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In Nomine Domini

In Nomine Domini

« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Les versets 2 et 3 du chapitre XI de l'Apocalypse

Publié par Éric Faure sur 12 Décembre 2019, 15:02pm

 

Les versets 2 et 3 du chapitre XI de l'Apocalypse,

éclairés par Notre-Dame de la Salette

 

 

Légende : Le Vatican occupé par Satan, qui dirige toute la contre-Église apostate de Rome.

 

 

Les « 42 mois » sont la durée de l’éclipse de l’Eglise et au terme de cette durée, l’autorité visible de l’Eglise revient en la personne d’Elie, qui est le pape enlevé par Dieu appelé à revenir à Rome pour redresser ce que Satan a renversé.

 

Par Éric Faure, l’auteur du Pape martyr de la fin des temps, de Méditations sur les dernières devises malachiques, du sosie de Paul VI dans le secret de la Salette.

 

Notre Dame de la Salette en disant « l’église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu. » fait référence au début du chapitre XI de l’Apocalypse sur les deux témoins que la Tradition appelle « Enoch et Elie », Notre Dame reprenant cette Tradition. Je souligne en jaune le passage concernant l’éclipse de l’Eglise et en bleu le passage concernant Enoch et Elie :

 

Voici le texte en question : 

 

2 Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte * pendant quarante-deux mois.

 

3 Je donnerai à mes deux témoins * le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. – 1245 jours expriment donc la durée nécessaire pour corriger ces 42 mois ou remédier à ce mal qu’a été l’occupation de la cité sainte, cette durée une fois écoulée, les deux témoins seront mis à mort. Pour l’instant, on ne s’occupe pas des 1245 jours qui font 42 mois, on n’explique pas pourquoi ici, on passe soudainement en terme de jours, on ne répond pas à cette énigme posée par Notre Seigneur, on la montre, c’est tout.

 

La Cité assiégée

 

« La ville sainte », c’est la citadelle sainte, l’église officielle romaine, qui assiégée par l’Ennemi est tombée entre ses mains, a été prise, perdant ainsi toute autorité apostolique, qui s’est vidée de la vraie papauté et des vrais catholiques, comme la ville de Rome a été prise en 1870 par les troupes révolutionnaires italiennes. Cette église officielle est devenue une fausse et contre Eglise, parce qu’elle est actuellement occupée par des gens qui se disent catholiques, mais qui ne le sont pas, qui sont en réalité des adeptes du paganisme, qui suivent l’Europe paganisée. C’est pour ça que Jésus-Christ dit de l’église officielle romaine, la cité sainte est foulée aux pieds par les nations, c’est-à-dire les nations apostates, dirigées contre Dieu et l’Eglise, car les troupes qui l’occupent sont les apostats de ces nombreuses nations. Ce monde qui foule aux pieds la ville sainte ou les murs de l’Eglise a beau se dire catholique, pour le Christ, ce monde- là, n’est pas catholique, il appartient au paganisme, c’est-à-dire aux nations qui ne sont plus catholiques, qui ont apostasié la vraie Religion, en ayant plus la Religion catholique comme religion d’Etat, et qui prennent des antipapes pour de vrais papes. Ce monde-là est extérieur à la vraie Eglise, et c’est pour ça, que le Christ le situe sur le parvis extérieur du Temple, qu’est l’Eglise. Il n’appartient qu’extérieurement à l’Eglise, comme le parvis touche à la maison, sans en faire vraiment partie, parce que tout en gardant des simulacres extérieurs de la vraie Religion, il n’accepte ni la vraie Foi catholique, ni les lois de l’Eglise. Il faut le laisser en dehors de l’Eglise, et il ne sert à rien de discuter avec lui, de le mesurer, car il ne vaut rien du tout, on ne peut et on ne doit rien construire avec lui, et Dieu va s’en débarrasser. (Voir le sens mystique de l’apocalypse du R.P. de Monléon p. 174-175 qui dit ici pratiquement la même chose que nous, reprenant la Tradition des pères de l’Eglise.) C’est la description ici de la situation actuelle de l’Eglise officielle romaine occupée par l’Ennemi ou Satan, ce temps de 42 mois correspond nécessairement par conséquent au temps de l’éclipse de l’Eglise, éclipsée par cette fausse Eglise, qu’est l’Eglise wojtylienne, qui est un temps par définition où la vraie papauté n’est plus visible, le temps où Dieu a enlevé le vrai pape, ce dernier devenant invisible au reste de l’Eglise. C’est le temps où la cité sainte, l’Eglise officielle est foulée aux pieds par les nations, c’est-à-dire par les ennemis de l’Eglise. Ce passage correspond nécessairement à l’expression « l’Eglise sera éclipsée ».

