L’ENIGME DE « LA LETTRE K. LOUANGEE DANS LES MURS DE ROME »
DANS PRICIMPIUM MALORUM ENFIN RESOLUE :
KAROL WOJTYLA EST BIEN LA BETE DE L’APOCALYPSE
DONT LE NOMBRE EST 666
par Éric FAURE
Note de Jean-Baptiste : L'article qui suit est de mon ami Éric FAURE. Le fait que je le publie ne signifie pas que je sois d'accord avec tout ce qu'il dit, d'ailleurs je n'ai pas lu le texte. Je tiens seulement à préciser ici qu'à mon sens l'antipape Jean-Paul II incarnait le principal précurseur de l'Antéchrist (comme l'ont dit les exorcismes suisses), et à cet égard l'épître aux Thessaloniciens et le passage de l'Apocalypse sur la guérison de la plaie mortelle ne peuvent s'appliquer à lui que dans un sens secondaire : le sens le plus important s'appliquera à l'Antéchrist proprement dit.
Par Éric Faure. Cette étude élucide l’énigme de « la lettre K louangée dans les murs de la ville au sept collines » lettre qui attire sur Rome, la sainte colère de Dieu, après plus de 20 ans de recherches sur Principium Malorum. Ma découverte après mon pèlerinage à Rome, confirme ce que j’avais commencé à comprendre, dès le début, à savoir que K, c’est bien Karol Wojtyla, la bête dont l’image est adorée dans Apo. XIII.
Avertissements :
Cette étude se fera en trois parties.
1) Interroger tout le texte. (Le hors d’œuvre)
2) Cerner les énigmes du texte. (Le plat de résistance)
3) La résolution des énigmes. (Le dessert)
Ce n’est que dans la troisième et dernière partie, que l’énigme de la lettre K sera pleinement élucidée.
Déjà, le lecteur doit savoir, que c’est bien Karol Wojtyla qui est visé par l’oracle. On va en apporter les preuves, mais que dans la partie 3, les parties 1 et 2 donnant seulement la bonne direction à suivre. Mais l’intérêt de l’oracle ne s’arrête pas là, il permet de comprendre des versets bibliques jusque-là incompréhensibles dans l’Eglise. Enfin, il s’applique à décrire un évènement, qui n’est pas encore arrivé, et qui mettra fin à l’influence néfaste qu’exerce Karol Wojtyla dans le monde. Il révèle que ce dernier sera démasqué publiquement, au point que son image sera brûlée : « tu seras extrêmement blâmé ». Comme cet événement appartient à notre futur et que la fin de l’oracle porte sur cet évènement inouï qui viendra d’une intervention miraculeuse de N.S. Jésus-Christ, il est naturel, que cette histoire de « pontife Jo. Obi. » qui fait partie de cet évènement du futur, échappe au plus grand nombre dans l’Eglise.
Voici l’oracle prophétique que nous allons expliquer :
« Malheur à toi, ville au sept collines, quand la lettre K sera louangée dans tes murs, alors approchera la chute et la ruine de tes préposés qui ont jugé injustement. Celui-ci a les doigts armés de la faucille. Il est la faux de la dévastation, et dans les hauteurs, il blasphémera q mal p l φou t 6616. Ysatios mettra à mort dans le sang cette engeance. Jean vit en grâce. Constantin est pauvre. Prends bien garde, toi qui touches les choses saintes, et les porte sur ton épaule, que ta poussière ne devienne un opprobre. On taillera justement dans ta barbe épaisse : car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du pontife Jo. Obi.
La puissance. Ce sera l’unité. »
Voici le texte latin ci-dessous, dans l’ouvrage de l’abbé Boulin autour de la tiare, qu’il écrit en 1931 avec le pseudonyme de Roger Duquet p.200 :
« Voe tibi civitas septem collis quando K. litera laudabitur in maenibus tuis. Tunc appropinquabit casus, & destructio tuorum potentum, & judicantium injustitiam. Qui babet digitos suuos falcatos, qui est falx desertitudinia, et in altissimo blasphemavit Q.V.R.G. Ei in C.V. Ysatios, citopam caedia sanguinia, Johannes bona gratia. Constantinus pauper. Videas tu, qui sancta consideras, & sancta fera super humerum, ne pulvia tuus fiat opprobrium, & barba profunda justè incidet, & maximè vituperaberis ipse consiliarius in morte Pontificis cujus nomen Io. Obi.
Potestas, unitas erit. »
Vous remarquez que le passage Q.V.R.G. Ei in C.V. ne correspond pas à ce que nous avons mis à savoir q mal p l φou t 6616. La raison de cela, c’est que l’abbé Boulin reprend ici la version latine d’une édition du XVI ème siècle, de cet oracle sur la lettre K qui se trouve dans l’apocalypse du XIII ème siècle qui a pour titre d’origine « Principium Malorum » qui veut dire « le début des maux », que l’on a appelé dans le passé par son incipit « Genus nequam », les deux premiers mots de cette apocalypse, après avoir perdu son nom d’origine, car l’Edition du XV ème siècle, les vaticinia de summis pontificibus, qui en a reproduit le contenu, avec une autre apocalypse Ascende Calve, du même type, de fabrication plus tardive, a omis de mettre son nom d’origine. On s’est rendu compte après enquête, que l’abbé Boulin a travaillé sur l’édition version latine du prêtre vénitien Pasqualino Regiselmo publiée à Venise en 1589. Cet éditeur a traduit ensuite dans sa langue en vénitien de l’époque l’oracle sur la lettre K. C’est de toutes les éditions, la plus connue. Et c’est sur laquelle l’abbé Boulin a travaillé, et dans cette version latine, il y a « Q.V.R.G. Ei in C.V. » En revanche, si on a mis « q mal p l φou t 6616 », c’est parce qu’on a travaillé en revanche et c’est bien mieux, sur une copie de l’oracle qui vient de la fin du XIII ème siècle-début du XIV ème siècle, dans laquelle on trouve à la place de Q.V.R.G. Ei in C.V., ce passage : q mal p l φou t 6616, beaucoup plus lumineux, on verra pourquoi. Cette copie est connue du monde savant sous le nom de manuscrit Arundel 117, v.147 v. qui est conservé à Londres. Elle a plus de valeur que la version latine de Régiselmo qui remonte au XVI ème siècle, car elle est si ancienne, qu’il est probable que cela soit le texte d’origine. Par la suite, avec le temps, pour des raisons, qu’il conviendra d’éclaircir lorsque nous cernerons les énigmes de l’oracle avec précision, « q mal p l φou t 6616 » a été transformé en « Q.V.R.G. Ei in C.V. »
La traduction que fait l’abbé Boulin de l’oracle qui nous intéresse est excellente (p. 201 dans Autour de la tiare), même s’il omet cependant volontairement de traduire « et in altissimo blasphemabit » (« et dans les hauteurs, il blasphémera ») et cache une partie du rebus (il occulte dans sa traduction française « Q.V.R.G. ») pour retomber ensuite sur « Et dans G.V. Ysathios éteindra cette engeance », car il met des points de suspension à la place. Par ailleurs « Ei in C.V. », n’est pas le début d’une phrase sur « Ysathios », comme il le fait croire sa traduction, mais la fin d’un rébus. D’ailleurs il ne semble pas qu’il ait compris avoir à faire avec cet ensemble de lettres séparées à un rébus. Je suppose qu’il a été énervé de ne rien comprendre au texte, que cela l’a gavé de plus en plus. Mais paradoxalement, il en parle pour exprimer sa déception, car le curé d’Argoeuvre lui avait dit que cette Prophétie était considérée dans l’Eglise au Moyen Age comme inspirée par Dieu, ce dernier la trouvant extraordinaire. L’abbé Boulin est exaspéré face à un texte aussi abscons, qu’il croyait simple et clair, accessible à tout le monde. Alors il va se venger pour dire du mal, de la Prophétie, pour dire qu’elle dit n’importe quoi, ne vaut rien, que son contenu doit être subversif et hérétique (il fera pareil avec la célèbre Prophétie attribuée à saint Malachie, puis avec Ascende Calve qui est une autre apocalypse du même type que Genus nequam), et dire du mal du vieux curé d’Argoeuvre, ami de Mélanie Calvat, qu’il est bien gentil, mais naïf, complètement à côté de ses pompes.
Toutes les traductions que fait l’abbé Boulin des oracles de Genus nequam ne sont pas bonnes, par exemple dans le dernier oracle de « Genus Nequam », il traduira « Bonam vitam » par « vie honnête » (p.219), alors que le contexte ne s’y prête pas, l’oracle voulant dire « bonne vie », dans le sens de la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare, le mauvais riche menant la bonne vie, qui l’a conduit en Enfer. Dans le contexte en effet, l’homme qui est décrit dans l’oracle, commençant par « Bonam vitam », est un antipape qui a démissionné, quitté sa fonction de roi-prêtre, comme Nabuchodonosor a dû abandonné sa fonction de roi, sous lequel s’est écoulé 7 ans (cet oracle porte sur l’antipape Ratzinger qui a démissionné après 7 ans de règne et quelques jours, mais n’a pas atteint 8 ans). On a à faire à un être abominable (qui a reçu « un cœur de bête ») mais qui à l’inverse de Nabuchodonosor qui s’est humilié devant Dieu, pour retrouver sa fonction de roi, s’est endurci toujours plus dans le péché « son cœur » après sa démission « sera changé par l’abomination ». C’est dit l’oracle quelqu’un d’hypocrite, « mu par l’envie », de « malins jugements », il fait partie des préposés de la ville qui ont jugé injustement, et qui « n’échappera pas au mauvais sort », car appelé à être jeté dans l’étang de feu avec la bête (Karol Wojtyla 666). Faire dire par conséquent, de ce dernier, le 7 ème rois de Rome dans Apo. XVII, qu’il est « revenu à une vie honnête », après sa démission, contredit le reste de l’oracle, c’est incontestablement, une mauvaise traduction de l’abbé Boulin, dû à une incompréhension de l’oracle, si grand latiniste a-t-il été.
Mais ici, hormis le fait qu’il renonce à traduire « et dans les hauteurs, il blasphémera » et tente de donner un sens à une partie du rébus en le rattachant à Ysathios, un ami de Dieu, alors que le rébus au contraire se rattache à la bête 666, il n’y a rien à redire à sa traduction. On a voulu changer un peu sa traduction, et puis on s’y est rangé, car pourquoi la changer, quand elle est très bien ? L’Abbé Boulin est un bon latiniste. A côté de ses compétences en latin, je suis tout petit, quoique je suis capable de discerner une bonne traduction d’une mauvaise, et de me concentrer pendant des heures sur un texte en latin et de nos jours on ne manque pas d’outils pour faire de bonnes traductions. Je connais cependant bien le grec ancien, qui on va le voir, va s’avérer indispensable pour comprendre l’oracle, alors que l’abbé Boulin écarte le grec de son champ de réflexion car si les oracles utilisent parfois le grec, l’ensemble reste du latin. J’ai un atout considérable sur l’abbé Boulin, c’est qu’à son époque, on n’avait pas accès à la littérature apocalyptique médiévale comme aujourd’hui, peu de travaux circulaient en France à son époque, et enfin, l’abbé Boulin n’a pas connu la révolution dans l’Eglise et les évènements apocalyptiques dans l’Eglise qui se déroulent actuellement sous nos yeux. C’est de plus un profane qui par définition n’entend rien à ce genre de littérature, et c’est un ignorant dans tout ce qui concerne la pensée au Moyen Age sur les derniers temps de la papauté, pour ne pas dire un âne en la matière, qui n’étudie pas assez les Saintes Ecritures, l’Apocalypse de Jésus-Christ étant pour lui le plus inutile de tous les livre pour comprendre l’oracle sur la lettre K, car il ne parle jamais dans Autour de la tiare des Saintes Ecritures, alors que les prophéties qu’il commente y font référence en permanence. Ce dernier écrivait des romans et des articles de journaux. Il a écrit un livre sur les prophéties au Moyen Age sur les derniers temps de la papauté, comme par accident, alors qu’il ne connaissait rien à cela, comme il le reconnait lui-même. Ne maitrisant pas ce sujet, il a donc écrit, des âneries, a fait des tas de contresens, mais c’est le premier à m’avoir transmis l’intégralité en latin de Génus nequam, où se trouve l’oracle sur la lettre K, avec une bonne traduction dans l’ensemble. C’est la raison pour laquelle, j’ai relancé la propagation de son livre en demandant en 1999 aux Editions DFT d’aider à sa diffusion.
