S. Jésus-Christ dans son apocalypse au chapitre XIII, il convient de s’insurger contre une altération de cette prophétie de Principium Malorum, par des sédévacantistes qui embarrassés ( comme on les comprend ! ) par cette histoire de vrai pape seulement éclipsé par l’antéchrist-antipape, la rapporte déformée, pour l’interpréter de cette façon. Voici ce qu’on trouve dans le forum Te Deum, Défense de toute la Foi catholique, contre hérésie, blasphèmes, apostasie de Roncalli, Montini, Luciani, Wojtyla, Ratzinger, Bergoglio, usurpation Siège de Pierre. SEDE VACANTE » :

« J'offre à votre réflexion cette prophétie de Saint-Anselme qui expliquerait et confirmerait peut-être la supercherie d'anti-papes qui n'ont eu de cesse de démolir la Véritable Doctrine du Christ au cours des 52 dernières années.
Inutile de mentionner que l'un des plus vigoureux et anti-christs apostats,
 Karol Woltija, institua le monstrueux scandale d'Assise en 1986, renforça par ses écrits le culte de l'homme , multiplia la fréquentation de temples et églises anti-chrétiennes et fit le plus grand nombre de "canonisations" jamais vues au cours de toute l'histoire de La Sainte Église Catholique.

PROPHÉTIE DE ST. ANSELME : Malheur à toi ville au sept collines, lorsque la lettre k sera louée dans tes murs ! Alors ta chute approchera ; tes dominateurs et tyrans seront détruits. Tu as irrité le Très-Haut par tes crimes et tes blasphèmes. Tu périras dans la défaite et dans le sang. »

St Anselme était évêque du Sunium en Grèce au XIII ème siècle. La prophétie est tirée du livre : « Vaticinia seu proedictiones illustrum virorum, Bertone éd. Venise, 1605, d’après Novaye, ouv. cité, P. 69.


Cette lettre K (Karol) ne serait-elle pas la 1e lettre du prénom de Wojtyla qui sera "béatifié" le 1e mai 2011 par la secte montinienne et qu'on pourra "officiellement louer dans les prières montiniennes. »

  On voit ici que la prophétie est amputée de tout ce qui montre qu’elle va dans le sens de la survivance de Paul VI. Combien même cet auteur ne serait pas responsable de cette supercherie, il aurait dû s’enquérir de vérifier si la traduction qu’il rapporte ici est conforme au texte d’origine. Il n’a aucune excuse car la bonne traduction est rapportée en français par Jean Marty dans un ouvrage des Nouvelles Editions Latines, concernant les prophéties et la fin des temps et dans l’ouvrage de Roger Duguet (l’Abbé Boulin) au nom de la Tiare, également édités aux Nouvelles Editions latines, Roger Duguet, nous donnant même le texte latin d’origine. Par ailleurs sur internet, on retrouve de nombreuses copies de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, visible sur la toile avec le texte latin en question, qui prouvent à l’évidence, que c’est nous qui avons raison dans la retranscription de la véritable Prophétie ( et même dans son interprétation ) et que cette traduction récupérée par des sédévacantistes est l’œuvre d’un faussaire, qui expose en fait ce qu’il a compris de cette Prophétie, mais qui en réalité la trahit en fin de compte, fait croire que le texte qu’il donne est conforme à l’original. C’est assez infecte ce procédé, mais on n’est pas étonné qu’un sédévacantiste se fasse avoir , car les sédévacantistes pour nous font partis de ces gens qui croient être dans la vérité, mais qui aiment être trompés, et qui usent de toutes sortes de procédés malhonnêtes, pour faire croire que la véritable Tradition Prophétique est de leur côté ou que des Prophéties favorables à cette idée d’un pape propre aux derniers temps, que l’on croira mort mais qui sera toujours en vie et reviendra, qui sont de grande renommée dans l’Eglise, sont des prophéties conformes à la position « sédévacantiste » qu’ils défendent, comme les frères Dimond qui veulent faire du corpus malachique ou de la Prophétie de saint Malachie sur l’avenir de la papauté, qui enseigne cette idée de pape, va dans le sens de leur position sur la question du pape, alors que ce n’est pas vrai ! Maintenant, je ne serais pas étonné qu’un sédévacantiste commette délibérément cette supercherie, car la plupart d’entre eux (sauf rares exceptions), n’ont pas l’amour de la Vérité ! Ce que je constate, ici, c’est que les sédévacantistes dans leur interprétation de Principium Malorum, que Karol Wojtyla est l’antipape qui se fait louanger dans les murs de Rome par ses successeurs dans une parodie de procès en canonisation, sont terriblement à la traîne. J’ai enseigné toutes ces choses au siècle dernier ! Mais eux découvrent ça seulement après la pseudo-canonisation de Wojtyla, une fois que la Prophétie s’est accomplie ! Mais de cela, il convient paradoxalement de se réjouir, car la vérité sur les choses de Dieu, finit toujours par triompher dans l’Eglise. Passons à Ratzinger :