 

Élie et Hénoch

 

Que les deux témoins soient ici Enoch et Elie pour Notre Dame, n’est un secret pour personne, y compris pour les modernistes apostats. En revanche, ce que très peu de personnes ont compris, c’est que le passage décrivant et précisant le temps d’occupation de la Cité sainte par les ennemis de l’Eglise ici est une description de l’éclipse de l’Eglise qui nous apprend que cette éclipse va durer « pendant 42 mois ». Peu de personnes y compris dans l’Eglise réalise que ce temps d’occupation de la cité sainte par l’Ennemi correspond au temps de la fausse Eglise des derniers temps, gouvernée actuellement par Bergoglio, de la naissance de cette Eglise maudite jusqu’au retour d’Enoch et d’Elie, qui sont pour Notre Dame de la Salette, « les deux témoins ». La raison de cette cécité est dû à l’obscurité du texte, au fait que 42 mois a un sens caché ou réel qu’il convient de décrypter au même titre que toutes les autres expressions de ces deux versets. Celui qui se dit que « 42 mois » ne peut pas être la durée de l’éclipse de l’Eglise, parce que cette éclipse dure depuis des années et des années, s’imagine qu’un dictionnaire de français sert de référence pour saisir le sens de cette expression, alors qu’un bon dictionnaire de français au contraire vous enduit en erreur et vous conduit même à faire des contresens à ce sujet, exactement comme un Larousse ne sert à rien pour décrypter par exemple le sens de l’expression « habitants de la terre », qui dans l’Apocalypse de Jésus-Christ comme dans le secret de la Salette désignent les futurs damnés dont les noms ne se trouvent pas dans le livre de vie, adorant l’image de la première bête qu’est Wojtyla, et non pas les terriens, les êtres humains vivant sur le globe terrestre, les élus avec les réprouvés. « 42 mois » a un tout autre sens que celui qu’en donne le langage courant, et pour décrypter ce que cette expression signifie dans son sens le plus élevé, sa signification réelle, son sens réel, il faut préalablement avoir cerné son sens littéral.

 

Lorsque Notre Dame de la Salette, dit : «  Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes » sous-entendu abandonnera les élus, les justes à eux-mêmes, en leur enlevant le pape, en les rendant comme orphelins, sans leur donner un bon pape pour les guider, en rendant comme invisible l’autorité de l’Eglise, «  et enverra » sous-entendu à ces derniers «  des châtiments qui succéderont pendant plus de 35 ans ». Ces châtiments sont décrits plus loin par Notre Dame. Cela concerne « un avant-coureur de l’antéchrist », voulant anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu », qui est ainsi comparé à Antiochus IV, c’est-à-dire la bête à qui il fut donné de vaincre les justes dans Apocalypse XIII, elle-même comparé par le Christ à Antiochus IV, à savoir Wojtyla, mais aussi les successeurs de Wojtyla, décrits plus loin par Notre Dame, comme faisant « profession de servir Jésus-Christ mais au-dedans s’adorant eux-mêmes » dans le sillage tracé par Wojtyla, un avant-coureur de l’antéchrist, qui sont eux aussi des avant-coureurs de l’antéchrist, c’est-à-dire des antipapes. En regardant ces faux pasteurs, Notre Dame fait référence à ce temps de « 42 mois ». Ce temps de 42 mois est un temps où c’est l’antipapauté qui éclipse la vraie papauté qui n’est plus visible, et c’est pour ça qu’elle dit de ce temps, qu’il fait « plus de 35 », parce qu’il fait 42. Notre Dame parle en années lorsqu’elle dit « plus de 35 ans », ce qui signifie, que « 42 mois » a pour sens réel 42 ans, Simon André reprenant ici cette position de Notre Dame que nous lui avons livrée à la Salette. Même Peter Dimond du monastère de la sainte Famille, la Foi.fr , qui a raison en voyant dans la première bête qui s’est remise de sa blessure mortelle et dont l’image après sa mort a été adorée, au chapitre XIII , Wojtyla qui s’est remis de son attentat à la place saint Pierre de Rome et dont l’image a été adorée au Vatican lors de sa pseudo-canonisation, est contraint de convenir qu’il ne faut pas prendre l’expression « 42 mois » dans l’échelle de notre calendrier , puisqu’il fut donné à ce monstre Wojtyla de faire ( le mal ) pendant « 42 mois ». Apo XIII 5. Peter Dimond n’explique pas le sens de l’expression « 42 mois » alors qu’il se devait de le faire. La raison de cela, est qu’il ne comprend pas ce que « 42 mois » signifie. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il a été donné à Wojtyla de faire le mal de son vivant, et ensuite après sa mort, avec son image, depuis le début de son règne en 1978 jusqu’à aujourd’hui, mais il est incapable de répondre à l’objection : si Wojtyla désigne cette bête, comment se fait-il que cette bête est néfaste sur 42 mois, alors qu’elle est néfaste depuis 1978 et que son influence néfaste dure toujours en 2019 ?