Paradoxalement, on lui doit beaucoup, celui d’avoir rediffusé la version latine et complète de cette apocalypse du XIII ème siècle et d’en avoir donné une traduction française honorable, car partout ailleurs, les traductions, qu’on a pu rencontrer sont mauvaises, même celles faites en anglais. C’est lui, qui nous a donné l’envie d’étudier « Genus nequam », mais il nous a fallu pour cela, écarter tous ses commentaires qui se sont avérés avec le temps, injustes et ridicules, ce dernier n’ayant pas les compétences requises pour ce genre de sujet. Son livre « autour de la tiare » est en fait un ouvrage de subversion, qui au lieu de nous aider à comprendre les oracles médiévaux, qui sont de vraies prophéties sur notre époque, qui se sont réalisées et sont toujours en cours de réalisation, fait tout ce qu’il peut pour nous en détourner, mais d’un autre côté, ce mal, Dieu, l’a changé en bien, puisque j’ai pu intervenir publiquement pour tout corriger et que Genus Nequam dans son livre a nourri ma Foi. Dans son livre, il ignore que « Genus nequam » en fait s’appelle à l’origine « Principium Malorum » qui veut dire « le début des maux », ce nom d’origine sera retrouvé par les médiévistes de profession bien après sa mort soudaine, peu de temps après la rédaction de Autour de la tiare, où il crache tout autant sur Ascende Calve et la Prophétie attribuée à saint Malachie, deux autres apocalypses.
Hélène Millet en 2002-2004 dans son ouvrage les successeurs du pape aux ours, histoire d’un livre prophétique médiéval illustré fait référence à la version latine publiée par Regiselmo au XVI ème siècle, sans toutefois publier à l’intérieur les pages de cette édition, qui reste accessible sur internet. On parle d’elle maintenant, car elle est la seule en France, à avoir consacré un ouvrage entier (de 239 pages) sur « Genus nequam ». Elle fait référence à l’édition de Regiselmo du XVI ème siècle, pour dire qu’elle a traduit en français, « Principium malorum » d’où est tiré l’oracle sur la lettre K, en français à partir de la traduction italienne de Régiselmo, mais sa traduction française en annexe de fin de livre, n’est pas aussi bonne que celle de l’abbé boulin, elle lui est même inférieure. Elle ignore l’existence du livre autour de la tiare de 1931, qui fait référence à mon humble avis, pour la traduction française et même la version latine de Génus nequam. On a cru au bout d’un moment, que c’était Régiselmo qui traduisait mal, mais les erreurs de traductions, les altérations, et les omissions viennent bien d’Hélène Millet, elle-même, qui a beau être directeur de recherche en histoire médiévale au CNRS, n’est pas sérieuse de notre point de vue : pourquoi traduire les oracles à partir d’un italien du XVI ème siècle, quand on a le latin d’origine, les plus anciennes copies sous les yeux. Cela montre qu’elle est nulle en paléographie, pas bonne en latin, et pour une médiéviste de profession, elle nous a fait une très mauvaise impression. Rien que le titre de son livre, montre qu’elle va s’intéresser aux illustrations de Principium malorum, aux détriment du texte, qu’elle n’étudie pas du tout, ce qui nous montre son incompétence. Je crois ceux qui disent actuellement que les universités des lettres en France ne valent plus grand-chose.
Sa traduction est téléchargeable en Pdf gratuitement sur internet, il suffit de taper « les successeurs du pape aux ours, traduction des prophéties », pour trouver le lien et cliquer dessus. Elle mélange dans sa traduction « Ascende Calve » avec « Genus Nequam », alors qu’il s’agit de deux apocalypses différentes, écrites par des auteurs différents. L’oracle sur la lettre K ne se trouve que dans la 25 ème figure que si on compte à partir d’Ascende Calve, mais à partir de Genus nequam, c’est la dixième figure, sur quatorze figures. Elle n’a pas honte de dire que sa traduction en français part d’un texte italien, alors qu’il faut traduire du texte latin directement, et qu’elle a à sa disposition, les premières copies des oracles en latin qui ont existé avant la découverte de l’imprimerie. Elle n’a pas honte de dire que sa traduction dépasse l’entendement, et qu’elle a cherché à minimiser la part de charabia. Elle nous fait penser dans son livre à une petite fille qui ne sachant pas lire, commente les images d’un livre, car à aucun moment elle ne traite du texte des prophéties, mais que des images qui vont avec les oracles, et le plus souvent pour dire des imbécilités, car pour commenter les illustrations des oracles, encore faut-il avoir traité préalablement les textes de ces oracles. Elle met cette traduction à la fin de son livre, en annexe, d’une manière précipitée, mais le résultat est déplorable, car elle n’a même pas pris le soin de vérifier si sa traduction en français est en conformité avec les textes des copies médiévales en latin qu’elle a photographiés et publiés. Par exemple, elle traduit, lettre K par lettre R, alors que Regiselmo retient en premier lieu, « lettre K » et mentionne le R comme une variante due à une erreur de recopiage, alors qu’elle publie des photographies de l’oracle en question avec le K bien visible.
En fait, Hélène Millet, le dit elle-même, elle n’a que faire du texte proprement dit, elle veut seulement donner une idée de son obscurité. Il ne lui vient même pas à l’idée, que ces textes appartiennent à ce genre littéraire qu’est l’apocalypse, et que ce genre ne s’adresse pas à n’importe qui ou à tout le monde, mais à un petit nombre d’élus ou d’initiés, surtout pas à des personnes non catholiques comme elle, qui boivent au petit lait de la République juive, et qui sont ennemies de l’Eglise, même si Hélène Millet a le sentiment de respecter et de connaitre notre Religion. Pour ce genre de personnes, ces oracles sont radicalement fermés, leurs sens véritables demeurent inaccessibles et à jamais, tant qu’elles ne se convertiront pas et n’auront pas les dispositions requises pour les étudier :
« Avertissement », écrit Hélène Millet à la fin de son livre, puis elle poursuit : « Dans la version italienne de ce livre (les Vaticinia = Ascende Calve + Genus nequam), c'est la traduction de Regiselmo qui a été reproduite. Pour la version française, j'ai dû faire office de traducteur. Si la tâche n'est pas trop ardue pour les quinze premières prophéties (celles de Monte chauve!), elle dépasse souvent l'entendement pour les dernières, (celles provenant du Début des maux). Mais il fallait que le lecteur puisse se faire une idée de ce que sont les Prophéties. Aussi n'était-il pas question de violenter la grammaire pour gommer les non-sens, ou de puiser à une leçon des archétypes ignorée des lecteurs des Vaticinia, ou encore de se réfugier dans les facilités d'une écriture dépourvue de ponctuation. Les spécialistes, je l'espère, voudront bien ne pas me tenir rigueur de ne pas avoir suivi un manuscrit plutôt qu'un autre, non que je me sois référée à une quelconque ébauche d'édition critique (en l'occur-rence, la notion même d'édition critique me paraît totalement déplacée) mais pour minimiser la part du charabia. Les réminiscences scripturaires sont en italiques », puis Hélène Millet traduit les oracles, dont celui qui nous intéresse ici :
« Prophétie 25 : Malheur à toi, cité aux sept collines, quand la lettre R sera louée dans tes murailles, alors proche sera la chute. Et la destruction de tes puissants (1) et la justice de ceux qui jugent. Celui qui a ses doigts crochus (2), celui qui est la faux de la solitude (2), dans les hauteurs il blasphémera. Qui en ABPL finit et bb. (3) Ysachios abat la syncope, sang. (4) Jean Bonne grâce, Constantin du pauvre, toi qui considères les choses saintes et, les portant sur les épaules, pour que ta poussière ne soit pas en opprobre. Dans la barbe profonde il coupera justement et tu seras grandement critiqué. Et puis, le conseiller de mort (5) dont le nom est Jo ob. Le pouvoir. Il y aura l'unité. » (p.205-211).
(1) traduire « tuorum potentum », par « tes puissants » est correct aussi, mais le terme de « préposés », a notre préférence.
(2) Traduire « falcatos » par « crochus » est une mauvaise traduction :
FALCATUS, A, UM (adjectif)
1 siècle avant J.C. CICERO (Cicéron)
en forme de faux, (courbé, courbe) voir: faux
1 siècle avant J.C. TITUS LIVIUS (Tite Live)
Armé, muni d'une faux
(2) traduire « falx desertitudinis » par « faux de la solitude » semble meilleure que « faux de la dévastation », car dévastation, c’est « vastasio », mais l’idée est la même, car une faux qui dévaste tout, isole et rend seul.
(3) : « ABPL finit et bb » est une transformation de « q mal p l φou t 6616 ».
Le bb est une erreur de lecture ou 66 est pris pour bb.
Et le B, est le troisième 6, un b qui s’est transformé en B majuscule.
Le t avant 6616 se retrouve dans le « et »
p l se retrouve dans PL.
(4) la syncope est une perte de connaissance, brutale, réversible et de durée courte. C’est un temps d’épreuve abrégé (3,5 est le temps abrégé de 7, car coupé de moitié) ici provoqué par le blasphémateur. Ysathios viendra y mettre un terme et cela se passera dans le sang (« sanguinis » est dans le texte) J’aime bien cette traduction, car même si elle est lourde, elle a plus de sens, que l’on pourrait croire à première vue.
(5) le texte ici est altéré dans sa traduction. Il faut revenir aux versions latines « morte pontificis », mort du pontife. Il s’agit d’un guide qui est comme mort. « Conseiller de mort » est une traduction maladroite.
Ps : « Les spécialistes, je l'espère, voudront bien ne pas me tenir rigueur de ne pas avoir suivi un manuscrit plutôt qu'un autre ». Ma réponse : si justement, c’est un manque de professionnalisme car tous les manuscrits reprenant Principium Malorum, ne se valent pas : certains sont fidèles au texte d’origine, alors que d’autres au contraire, une infime minorité, s’en écartent un peu, reprennent des erreurs de copies, prennent une lettre à la place d’une autre, enlèvent un mot, remplace le rébus initial, par un autre plus accommodant, mais qui dénature le message initial. Par exemple, voici un recueil de prédictions datant de 1570 qui a un titre à rallonge de 14 lignes, commençant par « Pavli Principis De La Scala Et HVn, Marchionis Veronae & c. Domini », disponible sur internet (il suffit de taper son titre sur books.google.fr et cliquer sur le lien qui apparait) :
Ce vieux manuscrit de 1750 (MD LXX) rapporte une mauvaise version latine de l’oracle, où la lettre K fait place à la lettre R, qui est une erreur de recopiage, peut-être de frappe d’imprimerie. Et ici le rebus au milieu du texte a totalement disparu, et le sens de la phrase finale change complètement. Dans ce recueil de prédiction, on perçoit une volonté maligne de modifier le texte latin, pour lui faire dire des choses, que l’oracle n’a jamais voulu dire. D’ailleurs, celui qui rapporte ce texte, le commente à sa sauce, Jo. Obi est transformé par ce dernier, en Ca. Bo, pour dire que le personnage final est Carolus Borbonius. La subversion dans le domaine « prophétique » est un phénomène bien réel, mais Hélène Millet fait comme si cela n’existait pas. Voici, ce qu’on lit dans ce recueil de prophéties :
Vae tibi duitas septicollis, in qua R. litera laudatur. In moenibus tuis tuc appropinquabit castis, & destructio tuorum potentium & vindicantiumiustitia, quaehabet digitos tuos salcatos, est falx desertitudinis: & inaltissimis blasphemabut syncopa cadit sanguis Ihonnis bona gratia, Constantinus, pauper eris, Vide autem tu qui sancta consideras, & sancta ferens super humerum, nepuluis tuus fiat opprobrium. In barba profunda iuste incidet, &maxime vituperaberis. Item consiliarius mortis cuius nomen Ca. Bo.
On le voit la traduction en français d’Hélène Millet prétend suivre Regiselmo, mais sa traduction à elle dérape un peu, sort même des cadres fixés par Régiselmo, car on a consulté l’oracle tel que Régiselmo l’a publié. Et du coup, on se sent obligé de reproduire ci-dessous, en photographie, la version latine éditée par Régiselmo avec la traduction que ce prêtre a donnée, pour montrer que la traduction d’Hélène Millet, n’est pas très sérieuse. On n’accorde aucune fiabilité à sa traduction sans compter qu’elle n’apporte pas le texte italien qu’elle dit traduire, avec la version latine que le texte italien est sensé traduire, pour nous permettre de vérifier, ce qu’elle raconte. Elle mange des mots dans le texte de Regiselmo qui avec elle disparaissent complètement, et elle ne comprend même pas ce qu’elle écrit. A sa décharge cependant, on vient de voir cette mauvaise publication latine de 1570. Hélène Millet semble en reprendre des expressions, mais pas l’ensemble. Cela dit, elle ne cherche pas à reconstituer le texte d’origine, et à expliquer les variances qui peuvent exister dans les copies. Ce que veut dire le texte, lui importe peu. Hélène Millet est une profane qui ne comprend strictement rien à ce genre de littérature, et elle osera même écrire que ces prophéties « font désormais partie des curiosités reléguées au musée, et qu’en dehors des historiens, il n’y a plus qu’une corporation à leur trouver de l’intérêt, celle des vendeurs d’images » (p. 198), et bien, c’est ce que nous allons vérifier ! Si elle avait lu l’ouvrage de l’abbé Boulin publié en 1931 et le nôtre publié en 1999 « le pape martyr de la fin des temps » et l’usage que font les sédévacantistes de l’oracle sur la lettre K, elle se serait rendu compte, que cette prophétie intéresse encore « des fanatiques » dans l’Eglise ! Je suppose que pour cette judéo-bolchevique jacobine, que la chasuble, l’ostensoir, etc. tout ce qui appartient à la sainte Eglise, fait désormais partie des curiosités reléguées au musée ! Le pire, c’est qu’elle ne dit pas ça méchamment, n’a pas conscience d’agresser la conscience catholique. Elle poursuivra « les Vaticinia (entendre Génus nequam avec Ascende Calve) appartiennent désormais à un autre âge. Il n’y a plus entre elles et nous cette connivence qui permet de les déchiffrer. Lorsqu’on les utilise, grand est désormais le risque de s’égarer, et je ne prétends pas été avoir été à l’abri de toute divagation. » (p.199), il n’y a pas de connivence entre les Vaticinia et Hélène Millet, et la plupart de ses contemporains, parce que Hélène Millet n’a pas la vraie Foi catholique, et que c’est actuellement la grande Apostasie, la connivence ne vaut qu’avec ceux qui ont maintenu la vraie Foi, eux seuls sont invités à étudier l’oracle, pas les impies !
