Douce fête de la vraie femme. Chaque femme est une princesse avec le mystère fascinant de la féminité que Dieu vous a confié. Corps et âme. C'est en vous, le temple de cristal, qu'il nous a créés, c'est à vous qu'il a fait le don de créer l'amour autour de vous, de susciter la poésie, le romantisme, la délicatesse, la tendresse. Sans vous, rien de tout ça. Sans vous, l'homme ne peut pas se comprendre, il ne peut pas se sauver. C'est à vous qu'Il vous a confié la capacité de chasser la tête du Mal, du malin dans les hommes et dans le monde: "Elle rejettera votre tête ... et non LUI!" La grâce d'aimer et d'être aimé, de donner la Vie, d'accueillir en vous, dans vos profondeurs. L'homme se sacrifie pour une idée, vous vous sacrifiez pour une personne. C'est à travers vous que Dieu vient sur Terre. Mais ces trésors, vous les gardez dans un pot d'argile, fragile (votre cœur, vos sentiments, vos émotions: votre point fort ... mais aussi votre faiblesse) et vous devez le protéger ... même contre vous-même ... en priant Notre Lady, votre modèle, votre plus grande amie et confidente. Un baiser sur la main. Merci d'être une Donna. TVB et moi prions pour vous.
(courriel envoyé par ce prêtre à l'occasion de la fête de la femme)
Certains célibataires cherchent une forme de compensation à leur état en exaltant les femmes, pour s'attirer leurs complaisances. Ne pouvant les posséder comme épouses, ils veulent au moins jouir de leur compagnie. Outre le fait que cette attitude dénote un manque de fierté et de virilité, elle flatte excessivement l'orgueil des femmes, qui très souvent, reçoivent déjà assez de compliments comme ça, surtout dans leur jeunesse !
Sous une forme déguisée, il s'agit d'une résurrection des cultes païens de la fécondité. C'est de l'idolâtrie pure et simple, mais avec une apparence maquillée.
Les catholiques accusent les Juifs de l'Ancien Testament d'avoir fait preuve de stupidité, en tombant à plusieurs reprises dans le culte des idoles ; or il n'y a pas besoin de vénérer des figures d'argile pour être idolâtre : on l'est à chaque fois qu'on place la créature au-dessus du Créateur. Voilà ce que je reproche au blog "Femme à part" : divinisation/déification de la femme, employez le terme qui vous convient !
EDIT : La femme n'est une princesse, et l'homme un prince, que sous le rapport de la grâce (quand il la possède) et de son degré de ressemblance à nos premiers parents avant la chute ; sous tous les autres rapports (la concupiscence, le péché et toutes les ignominies de notre nature déchue) nous sommes plutôt le contraire d'un prince ou d'une princesse...