 

Lorsque N.S. Jésus-Christ dit « 42 mois », il est sur le calendrier de l’Ancienne Alliance, mais il faut transposer ce calendrier à notre époque. L’échelle qu’il donne est petite car elle s’étend sur Jérusalem et les environs de Jérusalem lors de la crise maccabéenne, mais transposée sur Rome et tout le monde catholique, c’est-à-dire sur une cartographie mondiale et non plus locale, ce qui était 42 mois, prend alors l’échelle supérieure de 42 ans.

Lorsque saint Pierre dit :

8Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.

Il faut comprendre dans le cas présent, qu’un mois est comme un an, ce qui devant le Seigneur est comme un mois, pour nous c’est comme un an, et désormais « 42 mois » pour le Seigneur doit signifier pour nous 42 ans. Ça c’est la chose ici à démontrer, maintenant qu’on a posé cette hypothèse à vérifier. Il ne s’agit pas seulement de dire que « 42 mois » ici signifie « 42 ans », comme le dit aussi Simon, mon frère dans la Foi, il faut le prouver par les textes sacrés. L’enjeu est de taille, car si 42 mois, signifie 42 ans, pour désigner l’occupation de la ville sainte par l’Ennemi, la position sédévacantiste qui dit que cette occupation date depuis 1958, c’est-à-dire depuis 61 ans alors que les deux témoins ne sont toujours pas arrivés, s’écroule complètement, pour céder la place au scénario de la survivance de Paul VI, qui présente Paul VI comme étant Elie, qui n’est pas mort, est toujours en vie et va revenir au terme de ces 42 ans, et fait remonter cette occupation de la cité sainte, non pas en 1958, mais en 1978, ce qui permet de comprendre que ce temps de 42 ans, après 1978, n’est pas encore écoulé en décembre 2019, par le retour d’Elie c’est-à-dire de Paul VI.

 

Que 42 mois au sens littéral signifie ici au sens réel 42 ans, c’est ce vers quoi tend Notre Dame de la Salette dans son secret, en disant « plus de 35 ans », et c’est ce que nous allons prouver tout de suite. Comment ? C’est très simple « 42 mois » constitue une énigme dans l’Apocalypse de Jésus-Christ. On ignore lorsqu’on rencontre pour la première fois cette durée, ce que « 42 mois » signifie pour Jésus-Christ, sans quoi on n’aurait pas tous ses exégètes pour tenter de savoir ce que cela veut dire. On ignore aussi dans une première approche, à partir de quand il faut la faire commencer et à partir de quand il faut la faire terminer. Si on suit l’idée du retour de Paul VI, il faut faire commencer ce temps d’éclipse de l’Eglise de « 42 mois » en 1978 et la faire terminer 42 ans plus tard, par le retour de Paul VI qui est Elie, qui fait partie des deux témoins. En effet, c’est à partir de l’année 1978, que l’Ennemi foule au pied la cité sainte après s’être emparé de la fonction pontificale, car 1978 c’est l’année où l’église officielle romaine perd toute autorité apostolique, par ce mensonge de la mort de Paul VI, c’est l’année où la cité sainte se vide de la vraie papauté en la personne de Paul VI, pour devenir une fausse et contre Eglise de laquelle ne peut sortir que des antipapes, par des conclaves invalides qui ne sont pas ordinaires du tout, car faits du vivant du vrai pape. Et c’est Paul VI qui met un terme à l’éclipse de l’Eglise, en redevenant visible à son retour. Ça, c’est ce qui se déduit de l’idée de Retour de Paul VI, mais est-ce que Jésus-Christ dans son Apocalypse va dans ce sens ? Au départ, on n’en sait rien, il faut le vérifier à partir précisément de ce que raconte dans son apocalypse Jésus-Christ ressuscité qui apparait à saint Jean.