Il est intéressant de voir que Hélène Millet impute la mise au tombeau des Vaticinia, dans l’église officielle romaine, au règne de Jean XIII et à la révolution dans l’Eglise (p.203), et là, elle n’a pas tout à fait tort. Ce n’est pas dans l’intérêt des forces sataniques infiltrés dans l’Eglise, d’attirer l’attention sur les Vaticinia, car les Vaticinia expliquent clairement comment la citadelle sainte qu’est l’Eglise officielle romaine, sera investie totalement par les ennemis de l’Eglise, des pieds, jusqu’à la tête, le siège de Pierre occupé par la Synagogue de Satan, des membres du judaïsme haineux qui veulent en découdre une bonne fois pour toute avec la véritable Eglise catholique.
On réglera nos comptes avec son mauvais livre plus tard, pour le moment, permettons à nos lecteurs de voir le texte en latin de l’oracle sur la lettre K. dans l’Edition de Regiselmo qui sert de référence à Hélène Millet. Ce prêtre de Venise, met en notes, des variantes dans les copies de l’oracle. Par exemple, il met en première ligne, au sujet de la lettre K, un R dans la marge, parce qu’un copiste a confondu en recopiant l’oracle, le K avec le R. Et ensuite en dessous, il donne sa traduction :
Cette photographie de l’oracle est tirée de l’édition de Regiselmo :
https://purl.pt/28558/1/index.html#/84-85/html
Tout cela nous a conduit à examiner à la loupe, toutes les copies de l’oracle qui se sont succéder au Moyen Age, et c’est bien un K et pas un R, qui s’y trouve, mais on comprend que cette confusion puisse avoir lieu dans la précipitation, le dessein de ces deux lettres se ressemblent beaucoup trop. Il y a bien sûr des exceptions, car ce type d’erreur est relativement courante, surtout dans les reproductions les plus tardives. On expliquera pourquoi, il ne peut pas en être autrement, c’est élémentaire ! En plus Régiselmo dit bien que c’est un K, on ne comprend pas bien dans ces conditions pourquoi Héléne Millet dans sa traduction met un R., parle de « lettre R ». Traduire « tuorum potentum » ( « tes préposés », dans la traduction de Boulin ) par « tes puissants », les puissants, les hommes influents de la ville, ne constitue pas en soi un problème de traduction, car les préposés en question sont ceux qui ont en charge la ville, ce sont les hommes influents de la ville, donc ceux qui la dirigent, qui sont au-dessus de la pyramide hiérarchique de la ville, la ville étant on le verra la Fausse Eglise, il s’agit de ceux qui sont au sommet, évêques et cardinaux de cette Eglise maudite. C’est bien l’idée du texte. Mais traduire, « judicantium injustitiam » (qui jugent injustement) par « la justice de ceux qui jugent », est une mauvaise traduction, pas insurmontable toutefois car on comprend que ceux qui jugent rendent mal la justice parce qu’ils seront détruits au final. Ensuite « falcatos » veut dire armé, muni d’une faux, et traduire ce mot par crochus, avec l’idée de courbe, c’est être un mauvais latiniste, à mon humble avis. Comme je suis parvenu à décoder l’oracle, à partir d’une copie datant de l’époque de sa rédaction, il me sera facile de prouver les erreurs de traductions d’Héléne Millet. En effet, la lettre K permet de décoder le rebus à l’intérieur de l’oracle, de tel sorte qu’il est certain, qu’il ne s’agit pas d’un R., mais bien d’un K. On n’a tenu à évoquer les écrits d’Hélène Millet, pour montrer que tout n’est pas aussi simple, que le croit le profane, et que restituer l’oracle même dans sa version latine d’origine demande une grande érudition. Des sédévacantistes s’appuient sur la lettre K, pour dire regardez c’est Karol, c’est bien l’antipape Karol Wojtyla, qui est loué dans les murs de Rome, seulement voilà, il suffirait de leur mettre sous les yeux une version latine du XVI ème siècle, qui met le R à la place du K, pour les faire taire et je ne sais pas si tous, auraient la présence d’esprit d’enquêter comme nous l’avons fait, pour soutenir que le R est une erreur d’interprétation du K.
Enfin, passons au plus intéressant. Voici maintenant, une photographie couleur de l’oracle sur la lettre K, l’une des plus anciennes copies. Il est possible qu’il s’agisse de l’original, pour toute sortes de raisons, liées à la paléographie. Disons, que le décodage avec ce texte-là est parfait, ce qui tend à indiquer que s’il ne s’agit pas de l’original, la copie ici doit être certainement conforme à son contenu en tous points. De toutes les copies existantes de par le monde, sur lesquels j’ai commencé à travailler, celle-ci a ma préférence, et il semblerait que cet avis soit partagé par de nombreux médiévistes de profession, y compris Héléne Millet, qui dans son livre, publie (p.13-42) intégralement en photographie chaque page de cette copie de « Génus Nequam » faite à la main au début du XIV ème siècle, voir fin XIII ème siècle. Malheureusement Hélène Millet ne semble pas considérer l’importance de la couleur, et a fait des photographies en noir et blanc du manuscrit ce qui gêne la compréhension des illustrations, car les couleurs obéissent à des codes de lecture, sont un langage à décoder comme pour les armoiries. (Il s’agit du manuscrit Arundel 117).
Aucun de ces historiens n’est parvenu à décrypter le sens caché ou réel, la signification profonde de ce texte, à ma connaissance. La presque totalité des chercheurs y ont renoncé, ce qui est compréhensible, car ce genre de littérature n’a pas été écrite pour eux, mais pour une élite dans la véritable Eglise catholique. C’est suite à mon pèlerinage à Rome en juillet 2020 avec P. et A. que j’ai tout découvert, et c’est justement en lisant en grec le verset 18 du chapitre XIII de l’Apocalypse de Jésus-Christ mais dans un vieux manuscrit au plus près de ce qu’a écrit saint Jean exactement, que les écailles de mes yeux sont tombées. J’ai fait soudainement la corrélation avec l’oracle sur la lettre K, une première lumière a jailli, puis deux, puis trois et ainsi de suite, comme des dominos tombant les uns sur les autres, les obstacles qui m’empêchaient de comprendre l’oracle dans sa totalité, sont enfin tombés jusqu’au dernier ! Eurêka ! Après 20 ans de recherches, il était temps !
Image du manuscrit Arundel 117, v.147 v, de la british Library de Londres.
Voici, la reproduction photographique couleur d’une des plus anciennes copies de Principium malorum, qui a pour incipit (qui commence par les mots) Genus nequam, à la page précisément qui contient le plus ancien oracle du Moyen Age, annonçant l’Antipape Karol Wojtyla, en débutant par ces mots : « Vae tibi civitas septem collia quando K litera laudabitur in maenibus tuis », qui veut dire « Malheur à toi, ville aux sept collines, quand la lettre K sera louée dans tes murs. »
Pour commenter cette photographie et en particulier son texte, aider nos lecteurs à déchiffrer les mots en latin, il faudrait faire ici un petit cours de paléographie. Ce serait trop long. Disons seulement, que si l’écriture est difficile à lire même pour un latiniste, c’est dû au fait, que l’orthographe, les dessins des lettres ont évolué avec le temps, le latin ne s’écrivait pas à la fin du XIII ème siècle, comme on écrit le latin aujourd’hui ou au XVI ème siècle ! Par exemple dans la photographie à la place de « septem collia », on en a « Septicoll » qui est la forme contractée de « septem colli », mais cela veut dire la même chose : 7 collines. Là ici, on a manifestement l’une des plus anciennes copies de l’oracle. Si je montre cette photographie ici, c’est pour que nos lecteurs portent leur attention sur la fin de la troisième ligne du texte qui dit « q mal p l φou t 6616. » (alors que dans l’édition de Régiselmo vous avez à la place Q.V.R.G. Ei in C.V : il faudra expliquer cette transformation). J’espère que tout le monde peut constater dans la photographie que je viens de livrer, la présence de ce texte bizarre, car si le profane fuit absolument ce genre de texte, l’initié en revanche, a un attrait particulier pour ce genre de texte, qu’on appelle un rébus.
Même les médiévistes de profession évitent de parler de ça, parce qu’ils n’y connaissent rien dans l’ensemble. Certains comme Matha H. Flemming se contentent seulement de répertorier les variations rencontrées à ce sujet dans les copies de l’oracle en question qui se sont effectuées aux cours des siècles. Moi, j’aime bien solutionner des énigmes et plus, ça parait difficile et plus je me régale. Une personne ordinaire en revanche face à un texte comme ça fuit en courant. Vous l’ennuyez avec ce genre de sujet, soit parce qu’elle n’en saisit pas les enjeux et se sent elle-même impuissante à comprendre quoi que ce soit ici, soit parce qu’elle n’a pas la vraie Foi, et que tout ce qui se rapporte aux choses de Dieu et de l’Eglise, ne l’intéressent pas, ou pour toutes ces raisons à la fois : un article comme celui-ci, la rendrait malade, si elle était contrainte à le suivre. Ce n’est pas n’importe qui dans l’Eglise, qui peut se livrer à ce genre d’études. Généralement, cette tâche est confiée à des médiévistes de profession, le plus souvent qui n’ont pas la vraie Foi catholique, mais en réalité, on a affaire ici à une apocalypse qui ne s’adresse qu’à de vrais catholiques ou serviteurs de N.S. Jésus-Christ, dont la vocation dans l’Eglise est de s’occuper de ce genre de texte. Les non catholiques auront beau faire des années d’études, être plein de diplômes, cela est insuffisant pour s’élever au sens réel d’une apocalypse inspirée par Dieu, qui par définition est radicalement fermée aux incroyants, aux hérétiques.
Certains peut-être rigolent stupidement lorsque je me présente comme un expert dans ce genre de littérature, parce qu’ils trouvent qu’en disant cela, je me vante trop, que je suis orgueilleux, moi qui en effet, ne suis qu’un pauvre manœuvre dans le carrelage (plus pour longtemps !). Mais un professeur d’université comme Jean Paul Sénac, Professeur émérite faculté de Médecine, imagerie médicale, membre Soc. d'archéologie de Montpellier, élu à l'Académie (des sciences ) en 2009 peut attester mes compétences dans ce domaine, car je l’ai aidé en 2009 dans ses travaux sur Arnauld de Villeneuve, médecin et commentateur de prédictions mort au début du XIV ème siècle. C’est moi, qui lui fournissait la documentation qu’il n’arrivait pas à avoir, les textes d’origine d’Arnauld de Villeneuve et qui lui expliquait des choses à l’intérieur, que personne n’arrivait à lui expliquer sur cet auteur, et il me tenait de loin pour le plus savant dans ce domaine, des personnes qu’il avait rencontrées pour ses recherches. Il m’invita à son intronisation à l’Académie des Sciences, et le président à l’époque de cette Académie, était Madame Courtes, qui a dirigé ma maitrise sur saint Thomas d’Aquin en 1987. Pour ma part, je ne me considère pas comme un savant, mais c’est vrai que je maitrise ici mon sujet, mieux que personne. Je pense que cela se voit, rien que par les photographies que je commente, les auteurs que je cite, ce qui dénote un gout certain pour le travail de précision, et montre que je suis allé plus loin que tout le monde.
Je ne demande pas cependant qu’on me fasse confiance – il ne faut faire confiance à personne dans ce genre de recherche – je demande seulement à être compris : à nos lecteurs de juger si je suis parvenu à ouvrir le sceau de l’oracle, et à tout décoder lorsqu’on sera arrivé au terme de la troisième partie de mon étude. Pour le moment, on ne va pas résoudre les énigmes, car avant cela, il convient de les poser comme elles se présentent dans l’oracle, et avant de poser les énigmes, il convient d’interroger le texte avec simplicité et perspicacité, pour ensuite mieux rebondir dans la réflexion. On se livrera ici à un travail de fond, où l’amateurisme et l’improvisation n’ont pas leur place. On ne s’improvise pas commentateur de l’oracle sur la lettre K. Cela demande d’avoir été formé préalablement à ce genre de littérature dans et par l’Eglise. C’est comme pour l’Apocalypse de Jésus-Christ.