 

2) LA DURÉE DU RÈGNE DE RATZINGER ET SON ABDICATION PROPHÉTISÉES DANS PRINCIPIUM MALORUM :

Maintenant que l’on a dit ça, ce qu’il faut savoir, c’est que l’auteur de cette prophétie annonçant pour les dernier temps un antipape de la pire espèce élevé sur les autels par une parodie de canonisation , après avoir décrit le pape souffrant victime de cette machination de l’antéchrist-antipape qui a été élevé sur les autels comme un saint, par ses successeurs, revient sur la description de celui qui a fait passer Wojtyla pour un saint, sur la description de la bête de la terre ( Apo.XIII ) Ratzinger et sur la description du septième roi-prêtre dans Apocalypse XVII, qui est également Ratzinger. (Voir pour plus de précisions, notre article précédent : Où se trouvent dans les 7 derniers rois prêtres de Rome prophétisés dans le chapitre XVII de l’Apocalypse, les ennemis de l’Eglise ?)

Il était dit que les préposés de Rome ont jugé injustement en faisant louanger le nom d’un antipape monstrueux dans une parodie de canonisation. Maintenant, il est décrit un dernier-roi prêtre de Rome tout à la fin de Principium Malorum, qui est poursuivi par de malins jugements. Il s’agit manifestement de l’un de ses préposés, le plus important qui a fait passer cet antéchrist-antipape, pour un modèle de sainteté, à suivre absolument pour plaire à Dieu. Or voici ce qui est dit de ce dernier-roi prêtre, ou de cette bête qui a fait adorer Wojtyla :

 

Le visage de Ratzinger fait parfois froid dans le dos … sinistre personnage !

 

Voilà le texte à nu, mais après on le commente. Promis !

« D’une vie sans gloire où tu t’es élevée, tu es revenu à ta bonne vie d’autrefois, et tu le dois davantage à ta fermeté qu’à la fortune. Pourtant tu n’atteindras jamais la sainteté. Par envie, de malins jugements te poursuivront, et tu n’échapperas pas au mauvais sort. Malheur à toi, cité sanglante, pleine d’universelle hypocrisie. La rapine, le sifflement du fouet, le bruit impétueux des chars et des chevaux frémissant ne se retirera plus de toi. Un cœur de bête lui sera donné, et sept ans couleront sous lui. Son cœur sera changé par l’abomination. »

Ratzinger : un cœur de bête lui sera donné, sept ans couleront sous lui. Son cœur sera changé par l’abomination.

