Récemment, l'un de mes amis m'a dit qu'il ne comprenait pas ce que je reprochais à Civitas concernant le recours pour obtenir la réautorisation de la Messe ; et il a ajouté "tu vois, ils ont réussi".
C'est simple : comme l'a dit l'abbé Salenave, on n'a pas à réclamer un droit qu'on possède déjà, de droit naturel et de droit divin. Ce n'est pas de l'Etat que nous tenons ce droit, mais de Dieu. Faire un recours à cette fin revient à entretenir l'ambiguïté.
L'Etat va probablement formuler des exigences incompatibles avec le droit canon, qui conditionneront la réautorisation de la Messe. Par ailleurs, en faisant un tel recours Civitas participe aussi à la réautorisation des faux cultes...
Arrêtons de quémander auprès de la République maçonnique...