Première Partie :
Interroger tout le texte. Il convient de se méfier des passages qui paraissent faciles à comprendre, mais ne le sont pas, et ne pas craindre les passages qui paraissent trop difficiles à comprendre, mais qui en réalité sont des éclairages. Il faut s’interroger sur tout, chaque expression, chaque idée, et pas toujours d’une manière linéaire, mais parfois savoir reconnaitre des ponts entre des passages, savoir revenir en arrière le cas échéant, ou faire des bonds en avant dans le texte, sans rien omettre au bout du compte, et rechercher les vraies difficultés, au lieu de les fuir. C’est un exercice éprouvant en soi, car il faut avoir le courage de dire tout ce que l’on ne comprend pas après plusieurs lectures à répétition, à savoir pratiquement la totalité du texte. Mais ce n’est pas l’exercice le plus difficile. Cela exige seulement une certaine honnêteté intellectuelle, de la lucidité face aux obstacles qui se dressent, et surtout de la ténacité, ne jamais se tenir vaincu par l’obscurité du texte.
Les questions que l’on va poser sur le texte, sont parfois de fausses questions, c’est-à-dire des questions qui contiennent à l’intérieur leur réponse. Ce sont des questions, qui font état d’un certain savoir, jamais très assuré, car pour s’assurer de la pertinence de ce savoir, il faut suivre la piste que propose les questions pour résoudre les énigmes du texte, et encore, on est certain que personne n’arrivera à comprendre en profondeur l’oracle, avec les données de cette première analyse. Mais parfois, on posera à partir du texte, de véritable questions, où on n’a rien comme réponse pour le moment à y mettre, où on laisse volontairement le lecteur dans l’embarras, pour qu’il réalise ce qui lui manque pour tout comprendre, et s’arrête là où les difficultés du texte sont les plus grandes. Le point doit être fait, sur tout ce que l’on ne sait pas, sans se mentir. C’est plus important de mesurer notre ignorance, que de mesurer ce que l’on croit savoir, qui à tout moment, peut être remis en question, parce que l’on ne sait jamais au final ce que l’on va trouver, tant qu’on a pas trouvé la clé qui va permettre de comprendre l’intégralité du texte. La recherche de ce qui nous pose problème doit être fait sur la totalité de l’oracle, c’est-à-dire, qu’il faut passer au crible, les passages qui nous incommodent le plus, car c’est précisément ceux-là, qu’il faudra travailler en priorité. Ces passages sont notre point faible, et donc il faut les travailler en nous concentrant dessus au maximum, pour qu’ils deviennent notre point fort. Si on n’arrive pas à percer les passages qui nous paraissent difficiles, c’est parce qu’on a sauté des étapes, en sous-estimant des passages que l’on croyait facile à comprendre et qu’on est passé à côté d’indices sans les voir, indices qui nous nous manqués pour comprendre la suite du texte.
En revanche, le profane par définition s’arrête à la première phrase en faisant croire qu’il en comprend quelque chose d’important, alors qu’il n’y comprend strictement rien. Il cache délibérément le reste du texte qui lui apparait comme du charabia, pour masquer son ignorance totale, le vide de ses commentaires. Il se tient déjà pour battu face aux autres choses qui l’effraient, en raison de l’inconnu qu’elles contiennent, pas question pour lui de dépasser la première ligne, et généralement le profane n’arrive même pas au bout de la première phrase, qui est pour lui, comme le bout du monde connu. Il veut seulement faire croire qu’il a au moins une prise sur la première phrase, mais ce n’est pas vrai, car s’il en avait une, il devrait logiquement accrocher au reste du texte, qui permet de comprendre la première phrase. Le profane se ment à lui-même et ment à ses lecteurs, lorsqu’il se donne l’illusion qu’il a une maitrise sur le texte. Ce qu’il croit tenir lui échappe complétement en réalité. Le texte lui est totalement fermé, avec incapacité pour lui, de pouvoir y entrer. Interroger le texte, ce n’est pas le torturer pour lui faire dire des choses qu’il ne dit pas, c’est se concentrer sur lui, le prendre au sérieux, en ayant envers lui un regard bienveillant, en estimant qu’il a des choses à nous apprendre des Saintes Ecritures, qui ont totalement échappées à notre attention. C’est accepter de prendre comme compagnon de route l’auteur de l’oracle, pour qu’il nous explique ce qu’il a compris des Saintes Ecritures. C’est trouver l’énergie nécessaire pour ensuite localiser et cerner les grandes énigmes du texte, voir comment leur mécanisme interne fonctionne, tant il est vrai qu’une énigme est pire qu’un coffre-fort, ou une machine à décoder, car on ne peut jamais la violenter, la torturer, ou la violer, pour qu’elle livre ses secrets.
Le profane s’imagine qu’en torturant un peu sens du texte, du genre dire « la ville au sept collines », c’est comme dire « Rome », dire « louer la lettre K », comme dire « louer un nom qui commence par K », qu’il va pouvoir entrer à l’intérieur, alors qu’en agissant ainsi, il s’interdit bien plutôt d’entrer dans le texte, en acceptant pas finalement les expressions utilisées et en voulant imposer ses expressions à lui. Le profane ressemble à un perceur de coffre-fort, mais qui n’arrive pas à percer, et qui ose vous dire ensuite, qu’il a ouvert le coffre, et qu’il a trouvé à l’intérieur, ce qu’il vous montre, alors que ce n’est pas vrai. Le profane est un charlatan, qui ne manipule en fait que ceux qui aiment être trompés spirituellement par lui, et qui se ment à lui-même avant de mentir aux autres. Ce qu’il dit avoir trouvé, il ne l’a pas sorti de l’oracle ou du coffre-fort inviolable qu’est l’oracle, mais il l’a sorti de sa propre poche, c’est-à-dire, que l’oracle ne lui a rien appris, que ce qu’il ne savait déjà, à savoir par exemple, qu’il y a eu un homme Karol Wojtyla loué dans les murs de Rome, dont la louange attire la malédiction de Dieu, parce que ce dernier est un imposteur, un antipape. Or précisément l’oracle entend apprendre des choses à celui qui s’en montrera digne, c’est-à-dire à l’humble qui s’abaissera devant chaque passage pour avouer ce qu’il n’a pas compris à l’intérieur, et non pas à l’orgueilleux qui veut remplacer les expressions de l’oracle à sa guise et qui dit, je vois, alors qu’il ne voit rien !
Pour comprendre l’oracle, ouvrir son sceau, on est obligé de respecter son mode d’ouverture, de se plier à lui, de suivre ses indications. Plus le texte est abscons, difficile à décrypter, et plus cela signifie, qu’il a des trésors d’une valeur inestimable à nous livrer, mais encore faut-il se donner la peine de le suivre jusqu’au bout, sans jamais se décourager et dans ce moment de totale solitude face à ces énigmes qui paraissent si compliquées mais ne le sont pas, que personne ne peut résoudre à notre place, demander l’aide du Saint Esprit. Puisque par Notre baptême, on a l’assurance de l’appui du Saint Esprit, pourquoi, ne pas rechercher les vrais problèmes posés par l’oracle, au lieu de les fuir comme le font tous les gens, et les soumettre au Saint Esprit, pour qu’il nous aide à les surmonter. Ne rien prendre pour évident, se montrer curieux là où personne va habituellement, prendre la direction opposée à celle que prend le profane, qui ne veut faire aucun effort pour décrypter le texte, c’est-à-dire avoir le goût de l’effort, de la recherche, lire l’oracle en ayant à l’esprit en permanence les Saintes Ecritures et la doctrine de l’Eglise, prier le Saint Esprit pour être guidé dans les choses de Dieu, se mettre dans les vertus les plus chères à Notre Dame, pour obtenir les dispositions requises pour comprendre une telle Prophétie, ( Prophétie avec un grand « P » car derrière l’oracle se tient les paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ ), tel sont les premiers conseils à donner aux tout petits, pour commencer :
Et si derrière l’oracle sur la lettre K, se tenait N.S. Jésus-Christ ? N’est-ce pas la volonté de l’auteur de l’oracle de s’effacer pour laisser parler N.S. Jésus-Christ ? Qu’a-t-il trouvé dans les Paroles de Dieu, de grand à nous transmettre, qui vaille la peine de les cacher aux méchants dans un langage abscons, pour mieux en révéler le sens aux humbles ou aux petits ?
« Malheur à toi » : d’où vient cette expression dans la Bible ? Si cette expression s’applique dans le nouveau Testament à Chorazin et à Bethsaïda (Matthieu XI 21Malheur à toi, Chorazin! malheur à toi, Bethsaïda! ) , et dans l’Ancien Testament, à Jérusalem ( Jérémie XIII 27J'ai vu tes adultères et tes hennissements, Tes criminelles prostitutions sur les collines et dans les champs, J'ai vu tes abominations. Malheur à toi, Jérusalem! Ezéchiel XVI 23Après toutes tes méchantes actions, -malheur, malheur à toi! dit le Seigneur, l'Eternel ), pourquoi l’appliquer à présent à la ville aux sept collines ? Cette expression est en usage dans la Bible, pour dénoncer le refus du repentir et l’Apostasie, mais dans le contexte de l’oracle, cette malédiction est prononcée à la suite d’une simple louange dans cette ville, la louange d’une lettre particulière le K : est-ce à dire que louer cette lettre, revient à un refus du repentir et à un acte d’Apostasie extrême ? Si oui, pourquoi ? « Louanger la lettre K », cela ne reviendrait-il pas à louanger, faire les éloges, d’un faux christ à la place du vrai Christ ? Encenser, exalter, glorifier, louer, magnifier un antéchrist ? Quel genre d’antéchrist ou de faux christ ? Un antipape ? Mieux encore, est-ce que cette expression « Malheur à toi » qui est liée à la louange de la lettre K, n’est-elle pas liée à l’expression également « mal jugé » ou « jugé injustement », une prise de décision inique qui attirerait sur la ville et ses habitants, la malédiction de Dieu ? De quelle décision ou mauvais jugement s’agirait-il ? Et si on va plus loin dans le texte, est-ce que cette expression a un rapport avec le blasphémateur sur les hauteurs, faux de la dévastation, qui ressemble à la mort tenant dans ses mains une faucille ? Un rapport avec celui qui ose toucher les choses saintes et les porter, alors qu’il est indigne, que cela devrait lui être interdit ? Un rapport avec celui qui sera blâmé pour avoir machiné la mort d’un pontife ? Cette expression a-t-elle un rapport avec le nombre 666, qui figure dans « q mal p l φou t 6616 », qui est le nombre de la première bête dans Apocalypse XIII ?
Cette simple expression « Malheur à toi » ne nous indique-t-elle pas une direction à suivre, pour comprendre l’ensemble du texte ? Le profane par définition, partisan du moindre effort, ne se pose pas ces questions. Et qui s’est arrêté sur l’expression « Malheur à toi » pour en saisir ici la présence ? Personne. Il faut bien cependant que cet oracle soit expliqué dans l’Eglise, et si je ne le fais pas, qui le fera ? Ah, Seigneur, pourquoi m’avez-vous choisi pour cette tâche ?
« La ville aux sept collines » : pourquoi cette expression et ne pas dire tout simplement Rome ? Ne serait-ce pas une référence à plusieurs versets de l’Apocalypse et si oui, lesquels et pour dire quoi ? Quelle est la femme assise sur 7 sept collines et peut-on dire aussi qu’elle est une ville, puisque son nom est celui de Babylone la Grande, le nom de la ville du roi de Nabuchodonosor ? Si cette femme qui porte le nom d’une ville, désigne la fausse Eglise des derniers temps, bien plus que la ville de Rome, comme la capitale de l’Italie, fausse Eglise qui a son siège au Vatican, dans la ville de Rome, quelles répercutions, cela va-t-il y avoir dans l’interprétation à donner avec le reste du texte de l’oracle ? Cela ne va-t-il pas déterminer le sens de l’expression « tes préposés » à toi, oh ville aux sept collines ? Ces préposés ne vont-ils pas être, ceux qui ont pour charge la contrefaçon de l’Eglise catholique, les ennemis de l’Eglise dirigeant le Vatican, lors de la grande Apostasie ? Quelle répercussion cela aurait dans l’expression de la phrase suivante « dans les hauteurs, il blasphémera » ? En effet, l’expression « sept collines » ne renvoie-t-elle pas à l’expression « dans les hauteurs » ? Ne s’agit-il pas des hauteurs de la ville aux sept collines ? Et si c’est le cas, celui qui blasphème sur les hauteurs de cette ville, n’est-il pas nécessairement un antipape au sommet de la fausse et contre Eglise des derniers temps ? C’est là autant de questions que ne se pose pas le profane dont l’intelligence a été atrophiée ou lobotomisée, retirée, par définition incapable de comprendre quoique ce soit de l’oracle, lorsqu’il commente la première phrase de l’oracle, même s’il prétend à tort avoir saisi de l’oracle quelque chose d’intéressant, alors qu’en vérité, ce qu’il a saisi est sans aucun intérêt, vide de toutes connaissances véritables, et sert le plus souvent la subversion dans le domaine prophétique.