Petites remarques sur les problèmes de traduction du latin au français : Roger Duguet traduit « tu es revenu à ta bonne vie », « à ta vie confortable d’autrefois » par « tu es revenu à une vie honnête », or le mot « honnête » ne se trouve pas dans le texte latin d’origine. Il traduit à la place de « tu le dois davantage à ta fermeté qu’à la fortune », par « tu le dois davantage à ta vertu qu’à la fortune ». Or, « virtus », c’est en latin le courage, la force d’âme, cela montre que Ratzinger n’a pas été contraint à abdiquer, comme certains veulent le faire croire. J’ai traduit « virtus » par fermeté dans le sens de « fermeté d’âme devant le danger ». Le mot « vertu » en français pose problème, car il ne faut pas perdre de vue, qu’on a à faire à une bête, à un homme abominable, c’est dit dans le texte. Il ne faut pas voir le mot vertu dans le sens de vertueux, mais dans un sens dépouillé de toutes vertus chrétiennes, dans un sens païen, le mot fermeté, me semble mieux correspondre à l’esprit du texte. J’ai traduit « fortuna » par « fortune » et Roget Duquet ( l’abbé Boulin) aussi, la fortuna, en latin, c’est la chance, le hasard ou la circonstance imprévue. Le mot fortune a conservé ce sens-là en français.

Pour le texte latin, voir Roger Duguet Autour de la tiare, Nlles Editions Latines, Paris, 1997. P. 218.

 

« D’une vie sans gloire (où tu t’es installé frauduleusement sur le siège de Pierre), tu es revenu à ta bonne vie d’autrefois, et tu le dois davantage à ta fermeté qu’à la fortune. » c’est-à-dire de ton poste de roi-prêtre, tu es revenu à ta vie d’autrefois en abdiquant volontairement ta fonction de roi-prêtre, sans y être vraiment forcé. « Pourtant (malgré cette démission ou plus précisément abdication) tu n’atteindras jamais la sainteté (sous-entendu, tu n’es pas comme le pape Célestin V qui a abdiqué mais qui lui était un saint). » - Et effectivement Ratzinger, le dernier roi-prêtre a abdiqué !

 

La décision de Ratzinger le 11 février 2013 d’abdiquer ! Bien évidemment il doit ignorer qu’il est la bête de la terre, le septième et dernier rois-prêtres de Rome, comme il doit ignorer que son abdication avait été prophétisée.

 

Ci-joint, Ratzinger avec son habit blanc d’imposteur, en communion avec les juifs prévaricateurs qui ne veulent pas que Jésus-Christ règne sur eux, citons Barthelemi Holzhauser qui avait vu juste sur la bête de la terre (Ratzinger : voir notre article précédent sur les 7 derniers rois-prêtres de Rome ) : «  elle assemblera les juifs qui seront partout très nombreux en ces jours, et ceux-ci s’attacheront unanimement à son parti. » p.108 interprétation de l’apocalypse ouvrage traduit par le chanoine de Wuilleret, Tome II , Editions Saint-Remi.

 

Par envie, de malins jugements te poursuivront ( c’est-à-dire que ton crime d’avoir fait passer un avant-coureur de l’antéchrist comme toi, pour un saint, d’avoir trompé spirituellement des millions de gens, tu l’auras sur la conscience, cela te hantera tout particulièrement lorsque tu seras jeté en Enfer, cela te poursuivra éternellement dans le feu éternel ) , et tu n’échapperas pas au mauvais sort ( c’est-à-dire que tu iras en Enfer et même qu’il se pourrait bien que tu sois châtié dès ici-bas , livré par Dieu à son Ennemi , car voici le reste du texte : ).

 

Malheur à toi, cité sanglante (« on a trouvé en elle le sang des prophètes et des saints et celui de tous ceux qu’on a trouvé sur la terre » Apo. XVIII verset 24 ) , pleine de l’universelle hypocrisie (il s’agit de la ville Babylone, plus précisément de la fausse église wojtylienne, qui a persécuté l’Eglise de Jésus-Christ, occupée par des prédateurs féroces, déguisés en brebis, qui ne se disent pas ouvertement hostiles au Christianisme, mais qui s’acharnent à vouloir anéantir la vraie Religion, et tous les chrétiens, à arracher en Europe, les dernières racines du Christianisme, qui travaillent au service de la bête de la Mer, de cette partie de l’Europe paganisée qui a son centre spirituel diabolique au Vatican ). La rapine, le sifflement du fouet, le bruit impétueux des chars et des chevaux frémissants ne se retirera plus de toi ( il s’agit ici d’une description portée par des images de l’Ancien Testament, de la chute de Babylone ou de l’Eglise wojtylienne, contre laquelle se retourneront les dix rois de l’antéchrist : «  en un seul jour viendront ses punitions : la mort, la douleur, la famine, et elle sera brûlée par le feu parce que le Dieu qui la jugera est fort (…) Malheur , malheur à cette grande cité (…) parce qu’en une heure , elle a été ruinée. » Apo. XVIII 8-19 ; « les dix cornes que tu as vues et la bête » c’est-à-dire les dirigeants de l’Europe paganisée, et la bête, l’Europe paganisée « haïront la prostituée » (l’église wojtylienne), la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs et la consumeront par le feu. » Apo. XVII 16)