 

Notre Dame de la Salette veut que nous comprenions ce passage, c’est pour cela qu’elle y fait textuellement référence dans son secret, parce que ce passage est d’une importance capitale pour l’Eglise. Elle nous souffle la bonne réponse, « 42 mois », c’est « plus de 35 ans », sous-entendu, c’est 42 ans, mais bon elle a certainement raison, mais cela serait mieux, si on comprenait pourquoi, elle dit ça. Et pour comprendre ce que « 42 mois » signifie pour Jésus-Christ, il faut non seulement cerner cette énigme c’est-à-dire en montrer la difficulté au lieu de fuir le problème que nous pose N.S. Jésus-Christ ( c’est le travail de l’exégète ) mais il faut trouver la résolution de cette énigme dans le texte même de l’Apocalypse de Jésus-Christ ( c’est le travail de l’herméneute ) et il faut que la résolution de cette énigme vienne de Jésus-Christ qui nous l’a posée, et vienne de son Apocalypse, sans quoi, notre réponse sera de la merde, de la merde peut être édulcorée qui sent la rose, de la merde peut être appréciée par beaucoup ( comme les écrits du Père Allo ) mais du poison au final, et tout le monde n’aime pas la merde, et en particulier ceux qui ont l’intelligence des Ecritures.

 

 

 

Le temps de la persécution, par le grec séleucide Antiochus IV correspond au temps de la persécution par le slave Karol Wojtyla, antipape, chassant les vrais catholiques de leur Temple, renversant la vraie Religion catholique dans tous les murs de l’Eglise.

 

 

Qui dit que N.S. Jésus-Christ en disant « 42 mois » est sur l’échelle de l’Ancienne Alliance ? Tous les exégètes, y compris les modernistes apostats, comme les vrais catholiques, tout le monde est unanime sur ce point. Le camp du démon, qui n’a aucune valeur, se règle ici sur la position de l’Eglise qui elle en revanche a de la valeur. Voici la raison pour laquelle Jésus-Christ dit « 42 mois ». Il dit 42 mois parce qu’il fait référence au Prophète Daniel. Ce temps correspond à Daniel, au temps de la persécution d’Antiochus Epiphane jusqu’à la nouvelle dédicace du Temple de juin 168 à décembre 165 (Dn XII 7), ce qui fait en tout 42 mois. Ce sens littéral a été compris de tout le monde, à commencer par le Père E.B. Allo, que le R.P. de Monléon admire dans sa préface (alors que nous, on perçoit Allo à juste titre comme un sale moderniste qui a contribué à dénaturer le contenu de l’Apocalypse, qui s’inscrit dans un courant subversif, comme un intellectuel médiocre, cultivé certes mais idiot après avoir étudié ses travaux) – p. 143 dans son livre saint Jean, l’Apocalypse. Ce sens littéral est indispensable pour s’élever au sens réel. En effet, il permet de se référer à Antiochus IV Epiphane et de là, ce sens littéral, nous amène à un personnage que Jésus-Christ décrit dans son secret sous les traits d’Antiochus IV Epiphane, mais qui n’est pas Antiochus IV Epiphane. Pour résoudre cette énigme, il faut donc se reporter à la solution, qu’en donne Jésus-Christ, au chapitre XIII, lorsqu’il décrit l’antipape Wojtyla sous les traits d’Antiochus IV Epiphane. Voici ce que Jésus-Christ montre de l’antipape Wojtyla : « il lui fut donné une bouche qui disait de grandes choses, et des blasphèmes : et il lui fut donné pouvoir de faire (le mal) pendant 42 mois. » Apo XIII 5. Saint Bernard nous dit que Jésus-Christ dans ce verset, fait ici la description d’un lion cherchant à dévorer ses proies, qui s’est installé sur le siège de Pierre. Mais laissons saint Bernard, qui a manifestement compris que ce verset décrit un antipape, les exégètes modernistes se gardant bien de rappeler sa position, alors qu’il est docteur de l’Eglise, lorsqu’ils abordent ce passage. Les exégètes sont là encore unanimes pour dire que ce verset 5 fait référence à la description que donne le prophète Daniel d’Antiochus IV Epiphane. Daniel dit d’Antiochus qu’il proféra des paroles contre le Très Haut et molestera les saints du Très Haut (Dn 7, 35), il s’exaltera et se grandira au-dessus de tout dieu, et contre le Dieu des dieux, il dira des choses étonnantes. » (Dn 11, 36), et que dit ensuite N.S. Jésus-Christ ? « Qu’il lui fut donné de faire (sous-entendu le mal) pendant 42 mois », c’est-à-dire que Jésus-Christ fait reporter ce temps de « 42 mois » au temps donné à l’antipape Wojtyla pour faire le mal de son vivant et après sa mort, ce qui signifie que ce temps de 42 mois, en son sens réel, se compte bien en années ! On en a la preuve par Jésus-Christ, et pas seulement par Notre Dame de la Salette.