« La lettre K » : pourquoi une lettre et pourquoi cette lettre ? Que disent les dictionnaires d’abréviations latines au sujet de la lettre K, et existait-il au Moyen Age, ce genre de dictionnaires rapportant les expressions abrégées de la langue latine, qui aurait pu servir de référent pour l’auteur de l’oracle ? Si l’expression « ville aux sept collines » fait référence à l’Apocalypse de Jésus-Christ et à d’autres livres de la Bible, car l’Apocalypse communique avec l’Ancien et le Nouveau Testament, pourquoi l’expression « lettre K » ne serait-elle pas également tirée de l’Apocalypse rapportée par saint Jean, et si oui, dans quel verset ? Et si effectivement il s’agit de la référence d’un verset biblique précis, c’est pour parler de qui ou de quoi ? Si la lettre K est le début d’un nom, quel passage de l’Apocalypse parle d’une manière obscure du nom d’un homme, et n’y aurait-il pas un lien unissant ce passage de la Bible à la lettre K ? La lettre K renvoie-t-elle à un nombre et si oui lequel ? C’est intéressant de le savoir car à un moment donné, les exégètes pour expliquer un passage de l’Apocalypse en sont réduits misérablement à donner à des lettres leur nombre. Si cela renvoie donc à un nombre et pas seulement à un nom, mais au nombre d’un nom, cela ne vous rappelle rien dans l’apocalypse de Jésus-Christ, « le nombre d’un nom » ? Et qu’est-ce que tout cela veut dire dans l’oracle, et quel impact cette découverte aurait dans le reste de l’oracle ? En effet, on voit dans l’oracle un rébus contenant des abréviations de mots et des nombres, on peut se demander en effet, si le nombre de la lettre K ne serait pas une clé pour décrypter le rebus. Il ne manquerait plus que le décryptage du rébus donne avec cette clé, Karol Wojtyla, l’antipape Jean Paul II, et là il faudrait une chaise pour s’asseoir ou une autre main que la sienne pour tenir ce qu’on lit ! Les répercutions que cela aurait dans l’interprétation de versets bibliques demeurés à ce jour obscures dans l’Eglise serait gigantesques, insoupçonnées, car l’auteur de l’oracle entend bien partir de l’Apocalypse de Jésus-Christ ou des Saintes Ecritures. Il ne parle pas d’autre chose, bien qu’il puisse donner la sensation inverse au profane, qui ne soupçonne pas l’étendue des références bibliques dans l’oracle, parce que le profane par définition n’entend rien à ce genre littéraire qu’est l’Apocalypse et à toutes les choses de Dieu auxquelles il n’a pas accès.
Si on ne voit pas la lettre K dans une traduction française de l’Apocalypse, ne faudrait-il pas se référer à la vulgate, ou mieux encore au texte grec d’origine utilisé par saint Jean pour écrire l’Apocalypse de Jésus-Christ ? En effet, l’oracle utilise une lettre grecque, le phi φ et un nom grec Ysathios qui peut s’écrire aussi isathios, ou isatios : peu importe l’écriture du mot, puisqu’il s’agit ici de la retranscription du mot grec dans sa sonorité, tel qu’il se lit, à partir de l’alphabet latin. Le profane qui dit K, c’est Kennedy le président américain assassiné à Dallas ou Khrouchtchev le président du conseil des ministres de l’Urss au début des années 60, position que l’on voit apparaitre dans un commentaire de l’oracle sur la lettre dans un ouvrage publié aux nouvelles Editions latines, rédigé avant l’assassinat de Kennedy, par définition ne se pose pas de questions sur la lettre K. Il a des yeux mais ne voit pas, ne se sert pas de son intelligence, comme si cette intelligence lui avait été retirée, et du temps du règne de Karol Wojtyla ou après le règne de ce dernier, il recommencera à faire ce qu’il avait fait avec Kennedy ou Khrouchtchev, avec cette fois le nom de Karol Wojtyla. Si désormais, le nom d’un antipape est plus approprié, le profane ne cherche pas à légitimer cette interprétation par le sens littéral de l’oracle ou le texte de l’oracle, qui ne lui sert donc à rien. Il ne démontre rien, il suggère avec les lumières de la Foi, mais les lumières de la Foi ne lui sont par définition d’aucun secours pour expliquer l’oracle. Il reste un âne lorsque ses yeux se posent sur l’oracle, et d’un âne, on ne fait pas un cheval de course !
« Louanger la lettre K » : qu’est-ce que ça veut dire ? Pourquoi ça attire le malheur sur la ville ? Ne serait-ce pas ici la manifestation d’un acte d’Apostasie terrifiant et si oui, lequel ? Le profane en disant K, c’est Khrouchtchev loué dans la ville de Rome, a imaginé, une victoire du communisme en Italie ou dans l’Eglise, comme si louer Khrouchtchev, revenait à louer son idéologie et il a imaginé tout cela en déconnexion avec les Saintes Ecritures parce que même s’il croit savoir ce que c’est qu’une apocalypse, il ne sait pas ce que sait, ignore que l’oracle en question est rédigé dans ce genre littéraire, et combien même le lui dirait-on, comme il n’entend rien dans ce domaine, cela ne lui servirait à rien de l’apprendre. Le profane perçoit que cet acte attire la malédiction de Dieu, mais ne saisit pas ce que c’est que cet acte. Il faut que le profane soit demeuré encore dans la véritable Eglise catholique, pour faire le rapport avec la pseudo-béatification ou canonisation de Wojtyla, mais il ne parvient pas à se concentrer sur le sens littéral de l’oracle, qui lui échappe complètement, par définition, puisque c’est un profane. Il lui faudrait prouver que c’est ce que veut dire l’auteur de l’oracle, or ce que veut dire l’auteur de l’oracle, lui est fermé, parce que c’est un profane, n’a pas été formé à cette manière de s’exprimer. Il faut donc interroger le texte de l’oracle : Pourquoi cette acte serait gravissime aux yeux de Dieu ? Quelle conséquence cela aurait-il pour le salut des âmes ? Qu’est-ce que cet acte dans le texte va entrainer comme ruine et chute ? La ruine et la chute de qui, des chefs religieux de Rome, préposés de la ville aux sept collines, ou de toute l’Eglise officielle romaine apostate, de tous ses habitants ? Et pourquoi ce châtiment est à rattacher avec la louange de la lettre K ? N’y aurait-il pas ici un rapport étroit entre « louer la lettre K » et « adorer l’image de la bête » dans Apocalypse XIII ? Si ça veut dire la même chose, pourquoi n’avoir pas dit à la place de « louer la lettre K » : « Malheur à toi, ville aux sept collines, lorsque l’image de la bête sera adorée dans tes murs ? » Cette expression « louer la lettre » n’a aucun sens, même en précisant qu’il s’agit du K. Pourquoi l’oracle ne dit pas : « Malheur à toi, ville aux sept collines, lorsque le nom qui commence par K sera louangé dans tes murs » ? Pourquoi cette histoire de lettre K ? Un rapport avec le K de Karol dans le nom propre de l’antipape Wojtyla ? Mais pourquoi dans ce cas, se référer au nom de son baptême, au lieu de son nom d’antipape ? Pourquoi, n’avoir pas fait référence au nom latin de « Jean Paul deux » : Joannes Paulus secundus ? L’auteur de l’oracle va -t-il plus loin faire référence au nom d’usurpateur que s’est donné l’antipape en question ? Traiterait-il de son nom propre et de son nom de roi ? Ou seulement de son nom propre ? de son prénom et pas de son nom de famille ? C’est bizarre ne trouvez-vous pas cette expression « lettre K » ? Faut-il y voir un clin d’œil avec le nom de Karol et 666 ? Si oui, d’où remonte cette corrélation entre 666 et Karol ou Carol et pourquoi ? – voir image « 666 carol ».
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« Louez la lettre K ! » Absurde ! On ne loue pas une lettre, ça ne veut rien dire, mais alors pourquoi cette histoire de lettre K ? Un rapport avec le K de Karol ?
« Tes préposés » : les préposés de la ville, mais c’est qui ? Un collège, une assemblée ? C’est quoi un préposé ici pour l’auteur de l’oracle ? Pourquoi, il y en a plusieurs ? S’agit-il d’une référence aux membres du sanhédrin qui ont jugé si injustement, lors du procès de N.S. Jésus-Christ ? Si oui, pourquoi ? Un dictionnaire est le plus inutile de tous les livres pour comprendre le sens d’une apocalypse, on peut être certain, si on retient ce que dit le dictionnaire français, d’être à côté de la plaque, dans l’interprétation des expressions propre au langage apocalyptique, mais bon, « préposés » est une traduction en français, et peut être faudrait –il penser de se référer au texte latin, mais on risque fort de se trouver au même point car la traduction hélas est bonne. Pourquoi, il n’est pas fait mention directement aux prêtres, pourquoi voiler leur fonction sacerdotale ? Parce que l’auteur de l’oracle estime qu’ils n’ont rien du sacerdoce ou de la prêtrise, si ce n’est l’apparence ? A quoi fait référence ici, l’auteur de l’oracle dans la Bible ?
« Préposé » peut renvoyer à un poste de garde, de surveillance, or justement surveillant est le sens étymologique de évêques, le côté subalterne peut renvoyer au fait qu’ils font profession de servir Jésus-Christ. Ils ont pour charge non seulement les lieux saints de Rome, mais toute l’église officielle romaine. D’accord, mais peut-on donner des noms à tous ces préposés si l’oracle sur la lettre K est ici réalisé ? Et c’est qui ? Cet évènement se déroule en quelle année, c’est quand que les préposés ont mal jugé en poussant les habitants de la ville au 7 collines à louer la lettre K ? Louer la lettre K n’est donc pas un élan spontané des habitants de la ville, mais un ordre de la hiérarchie, qui viendrait des chefs de la ville ? C’est très intéressant tout ça, ne trouvez-vous pas ?
« PRÉPOSÉ, -ÉE, part. passé et subst.
I. − Part. passé de préposer*.
II. − Substantif
A. − Personne affectée à une tâche particulière, généralement subalterne. La cantinière et la préposée à la propreté (Frapié, Maternelle, 1904, p.34).J'ai averti les sergents de ville, la préposée au vestiaire..., mais nul espoir de revoir mon singe (Gide, Journal, 1941, p.103).
− DR. CIVIQUE. ,,Personne qui agit sous l'autorité d'une autre appelée commettant`` (cida 1973). [Le commettant] est responsable civilement des fautes commises par ses préposés (cida1973).
B. − ADMIN. Employé affecté à un poste de garde, de surveillance, de perception de taxes, de travaux divers. Préposé sanitaire dans les abattoirs; préposé des Eaux et Forêts; préposés des douanes; le bureau du préposé. Il suit de là (...) que l'on ne doit pas exiger d'un simple forestier une connaissance aussi étendue des sciences que de la part des préposés en chef (Baudrillart, Nouv. manuel forest., t.1,1808,p.XL).Le pivot du système n'est plus la Caisse des Dépôts, mais son préposé local, c'est-à-dire le trésorier payeur général (Réforme Sécur. soc., 1968, p.7).
− POSTES ET TÉLÉCOMM. Agent chargé de distribuer le courrier. Synon. usuel facteur. » (fin de citation dans wiktionnaire sur internet )
Préposé, préposée : définition du Littré (1872-1877)
PRÉPOSÉ (pré-pô-zé, zée) part. passé de préposer
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La perfidie d'un Juif nommé Simon, préposé à la garde du temple, jeta tout d'un coup la ville dans le trouble, Rollin, Hist. anc. Œuvr. t. VIII, p. 584, dans POUGENS.
Substantivement. Les préposés de la douane.
PS : ce Simon-là dans le deuxième livre Maccabées de la Bible, est un membre d’une secte diabolique d’origine juive qui a infiltré la synagogue de Dieu. Simon s’était emparé de la fonction du prévôt du Temple de Jérusalem, le poste le plus élevé après celui du grand Prêtre.
Quel rapport donc entre « tes préposés ont mal jugé » ou « jugé injustement », et ce Simon-là ?
Les préposés de la ville aux sept collines, réunis autour de Bergoglio et Ratzinger eux-mêmes préposés, comme le sanhédrin était réuni autour d’Anne et Caïphe ! Des cloaques d’impureté qui bientôt réclameront la mise à mort d’Enoch et d’Elie, lorsque ces derniers auront accompli leur mission, exactement, comme les prêtres du Temple ont réclamé la mise à mort du Christ ! Voilà, ce qui arrive lorsqu’on laisse entrer dans l’Eglise, des [censuré] pharisiens qui se disent convertis à la vraie Foi mais qui ne le sont pas et ont pour dessein de tuer les chrétiens ! Il suffisait qu’un juif hypocrite dise qu’il vient de se convertir à la Foi catholique, (Pour un juif, c’est moral, c’est servir Dieu, que d’infiltrer l’Eglise, ça ne lui cause aucun problème de conscience, au contraire pour lui, c’est un acte digne de louanges : c’est ce que lui enseigne sa doctrine) pour se trouver rapidement placé à une haute fonction dans l’Eglise, par ses frères déjà infiltrés et avec la négligence d’hommes d’Eglise non juifs, mon franc-maçon, mais qui ont laissé faire, au lieu d’interdire des postes importants à des convertis de fraîche date, issus du judaïsme. Et qu’ont fait les vrais catholiques dans la hiérarchie de l’Eglise pour nous protéger de cette infiltration des adeptes du judaïsme ? Rien, strictement rien : « ces derniers qui demandent à entrer dans l’Eglise, ont tellement soufferts pendant la seconde guerre mondiale ». Voilà ce qui arrive, quand on se met dans le camp des vainqueurs de la guerre, sans prendre conscience, que les vainqueurs de la guerre seront nos bourreaux de demain !