Reconstitution du siège de la ville de Jérusalem par les Romains : on voit ici les légions romaines attaquer le second temple de Jérusalem en l’an 70. Le Vatican aura un sort semblable.

 

Un cœur de bête lui sera donné (à ce dernier roi-prêtre, qui clôt Principium Malorum, à cet antipape qui a régné avant d’abdiquer : c’est une bête, c’est la bête de la terre dans Apo. XIII qui a fait adorer l’image de la première bête Wojtyla), et sept ans couleront sous lui (c’est aussi le septième roi-prêtre dans Apocalypse XVII qui « a régné peu de temps », peu de temps signifiant que « sept ans couleront sous lui », il ne règnera pas huit ans, et effectivement cela s’applique à Ratzinger qui a régné moins de 8 huit ans !) Son cœur sera changé par l’abomination (c’est-à-dire qu’il se sera endurci comme le cœur de Pharaon, de l’enfant qu’il a été, il a terminé en monstre endurci, étant devenu quelqu’un d’abominable, particulièrement hideux et repoussant, semblable à Anne ou Caïphe, crucifiant N.S. Jésus-Christ une seconde fois.)

 

Ratzinger = un cœur de bête = la bête de la terre = un Rat ! (dixit, les frères Dimond )

 

On le voit, Principium Malorum a bien prophétisé l’avènement du règne de Ratzinger, son abdication, et lui promet à lui et aux siens, à tous ceux qui dirigent actuellement le Vatican, un mauvais sort. Il a prophétisé la durée du règne de Ratzinger, il a prophétisé également la pseudo-canonisation de Wojtyla par Ratzinger faite à Rome. Donc s’il a été bien inspiré par le Saint Esprit, capable de faire de vraies prophéties qui se sont véritablement accomplies avec le temps, nos pères dans la foi - le clergé romain dans son ensemble - à la Fin du Moyen Age avaient bien raison de penser que Principium Malorum était inspiré par Dieu. L’abbé d’Argoeuves qui a connu Mélanie Calvat pour l’avoir hébergée chez lui plusieurs mois, pensait également que cette apocalypse de la fin du Moyen Age était inspirée par Dieu, c’est Roger Duguet (l’Abbé Paul Boulin) qui a reçu de lui, cette apocalypse du XIII ème siècle, qui le dit dans son ouvrage Autour de la Tiare. Et encore, ce que je dis là, n’est qu’un aspect parmi tant d’autres, car Principium Malorum a prophétisé beaucoup d’autres évènements dans l’Eglise qui se sont réalisées. On n’a visiblement pas à faire à un faux prophète ou à un charlatan. Et pourtant, c’est cette même apocalypse, qui nous assure que dans les derniers temps, le vrai pape passera pour mort aux yeux du monde, mais sera toujours en vie, et reviendra après un très grand nombres d’années, pour confondre d’autorité ses usurpateurs, redresser ce qui doit être redressé, tel un nouvel Elie ! Plus que jamais, devant de telles prophéties réalisées, on a bien des raisons de croire à la survivance de Paul VI.

Éric Faure, le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette,

 

A Marsillargues, le 9 Août 2018 A.D.

Ci-joint quelques copies de Principium Malorum très anciennes contenant la prophétie sur Ratzinger :

 

 

 

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