 

 

Pièce représentant Antiochus IV

 

Notre Dame de la Salette nous a conduit à cette interprétation, car elle compare aussi Wojtyla à Antiochus IV Epiphane, en disant de lui, qu’il « voudra anéantir le vrai culte pour se faire regarder comme un dieu. ». Elle a fait cette comparaison en référence à ce que dit son divin Fils de l’antipape Wojtyla, dans son Apocalypse au chapitre XIII verset 5, mais aussi en référence à ce que dit saint Paul dans II Thessalonicien de « l’homme de péché ». En effet, « voulant se faire regarder comme un dieu » dans le secret de la Salette, marche de pair avec les expressions pauliennes « s’élever au-dessus de ce qu’on appelle Dieu, ou qu’on adore », pour être adorer justement, et « se proclamant lui-même Dieu ». « Jusqu’à s’assoir dans le Temple de Dieu » fait référence aussi à Antiochus IV, sauf que le Temple de Dieu ici n’est plus le Temple de Jérusalem, mais l’Eglise. Pour Notre Dame également, cet homme de péché dont parle ici saint Paul est Wojtyla. Pour Notre Dame, on l’a vu, « les faiseurs de miracles » dont elle parle sont des francs-maçons infiltrés dans l’Eglise qui veulent s’asservir la fonction pontificale, or saint Paul présente l’homme de péché en question comme faisant « toutes sortes de miracles ». Notre Dame appelle les francs-maçons que le démon va « introduire dans les ordres religieux » en usant « de toute sa malice », « personnes adonnées au péché » en référence à « l’homme de péché » dans cette Prophétie de saint Paul. Wojtyla, nous disent les révélations en cours d’exorcisme des années 70,80 et 90 est un franc-maçon.

 

Les versets 2 et 3 du chapitre XI de l'Apocalypse

 

Il reste à déterminer à partir de quand commence la période de « 42 mois », qui de l’échelle de la crise maccabéenne, à notre échelle signifie « 42 ans », la crise maccabéenne servant toujours à décrire la crise de l’Eglise dans les derniers temps, et que Notre Dame appelle de la Salette période de « plus de 35 ans », puisqu’elle fait 42. Mais il convient aussi de déterminer à partir toujours de l’Apocalypse, quand cette période de 42 mois, de 42 ans ou de plus de 35 ans, se termine. Or ces énigmes posées par Notre Seigneur, ont aussi leur résolution dans l’Apocalypse de Jésus-Christ qui répond toujours aux énigmes posés, ce qui est le propre d’une apocalypse de fonctionner toujours ainsi. Le passage du chapitre XI disant qu’après ce temps de 42 mois qui est celui de l’éclipse de l’Eglise, arriveront les deux témoins, est fait pour répondre à la question, quand se terminera cette période. Elle se terminera veut nous faire comprendre le Seigneur, quand les deux témoins arriveront, ce sont eux, dit Notre Dame, qui confirme cette analyse, qui mettront un terme à l'éclipse de l'Eglise, c’est pour ça que Notre Dame dit « l’Eglise sera éclipsée. Le monde sera dans la consternation » sous-entendu en raison de l’arrivée des deux témoins que sont Enoch et Elie, qui surprend très désagréablement le monde qui croyait s’être débarrassé de l’autorité de l’Eglise d’autrefois. Et c’est pour ça que Notre Dame dit « Mais voilà Enoch et Elie » sous-entendu mettant fin à cette éclipse de l’Eglise, ce qui n’est possible, que si Enoch et Elie sont l’autorité de l’Eglise qui invisible lors de la période de plus de 35 ans, c’est-à-dire de 42 ans, redevient visible au terme de cette éclipse, puisque ce qui caractérise cette éclipse, c’est la non visibilité de cette autorité, c’est-à-dire, l’enlèvement du vrai pape, par Dieu, d’où le terme Elie, pour appeler ce pape, car Elie a été enlevé par Dieu, Dieu projetant pour remédier à ce mal qu’est l’éclipse de l’Eglise, de faire revenir le pape, c’est-à-dire « Elie » en langage apocalyptique. Elie est accompagné par un homme appelé en langage Apocalyptique « Enoch », car Elie c’est un pape, un roi, et un roi, appelé à gouverner avec une verge de fer, à battre le monde comme on bat le blé, avec un fléau, c’est-à-dire une verge de fer, n’annonce pas son arrivée tout seul, parce qu’il est roi. Il se fait annoncer par quelqu’un à son service, en l’occurrence qui marche avec Dieu, sens étymologique du mot « Enoch ». Enoch étant l’Apôtre qui déclarera au retour de Paul VI, que Paul VI est arrivé. On aura identité Enoch que lorsque le retour de Paul VI arrivera, pas avant, mais on a déjà l’identité d’Elie. L’idée de retour de Paul VI, que personne ne comprenait, avait pour objectif de nous faire comprendre que Elie qui n’est pas mort, vit, toujours et va revenir, c’est Paul VI, qui n’est pas mort, qui vit toujours, parce qu’il a été enlevé par Dieu, et qui va revenir, parce qu’il a été enlevé par Dieu qui l’a enlevé avec le dessein caché de le faire revenir au terme des « 42 ans » pour redresser toutes choses, ce terme des 42 ans, ramené à l’échelle des 42 mois de la crise maccabéenne, se juxtaposant à la nouvelle dédicace du Temple, de décembre 165 ( av. J-C ) où la situation de la vraie Religion se redresse.