« ont jugé injustement » : c’est un jugement au terme d’un procès ? Si oui quel genre de procès. C’est un procès truqué ou c’est un procès équitable ? Qu’est-ce qu’on y juge ? Au terme de ce jugement qu’est-ce qui est décidé ? Dans un procès, on attend la justice, pas l’injustice, c’est donc un procès inique, qui ne devrait même pas avoir lieu, une abomination, qui attire la sainte Colère de Dieu sur tous les préposés qui en agissant de la sorte ont outragé la Sainte Eglise et ont craché à la face du Christ. Derrière ce procès qui n’est qu’une mascarade, nécessairement, il y a les membres de la Synagogue de Satan, les préposés qui ont mal jugé sont nécessairement des ennemis de l’Eglise qui se sont infiltrés dans l’Eglise, à l’image de Simon dans la crise maccabéenne, qui est appelé lui aussi « préposé », comme on vient de le voir. On a vu précédemment, qu’il pouvait y avoir un lien avec le procès de Jésus : cela ne signifierait-il pas une seconde crucifixion de Jésus orchestrée cette fois non par un grand prêtre comme Caïphe, mis en place par la Rome païenne ou l’empire romain idolâtre, mais par un pape de la fausse Eglise mis en place par des païens, non catholiques ? Ne s’agit-il pas là d’un procès en béatification ou en canonisation mais invalide car dirigé par des membres de la Synagogue de Satan, car en effet le magistère de l’Eglise, un vrai pape lors d’un tel procès, ne peut pas mal jugé, c’est radicalement impossible. On est donc assuré, que ce sont des membres du judaïsme ou ce qui revient au même de la franc-maçonnerie qui ont jugé à la place de l’Eglise, l’un des leurs, en le décrétant comme un exemple à suivre, pour être sauvé, alors qu’en réalité, si on pense comme lui et si on agit comme lui, on a au contraire l’assurance de suivre ce dernier en Enfer. Quels sont les passages de la Bible qui ont servi de référence à ce passage de l’oracle ? Peter Dimond raconte que le chapitre XIII de l’Apocalypse parle de la pseudo-béatification de l’antipape Ratzinger, bête de la terre. Qu’est-ce qui prouve que l’auteur de l’oracle a fait une interprétation du même type ? Du point de vue de l’histoire des idées, est-ce que cette interprétation était possible dans l’Eglise, à la fin XIIIème siècle, période où l’oracle fût rédigé ?
L’antipape Ratzinger lisant son homélie à la béatification de Karol Wojtyla.
« Celui qui a les doigts armés de la faucille » : Est-ce la représentation populaire de la mort ou est-ce un homme ? si c’est un homme, c’est qui ? Pourquoi passe-t-on de la première phrase à ce genre de précision ? A quoi cela fait référence dans la Bible ? Cela ne peut pas être une référence à Apocalypse XIV, car celui qui lance la faucille et moissonne obéit à un ange sorti du Temple, quand il n’obéit pas à un ange qui a autorité sur le feu, et qui sort de l’autel. Ici c’est quelqu’un de maléfique, qui obéit à autre chose qu’à l’Eglise, qui n’obéit qu’au dragon, un esclave du démon. C’est quelqu’un de méchant, qui fait affront à Dieu, que Dieu jettera en Enfer, et dont la mémoire devra disparaitre. Ça ne vous rappelle rien cette idée dans le livre de Jérémie ? voyions un petit effort ! Que fait cet homme avec ses mains criminelles armées de la faucille ? Quel usage satanique en fait-il ? Qu’est-ce que ça veut dire cette manière de parler « celui qui a », « les doigts armés » avec l’idée de « faucille » qui est manifestement empruntée à des Prophéties Bibliques ? Comment sait-on que celui qui a les doigts armés de la faucille est ici une inversion du Christ Jésus, qui est la vie, un faux Christ qui à l’inverse de N.S. Jésus-Christ, est la mort ? Qui est cet imposteur qui fait semblant de se servir Jésus-Christ, qui singe le bon Ange qui moissonne avec sa faucille et qui travaille pour le temple et l’autel ? Là, ce monstre ne travaille pas pour le Temple et l’autel, au contraire, il est là pour détruire le Temple et l’autel, bête immonde sous sa capuche, découvres toi, qu’on voit ta sale tête démoniaque ! Comment se peut-il qu’il tienne la faucille ? Malheur, Malheur, il vient pour faucher les âmes, les couper de la Sainte Eglise, et les faire tomber en Enfer ! Qui se lèvera dans la Sainte Eglise pour l’exterminer, mettre fin à son action ? « Isathios ! » répond l’oracle, mais c’est qui, ça encore ? Jésus-Christ en personne ? ou bien un envoyé de Jésus-Christ et si c’est le cas, pourquoi l’appeler ainsi ?
La faux a été utilisée comme arme au XVI ème siècle, son usage au combat, a été décrit par Paulus Hector Mair, qui explique en 1542 avec de telles images la technique de combat. Au Moyen Age, on percevait naturellement la dangerosité de cet instrument, à manier avec prudence, pour ne pas se blesser. Il va de soi, que l’auteur de l’oracle, regarde cette dangerosité, qui dépend de celui qui tient cet instrument, qui peut très vite se convertir en arme redoutable. Les chouans l’ont utilisée. Elle peut servir à la bonne cause, tout dépend de celui qui s’en sert et à quelle fin. La faucille en question dans l’oracle sera utilisée contre les vrais catholiques et uniquement contre ces derniers pour les tuer spirituellement, le plus possible, les élus par définition échappant à cette attaque, qui envoie systématiquement ceux qui y succombent en Enfer.
L’image de la mort au Moyen Age. Elle a le surnom de « faucheuse ». Elle n’épargne personne (sauf cas exceptionnel comme Enoch et Elie), ci-dessous, une jeune femme pieuse médite sur la mort de ses proches, elle sait que son tour viendra. N.S. Jésus-Christ, a cependant vaincu la mort, il est plus fort que la mort, c’est-à-dire que celui qui a les doigts armés de la faucille, ne peut pas anéantir la sainte Eglise, il peut seulement détourner de la Sainte Eglise, une multitude, pour qu’ils aillent en Enfer, la mort éternelle sans le repos, avec des souffrances atroces comme pour une agonie, mais qui ne finissent jamais.
La mort pour les élus n’est pas leur ennemi, elle leur permet d’aller au Ciel, mais ici l’image de la mort, sert dans l’oracle à décrire seulement un faiseur de miracle pour séduire les élus, s’il était possible, et venir séduire ou perdre en revanche systématiquement par définition, les futurs damnés qui vivent dans la Sainte Eglise. Face à ce dernier, les élus n’échapperont à sa séduction que de justesse, et qu’avec peine, en surmontant les persécutions, et parce que Dieu leur viendra en aide. Dieu les maintiendra dans la lumière de la Foi, et les élus comprendront par cette lumière, que ce faux christ qui se tient comme le Bon pasteur, est revêtu de blanc et du sacerdoce comme l’agneau, parle comme le dragon, et qu’il vient dévaster la Foi catholique partout où il peut. Ils déjoueront les impostures de ce faux christ, et ce dernier n’aura aucune prise sur eux, mais le chemin pour triompher de cette épreuve, sera couverts d’obstacles, certains étant plus lents que d’autres à ouvrir les yeux sur ce faux christ, Dieu faisant preuve de patience envers ses élus, sachant que ces derniers lui sont acquis, que ce n’est qu’une question de temps, pour qu’ils se ressaisissent. Ils sont soumis à rude épreuve, parce que ce faux christ se tient à la meilleure place pour pouvoir tromper spirituellement les membres de l’Eglise : il se tient à la place du pape, qui est la meilleure place pour séduire les catholiques c’est-à-dire les vrais croyants, pour procurer la mort à ceux dont les noms ne sont pas inscrits dans le livre de vie. Les non catholiques, n’ont pas à être séduits, car par définition ils appartiennent au démon, sont déjà sur le chemin de la perdition, ils sont déjà comme morts, des zombis sur le plan spirituel, la séduction ne fonctionnant que pour ceux qui sont dans la véritable Religion, qu’est la religion catholique. Donc nécessairement un faux christ se tenant à la place du pape et revêtu des apparences de la papauté, est à la meilleure place pour infliger la mort spirituelle aux catholiques, à l’inverse de Jésus-Christ qui donne la vie spirituelle aux membres de son Eglise, d’un vrai pape qui sert la volonté du Christ à ce sujet, vieille à ce que ses sujets reçoivent par le baptême cette vie, et puissent se maintenir en état de grâce jusqu’à la mort, travaille à transmettre la vie spirituelle à tous ceux qui ne l’ont pas pour conduire à la vie éternelle, un maximum d’âmes. Un vrai pape, un vrai imitateur du Christ Jésus, sert la vie, est comme le Christ, la vie, le canal, par lequel Jésus-Christ donne la vie, à l’inverse de celui qui sert la mort, imite le démon, est comme la mort, et procure la mort spirituelle, qui est comme le canal, où les forces de l’Enfer déversent sur le monde, cette mort.
Bravo pour l’auteur de cette gravure contre Karol Wojtyla et sa secte ! Le joueur de flute est l’image du séducteur, de ce que l’on appelle l’antéchrist. Ne sont charmés par sa musique, que les rats, les futurs damnés qui ont réclamé en l’écoutant, la canonisation de Wojtyla, « santo subito », saint tout de suite, pancarte immonde des démons du judaïsme élevé à la mort de la bête immonde Karol issu du judaïsme.
Petit moment d’intimité et de tendresse !
« il est la faux de la dévastation » ( ou « la faux de la solitude » autre traduction correcte me semble-t-il de « falx desertitudinis » ), parce qu’il a fauché tout ce qu’il pouvait, tous les catholiques dans leur ensemble sont à terre, l’Eglise est devenu comme un désert, où ne vit plus que les serpents et les scorpions ! ) : Qui dévaste ici ? certes c’est celui qui a les doigts armés de la faucille, mais encore, de qui s’agit-il exactement ? Il dévaste quoi ? Qu’a- t -il fait ? Quels indices a-t-on dans l’oracle sur ce point, qui peuvent nous mettre sur la piste ? Dans ce qu’il a fait, on a : « dans les hauteurs il blasphémera », « il touche les choses saintes et les porte », il a « machiné la mort » d’un « pontife » ou de la papauté, par-delà, le vrai pontife dont il s’est débarrassé. En quoi ces choses sont-elles dévastatrices ? cela ne sous-entend il pas, que par ses blasphèmes, il séduira des peuples innombrables de plusieurs nations, qui au départ attachés à la Foi catholique, apostasieront à sa suite ? Cela ne signifie-t-il pas que la multitude des catholiques s’imaginera que son enseignement est conforme aux Saintes Ecritures et à l’enseignement des papes, alors que c’est tout l’inverse ? Comment un tel prodige pourrait-il être possible ? N’a-t-on pas ici un faiseur de miracle ? Un intrus dans l’Eglise qui s’est infiltré parmi nous et qui dévaste maintenant la bergerie du Christ, tel un loup ravisseur parvenu à s’imposer à l’intérieur de cette bergerie, qu’est l’Eglise officielle romaine ? En quoi toucher les choses saintes et les porter est-il dévastateur ? Ne s’agirait-il pas là tout simplement des ornements pontificaux qui sont saints, et qu’il osera toucher et porter, alors qu’il en est indigne et qu’il n’est pas validement pape ? Ne s’agirait-il pas non plus, des biens les plus précieux de l’Eglise, comme le Temple de la basilique sainte Pierre de Rome, les objets du culte, les sacrements de l’Eglise, qui serait tombés entre ses mains, et dont il disposerait à sa guise pour faire de ces biens, des obstacles à la conversion des âmes, et les souiller pour les détourner de leur fonction première qui est de servir Dieu ? En quoi machiner la mort de la véritable papauté serait-il dévastateur ? Cela ne signifierait-il pas qu’il s’est emparé par la ruse et la fraude de la fonction pontificale ? N’appelait-on pas dans le passé, un antipape, un dévastateur ou un exterminateur ?
Pourquoi l’auteur de l’oracle se permet-il de ne pas donner de précision sur l’homme en question, en disant seulement « il », en parlant de lui ? Il était celui qui tenait dans ces doigts la faucille, maintenant il est aussi la faux ou la faucille ! Il tient l’arme du démon, ce qui fait tomber en Enfer, et il est aussi, l’arme du démon, celui en qui le démon a mis toutes ses complaisances, celui qui reçoit du démon, toute sa puissance, son fils bien aimé ! Ça ne vous rappelle rien cette idée dans l’Apocalypse ? La faucille, c’est un instrument tranchant, allié au marteau ( marteau : instrument de la passion, a servi à cloué le Christ sur la croix, représentent ceux qui clouent le Christ pour l’immobiliser, les persécuteurs de l’Eglise, les damnés, par opposition à la tenaille, qui libère des clous, qui représentent les élus, faux et marteau = symbole du communisme judéo-bolchevique ) et ça a une forme courbée en demi-cercle, et ça entraine avec elle, ce qu’elle coupe, et ça jette sur la terre, ce qu’elle a coupé, mais la faucille ou la faux est ici un homme cruel, féroce, une bête : à quoi peut faire référence l’auteur de l’oracle ici dans l’Apocalypse de Jésus-Christ ? Une bête qui jetterait quoi sur la terre ? Pourquoi cela fait-il suite à cette histoire de lettre K louangée dans les murs de Rome ? Est-ce que cela ne serait pas ce fils du Diable qui serait louangé dans l’Eglise officielle romaine ? Pourquoi, en ce cas, l’appeler lettre K ? Quand enfin, l’auteur de l’oracle va nous montrer ce qu’il entend exactement par lettre K ? Va nous livrer son nom ? Fait-il semblant de le connaitre, ou le connait-il ? A cher frère en Jésus-Christ, ne me fait pas languir davantage, dis-moi, ce que Jésus-Christ dans son Apocalypse t’a appris !
Le dévastateur dans une mare de sang ?
Le dévastateur frappant le sol ?
« Dans les hauteurs » : dans les hauteurs de quoi ? De la ville ?
Tout le montre, depuis le début, on a les collines de la ville, « les murs » de la ville, les préposés de la ville :
« Malheur à toi, ville au sept collines (les collines de la ville) quand la lettre K sera louangée dans tes murs (les murs de la ville), alors approchera la chute et la ruine de tes préposés (les préposés de la ville) qui ont jugé injustement. Celui-ci a les doigts armés de la faucille. Il est la faux de la dévastation, et dans les hauteurs (de la ville), il blasphémera. »
Voilà schématiquement comment ces quatre points se présentent :
Les collines de la ville
Les murs de la ville + Les préposés de la ville
Les hauteurs de la ville
Les murs de la ville, comme une citadelle, forme sa protection.
Les préposés de la ville, comme les gardiens de la citadelle, sont sensés protégé la ville.
« Les sept collines » est une expression qui va de pair avec « les hauteurs ».
Les collines de la ville, ce sont donc les hauteurs de la ville, ce qui explique cette construction pour nous le faire comprendre. Mais c’est quoi les collines dans le passage de l’Apocalypse, qui parle de la femme qui a pour nom de ville « Babylone » assise sur 7 collines ? Ces collines sont des têtes, des rois : une tête se trouve sur les hauteurs, un roi aussi.
La ville, c’est quoi ? Elle est appelée « femme » dans Apo. XVII. On a vu qu’il s’agit d’une contrefaçon de l’Eglise, comparée à une prostituée par opposition à l’épouse fidèle qu’est la Sainte Eglise. Donc, au sommet ou sur les hauteurs de la ville ou de cette fausse Eglise, il y a quoi ? C’est quoi la fonction qu’on y trouve au sommet de cette Eglise, compte tenu du fait que l’Eglise est une monarchie sacerdotale, et qu’on a affaire ici à une contrefaçon de l’Eglise catholique, avec aussi une monarchie sacerdotale ?
« Il blasphémera » : que blasphème l’homme sur les hauteurs, c’est-à-dire au sommet de la fausse Eglise assise sur 7 collines, parce qu’elle a son siège à Rome qui a 7 collines, et pourquoi est-ce choquant qu’il blasphème sur les hauteurs ? A quoi l’auteur de l’oracle ici se réfère-t-il dans la Bible ? Au chapitre 13 versets 5 et 6 ?
3Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort; mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête. 4Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête; ils adorèrent la bête, en disant: Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? 5Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. 6Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.
Pourquoi en ce cas dire il blasphémera au lieu de « elle blasphémera » ? Il semblerait donc que le verbe blasphémer soit ici une expression raccourcie de « bouche proférant des paroles arrogantes et des blasphèmes », « blasphèmes contre Dieu, son nom, son tabernacle et ceux qui habitent dans le ciel ». Quel est le sens de Apo XIII 3-6 pour l’auteur de l’oracle ? S’agit-il bien pour lui, d’un antipape qui est décrit ici, et si oui, pourquoi ?
Comment sommes-nous certains, que « il blasphémera » doit être mis impérativement en corrélation avec Apo. XIII 3-6 ? Quel est le passage dans l’oracle sur la lettre K. qui vient attester ou confirmer cette référence biblique ?
Q mal p l φou t 6616 : Est-ce un rebus, et si oui, qu’est-ce qu’un rébus, et qu’elle est son sens ? Trouve-t-on des rébus dans la Bible, et si oui, où ça ? Pourquoi 666 dans 6616 ? Pourquoi ce découpage 66 séparé d’un 1, suivi d’un 6 ? « 616 » ça donne quoi ? pourquoi le t devant ces nombres ? Pourquoi cette lettre grec φ suivi de « ou »? Si on prononce φou, qu’est-ce que ça donne comme son ? Est-ce que cela donne un mot compréhensible ? Pourquoi ici trois lettres isolées q, p, l, avec trois lettres groupées mal. ? Et ce tout, est-ce que ça ressemble à une charade ? Est-ce que l’on a dedans un allographe en latin ? Et l’ensemble du passage ici veut dire quoi ? Existe-t-il des dictionnaires au Moyen Age d’abréviations latines, et si oui, que disent-ils sur ces abréviations ? Pourquoi ce rébus est-il mis en plein milieu de l’oracle ? Qu’est-ce qu’il y a avant le rébus, et après le rébus ? Pourquoi, dans le texte rapporté dans l’ouvrage « au nom de la tiare » on a à la place : « Q. V.R.G. Ei C.V. » ? Pourquoi cette transformation ? Le sens de tout ça, ça veut dire quoi exactement ? Ces lettres et ces nombres ? Justement voilà des nombres et des lettres :
« Ysathios » : Qu’est-ce que ce nom ? pourquoi ce nom à consonance grec dans ce contexte latin, et que signifie-t-il ? Il écrase une engeance ? L’engeance de qui ? Une engeance de serpents, qui vient de qui, de K. ? Et qui écrase cette engeance ? Jésus-Christ ou un de ses envoyés ? Pourquoi dire en ce cas Ysathios ? ça fait référence à quoi Ysathios ? Ysathios, avec un Y ou avec un i ? Et juste après ça comment se fait-il que l’on parle de Jean ? Y aurait-il un rapport entre Ysathios et Jean ? Est-ce que l’énigme du mot « Ysathios » trouve sa résolution dans le mot « Jean », et si oui, de quelle manière ?
« Jean vit en grâce » : de quoi parle-t-on ici ou de qui, et pourquoi ce rapport à l’Apôtre Jean qui a vécu en grâce après avoir survécu miraculeuse dans une bassine d’huile bouillante, avant d’être déporté à Patmos ? Logiquement, comme toute apocalypse qui fournit à la fois l’énigme et la résolution de l’énigme posée, sans quoi, l’apocalypse ne pourrait pas être compréhensible ou serait une pseudo-apocalypse, on devrait trouver la résolution de cette énigme « Jean vit en grâce » - de qui s’agit-il, car il ne peut pas s’agir de l’Apôtre Jean qui a écrit l’Apocalypse de Jésus-Christ ? – à l’intérieur de l’oracle. Où se trouve dans l’oracle la résolution à cette énigme ?
« Constantin est pauvre » : Que vient faire cette référence à l’empereur Constantin, dans cette Prophétie qui parle des derniers temps ? De quoi ou de qui, s’agit-il ici et qu’est-ce que vient faire cette référence qui ne vient pas de la Bible ? Est-ce qu’il y a un quelconque rapport avec le XIII ème siècle, où il y avait encore en Europe, un empereur et l’Empire, vestige de l’Empire romain, « le saint Empire romain » (voir chez wikipédia le sens de cette expression) ? Et si oui, quel message est-il délivré ici aux contemporains de l’auteur de l’oracle qui a vécu au XIII ème siècle ?
Ci-joint, Monnaie de Magnence vers 350 :
« Constantin aurait, donc, fait fabriquer un étendard richement orné avec les deux premières lettres du nom du Christ en grec : X et P (chi et rho). Tout ceci d’après Eusèbe de Césarée qui prétend avoir lui-même vu l’étendard avec ce symbole (Eusèbe, Histoire de La vie de l’Empereur Constantin, traduction par Louis Cousin » (fin de citation) . Le rapport avec Constantin aurait-il un rapport avec cela : « Les deux lettres que Constantin met sur son étendard forment le chrisme : un monogramme composé des lettres grecques « chi » (X) et « rho » (P) qui sont les deux premières lettres de « Christ ». Le chrisme est souvent représenté accompagné des lettres « alpha » et « omega ». Constantin le fit inscrire sur le bouclier de ses soldats. Le chrisme est notamment présent sur le revers de monnaies romaines, sur des tombeaux. (En 2010 le chrisme orne des médailles à signification religieuse). » Est-ce qu’il y aurait un lien avec ce genre de choses, et le rébus dans l’oracle ? Qui dit Constantin, fait aussi référence à tout ce symbolisme.
« Prends bien garde, toi qui touches les choses saintes, et les porte sur ton épaule » : qui doit prendre garde, et que veut dire cette référence à l’Ancien Testament de ceux qui dans l’Ancienne Alliance, portaient sur leurs épaules, les objets du culte, comme l’arche d’Alliance ? Est-ce que l’auteur de l’oracle s’adresse à l’homme impie, l’homme de péché, à cet homme adonné au péché, qui « dans les hauteurs, blasphémera », sans arrêt, dès qu’il évoquera Dieu, le nom de Dieu, son tabernacle et ses saints ? Si oui, pourquoi ? Y –t-il un rapport entre cet homme qui doit prendre garde, mais qui manifestement n’éprouve aucune crainte de Dieu, et la lettre K. au début de l’oracle ? Si oui, qu’est-ce qui le prouve dans l’oracle ? Pourquoi dire à cet homme de prendre garde, alors que l’auteur de l’oracle sait pertinemment de cet homme qu’il ira en Enfer ? Comment sait-on que pour l’auteur de l’oracle, cet homme qui touche les choses saintes et les porte sur son épaule, ira en Enfer ?
Quel rapport entre ces derniers et l’homme en question qui est manifestement ici, un ennemi de la véritable papauté ? Pourquoi, le texte se poursuit-il ainsi :
« On taillera justement dans la barbe » : que vient faire cette référence à l’Ancienne Alliance au sujet de la barbe, la barbe taillée étant un affront dans l’Ancien Testament, une humiliation valant la peine de mort ? Qui est concerné ici ? Que symbolise la barbe ? Y-t-il un rapport avec le sacerdoce ? De quoi parle-t-on ici ?
La barbe de Nabuchodonosor se doit d’être imposante, car elle symbolise le contact avec les dieux, le pouvoir, la sagesse, elle est indispensable aux cérémonies religieuses. Le roi de Babylone est aussi un grand prêtre, qui fait des sacrifices sanglants. Il est le roi mais aussi le grand prêtre par excellence de son royaume. Ce n’est pas un laïc dans la religion Babylonienne.
Le port de la Barbe indispensable aux prêtres et au grand prêtre de l’Ancienne Alliance.
Y a-t-il un rapport avec le souverain pontife de Rome ?
“La barbe occupe une place importante dans la Bible. Couper la barbe d’un autre homme était considéré comme une offense : 2 Samuel 10 :4 ». En Égypte antique, on représentait le pharaon avec une fausse barbe, longue et étroite, qu’on attachait derrière les oreilles. Elle symbolisait sa participation au pouvoir des dieux. Fait intéressant, même une reine-pharaonne, Hatshepsout, portait cette barbe postiche. En général, les Égyptiens se rasaient la barbe. Seuls les pharaons pouvaient porter une fausse barbe. D’ailleurs, lorsque Joseph est présenté au Pharaon, on le rase (Gn 41,14). En Israël, la barbe était habituellement portée par les hommes en particulier chez les prêtres. « Ah, qu’il est bon, qu’il est agréable pour des frères d’être ensemble! C’est comme le parfum de l’huile précieuse versée sur la tête du grand prêtre Aaron, et qui descend jusqu’à sa barbe. » (Ps 133,1-2) Les prêtres et les nazirs devaient garder les cheveux longs et la barbe non rasée. Cette pilosité intacte était un symbole de consécration. Voici la règle concernant les prêtres : « Ils ne tondront pas de tonsure sur leur tête et ils ne raseront pas le bord de leur barbe. » (Lv 21,5) C’est d’ailleurs ce principe qui est à l’origine des mèches de cheveux/barbes non coupées des juifs hassidiques appelés papillotes. » (Fin de citation)
« Tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du pontife Jo. Obi. » L’homme en question est manifestement un ennemi de la véritable papauté, mais qu’est-ce qu’il s’est passé pour qu’il ait été enfin démasqué ? S’agit-il d’une référence au pseudo-pontife Ménélas qui a machiné la mort du pontife Onias III dans le deuxième livre maccabéen de l’Ancien Testament ? Si oui pourquoi ? Et ça veut dire quoi Jo. Obi. ?
La seule machination de la mort d’un pontife par un autre dans la Bible, se trouve dans II Ma. 4 : 34-35.