 

L’énigme de l’année où commence la période de « 42 mois » en langage apocalyptique, où la période de 42 ans, qui est le sens réel de l’expression « 42 mois », ce que veut nous indiquer Notre Dame en disant « plus de 35 ans » est résolu par Notre Seigneur Jésus-Christ en personne, lorsqu’il dit de l’antipape Wojtyla au chapitre XIII verset 5, « qu’il lui fut donné de faire ( le mal de son vivant et après sa mort ) pendant 42 mois » , car passé ce délai, « les deux témoins », « Enoch et Elie » dans le secret de la Salette, qui sont l’autorité de l’Eglise, le démasqueront d’autorité, cet antipape ne pourra plus troubler la paix de l’Eglise, et alors se sera la paix, la réconciliation de Dieu avec les justes, comme le dit Notre Dame de la Salette, après avoir fait référence à l’arrivée de ses anges que « sont Enoch et Elie », c’est-à-dire de ces deux messagers envoyés par Dieu ( sens étymologique du mot « anges ») ou par Jésus-Christ. Or à partir de quand Wojtyla trouble la paix de l’Eglise ? Il la trouble à partir de l’année 1978, où il s’assoit dans le Temple de Dieu, en usurpant la fonction pontificale, après l’évincement de cette fonction du vrai pape, en la personne de Paul VI, que permet l’existence et la mort du sosie de Paul VI au Vatican. Par ailleurs, Notre Seigneur, lorsqu’il parle de Wojtyla au chapitre XIII, fait référence à sa position de Roi, c’est-à-dire qu’il faut nécessairement faire courir ce temps de « 42 mois », ou de « 42 ans » , ou de « plus de 35 ans » ( 42 mois = 42 ans = plus de 35 ans ) à partir de l’année 1978, où il devint roi, qui est aussi selon l’idée du retour de Paul VI, l’année où l’éclipse de l’Eglise a commencé, cette précision de Notre Seigneur attestant cette idée de retour de Paul VI, au terme de cette période, pour mette fin à l’éclipse de l’Eglise. Simon André a raison dans une certaine mesure seulement en entrevoyant le retour de Paul VI, au terme de l’année 2019, en faisant de l’année 2020, ( 1978 + 42 = 2020 ) celle qui sera marquée par le retour de Paul VI. On estime seulement qu’il anticipe encore trop tôt le retour de Paul VI, mais cela ne change rien, sur ce que nous disons. Au contraire, on estime, qu’il se rapproche de plus en plus de notre position, qu’il va vers la bonne direction, et se corrigera, sans s’écraser, au moment de l’atterrissage.

 

 

 

FIN

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