Deuxième livre des Maccabées, dans l’Ancien Testament, extrait du Chapitre 4 :
C'est pourquoi Ménélas, prenant à part Andronique, le pressait de mettre à mort Onias. Andronique vint donc trouver Onias et, usant de ruse, il lui présenta la main droite avec serment; puis, quoique suspect, il le décida à sortir de son asile et le mit aussitôt à mort, sans égard pour la justice. |
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Aussi, non seulement les Juifs, mais beaucoup d'entre les autres nations furent indignés et affligés du meurtre injuste de cet homme. |
Onias ici est :
« Le grand prêtre Onias III (hébreu חוניו), fils de Simon (probablement Simon le Juste), est un grand prêtre du Temple de Jérusalem au IIe siècle av. J.-C. (187 à 175 av. J-C)1. Il est le dernier des grands prêtres légitimes, car considérés comme descendants de la lignée de Sadoq. Onias III est déposé en -175. Son frère et successeur Jason, qui est imposé par Antiochus IV, est considéré comme un usurpateur. » Wikipédia.
Qui est Ménélas, d’après le deuxième livre des Maccabées :
Mais Ménélas se recommanda au roi, lui rendit honneur avec les dehors d'un homme haut placé et se fit adjuger à lui-même le souverain pontificat, en offrant trois cents talents d'argent de plus que n'avait fait Jason. |
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Ayant reçu du roi ses lettres d'investiture, il revint à Jérusalem, n'ayant rien qui fût digne du sacerdoce et n'apportant que les instincts d'un tyran cruel et la fureur d'une bête sauvage. Ménélas = n’a rien qui fût digne du sacerdoce = tyran cruel = bête terrible. |
« Ménélas (hébreu : מנלאוס) était grand prêtre à Jérusalem d'environ 172 avant JC à environ 161 avant JC. Il était grand prêtre au début de la révolte des Maccabées (167-160). Il était le successeur de Jason, le frère d’Onias III. Ménélas (Grand Prêtre) » - Wikipédia. Ménélas (en grec ancien Μενέλαος / Menélaos : « qui soutient le peuple ».
En réalité, pour l’auteur du deuxième livre des Maccabées, comme on vient de le voir, il s’agit d’un usurpateur, qui a obtenu par la simonie, la fonction de grand prêtre. Dans II Mac.13 :4, le pseudo-pontife Ménélas est perçu comme « la cause de tous les maux », et le titre de l’apocalypse où se trouve l’oracle sur la lettre K, est à l’origine « Principium Malorum », qui veut dire « le début des maux » :
Cependant le Roi des rois éveilla contre ce scélérat la colère d'Antiochus, et Lysias ayant démontré au roi que Ménélas était la cause de tous les maux, Antiochus ordonna de le conduire à Bérée, et de l'y mettre à mort selon la coutume du lieu. |
Cette illustration est tirée d’un autre corpus « prophétique », que celui de l’oracle sur la lettre k, Corpus que l’on appelle par son incipit « Ascende Calve », qui sont les deux premiers mots du manuscrit. Elle ne vient donc pas du même auteur et de la même prophétie. Elle illustre la quatorzième figure d’Ascende Calve (ne pas confondre avec Genus nequam ou Principium malorum, où se trouve l’oracle sur la lettre K). « Ascende Cave » veut dire en latin « Monte chauve ! ». Personne à ma connaissance ne l’a compris, pas même les médiévistes de profession, c’est une expression tirée du deuxième livre des rois chapitre 2, concernant Elisée qui vient de voir Elie partir dans un char de feu : 23Il monta de là à Béthel; et comme il cheminait à la montée, des petits garçons sortirent de la ville, et se moquèrent de lui. Ils lui disaient: Monte, chauve! monte, chauve! Cette référence biblique est intéressante, mais en revanche, le texte que l’on voit apparaitre sur la photographie comprenant un pontife menacé par un soldat qui s’apprête à le tuer, est sans intérêt, car il ne fait pas parti de l’oracle, ni de la devise. C’est un texte écrit par un profane, qui commentant l’oracle laisse entendre que « Grégoire » XI est peut-être « le prochain pape », juste avant l’Antéchrist ou l’avènement de la fausse papauté des derniers temps, mais ensuite, ce dernier s’est rétracté publiquement, ce qui est tout à son honneur, pour dire qu’il s’est trompé, et sa rétractation figure dans les Vaticinia publié au XV ème siècle qui rapporte Ascende Calve, puis cette autre apocalypse qu’est Genus Nequam d’où sort l’oracle sur la lettre K. On sait de source sûre, que cette illustration en revanche évoque ce qu’il va arriver au dernier vrai pape, avant l’Antéchrist ou plus précisément avant l’avènement de la fausse papauté des derniers temps, avant que l’ennemi ne s’empare de la fonction pontificale. Les méchants attenteront à la vie de ce dernier vrai pape avant l’éclipse de l’Eglise, comme cela est arrivé au vrai pontife Onias III, c’est ce que montre l’image ici. La main de Dieu en haut à droite sort d’une lumière d’étoiles, vient donc de la Sainte Eglise, pour toucher la paume de l’épée, car Dieu permet cet attentat, mais l’image ne dit pas si les jours du pape en raison de cette attaque vont être abrégés. Dieu permet au dragon de se tenir devant la femme pour dévorer son fils au chapitre XII de l’Apocalypse, il permet seulement que le dragon attente à la vie de l’enfant mâle, mais cela ne signifie pas, qu’il va laisser le dragon dévorer l’enfant. Au contraire, si le pontife Onias III a été frappé, est mort passé au fil de l’épée, il n’en sera pas de même pour le dernier pape avant la prise du siège de Pierre par l’Ennemi. Comme le dit Notre Dame de la Salette : « Les méchants attenteront plusieurs fois à sa vie, sans pouvoir nuire à ses jours. » On a vu que la quinzième figure d’Ascende Calve décrit l’Antipape Karol Wojtyla sous la forme d’un dragon avec la tête du roi Nabuchodonosor balayant le tiers des étoiles avec sa queue. Ici la quatorzième figure d’Ascende Calve, décrit le dernier vrai pontife qui disparaîtra, permettant à l’homme de péché Karol Wojtyla de se révéler sur le siège de Pierre occupé par la ruse et la fraude. Ce que dit Ascende Calve sur ce dernier vrai pape est très intéressant, on verra cela une prochaine fois, car ce n’est pas notre sujet. Sur le moment, je n’ai pas compris que l’oracle de la devise « Flores rubei » (fleurs rouges ) concerne le pape martyr de la fin des temps. Quel âne, j’ai été de ne pas l’avoir compris de suite !
Dans cette illustration, on a le pontife dont la mort sera machinée, dont parle l’oracle de Principium malorum sur la lettre K., vu par l’auteur d’Ascende Calve. L’auteur d’Ascende Calve poursuit dans sa quatorzième figure (quatorzième devise et oracle) ce que l’auteur de Principium malorum nous a enseigné à ce sujet, dans les quatre oracles qui suivront l’oracle sur la lettre K.
« La puissance. Ce sera l’unité. » Tel est la devise de l’oracle. Est-ce une clé pour décrypter l’oracle ? De quelle puissance s’agit-il ? De la puissance donnée par le dragon à la première bête dans Apocalypse chapitre XIII ? De quel unité s’agit-il ? De celle d’ennemis de l’Eglise, tous ligués contre la Sainte Eglise ? Pourquoi cette devise est-elle accolée à l’oracle ? Que vient-elle nous dire sur l’oracle, que l’oracle ne dit pas ?
En résumé : Tout porte à penser que cette oracle vise l’antipape Karol Wojtyla :
Il apparait 1) que la ville aux sept collines est la femme au nom de Babylone assise sur 7 collines, dans Apo. XVII, qu’il s’agit d’une contrefaçon de l’Eglise catholique qui a son siège à Rome, et plus précisément au Vatican. 2) que la lettre K louangée a à voir avec la pseudo-béatification ou canonisation d’un antipape. 3) que les préposés ou puissants de la ville, c’est-à-dire de cette Contre et fausse Eglise, ont jugé bienheureux ou saint, cet antipape, alors que ce dernier brûle en enfer , ce sont eux qui ont poussé les habitants de la ville, c’est-à-dire les membres apostats de la Fausse Eglise à louanger le nom de cet antipape 4) Il s’agit là d’un acte d’Apostasie sans précédent qui attire la sainte colère de Dieu sur la ville, c’est-à-dire sur toute la fausse Eglise, à commencer sur ces chefs, mais aussi sur tous les habitants de la ville ou membres de cette fausse église qui n’a de catholique que l’apparence.
5) Pour comprendre ce qu’est la lettre K, il semblerait que l’auteur de l’oracle invite son lecteur à suivre le reste de l’oracle, il s’agirait d’un faux christ qui est la mort à l’inverse de Jésus-Christ qui est la vie. 6)Ce serait un dévastateur redoutable de la vraie Foi, fauchant les catholiques, en faisant tomber la plupart dans l’Apostasie et la perdition avec lui. 7) Il se situe sur les hauteurs de la ville c’est-à-dire au sommet de la fausse Eglise, sur le siège de Pierre dont il a dû s’emparer par la ruse et toutes espèces de fraude. Et du siège de Pierre, qu’il occupe frauduleusement, de sa fonction pontificale qu’il a usurpée, il ne cesse de blasphémer chaque fois qu’il ouvre la bouche pour parler de Dieu ou des choses de Dieu. 9) vient ensuite des lettres séparées où on cherche la lettre K, accompagné de nombres : cela doit faire référence au nom et au nombre de la bête 666, puisque le rebus contient 666 dans 6616 : si on a le nom de l’antipape en question qui se cache derrière la lettre K. c’est probablement dans cette série de lettres et de nombres, qu’il doit apparaitre dans toute son horreur :
10) Après le rébus, l’oracle dans cette même lancée, nous fait comprendre que l’influence de ce monstre d’iniquité ne durera pas, par conséquent. Alors que la situation de l’Eglise est au plus bas : « Jean vit en grâce, Constantin est pauvre », 11) les yeux se tournent sur Ysathios, une expression énigmatique car désignant un secours inattendu de Dieu, un avènement miraculeux dont Dieu a le secret. 12) Dès lors, ça va barder pour l’image de l’antipape en question, son crime sera démasqué ici-bas, mais bien après que son nom soit louangé dans les murs de Rome, après sa mort. Ce qu’est ce crime, exactement est révélé dans une énigme. Ce qu’enseigne ici l’oracle à la fin, si cet oracle porte bien sur Karol Wojtyla, ne s’est pas encore réalisé, ce qui rend son interprétation plus difficile encore. Voilà, à peu près, où on en est dans la compréhension du texte, à ce stade de la réflexion, mais par les questions que l’on a posées, on a de quoi, avancer, il suffit d’y répondre pour commencer.
« Malheur à toi, ville au sept collines, quand la lettre K sera louangée dans tes murs, alors approchera la chute et la ruine de tes préposés qui ont jugé injustement. Celui-ci a les doigts armés de la faucille. Il est la faux de la dévastation, et dans les hauteurs, il blasphémera q mal p l φou t 6616. Ysatios mettra à mort dans le sang cette engeance. Jean vit en grâce. Constantin est pauvre. Prends bien garde, toi qui touches les choses saintes, et les porte sur ton épaule, que ta poussière ne devienne un opprobre. On taillera justement dans ta barbe épaisse : car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du pontife Jo. Obi. »
Pour avancer, davantage, il convient de cerner les énigmes du texte, de plus près encore, car pour le moment, on les a à peine signalées, mais on ne les a pas examinées de prêt comme il faut. Les questions que l’on vient de poser méritent des réponses, qui devraient nous y aider. Notre travail, vient à peine de commencer, le plus difficile reste à faire. Ce n’était que le hors d’œuvre, il va falloir passer au plat de résistance, et le dessert pour la fin !
Éric Faure, ce 4 avril AD 2021.
Fin de la première partie.
L’oracle sur la lettre K avec l’illustration correspondante dans l’ouvrage de Roger Duguet (abbé Paul Boulin) dans Autour de la tiare, p.200.
Quelques ouvrages à étudier pour nos lecteurs qui veulent en savoir plus :
Méditations sur le sens réel des dernières devises apportées par le bénédictin Arnold Wion
Méditations sur le sens réel des dernières devises apportées par le bénédictin Arnold Wion. Étude d'Éric Faure relative à la prophétie des papes ...
Méditations sur le sens réel des dernières devises rapportées par le bénédictin Arnold Wion.
Ouvrage éclairant le corpus malachique à la lumière de Principium Malorum.
Etude indispensable pour situer l’oracle sur la lettre K dans cette apocalypse du XIII ème siècle.
http://data.over-blog-kiwi.com/0/83/11/58/20140311/ob_d0b37d_papemartyrdelafindestemps-ericfaure.pdf
Le Pape Martyr de la Fin des temps : ouvage traitant essentiellement de la littérature apocalyptique
au Moyen Age, plein de références bibliques, l’oracle sur la lettre K s’y trouve étudié frontalement
pour la première fois en corrélation avec les Saintes Ecritures, à notre époque.
Autour de la tiare par Roger Duguet.
Les successeurs du pape aux ours, histoire d’un livre prophétique médiéval illustré par Hélène Millet.
The Late Medieval Pope Prophecies, the Genus Nequam Group , de Martha H. Fleming.