Mon interprétation de la prophétie des papes (bis repetita)

Publié par Jean-Baptiste sur 17 Février 2022, 21:37pm

Ces dernières années, il est arrivé que des gens m'écrivent pour me dire :

- Regarde ce qu'on lit dans la presse, Ratzinger va bientôt mourir ; alors, est-ce que tu vas changer de position sur ton interprétation de la prophétie de Saint Malachie ?

- Regarde, Bergoglio va démissionner (ou mourir), et un autre va prendre sa place ; est-ce que tu vas changer de position ?

Depuis, Ratzinger n'est pas mort, et Bergoglio non plus : ils sont toujours là avec leur soutane blanche, comme s'ils étaient "deux [pseudo] papes" régnant à la fois, Ratzinger continuant de porter les attributs pontificaux.

D'où mon interprétation de la prophétie des papes...

Pour rappel :

- Comme l'ont expliqué les exorcismes suisses, JP Ier et JP II furent groupés dans une seule devise ("la moitié de la lune"), car ils portent un nom composé, ce qui ne s'était jamais fait auparavant. Ils sont donc en quelque sorte des demi "papes" (antipapes).

- Ratzinger et Bergoglio sont eux aussi groupés dans une devise ("l'éclipe du soleil"), car ils règnent en même temps, Ratzinger continuant de porter les attributs pontificaux.

- De surcroît il y a d'autres raisons à ce "groupement" : car ces deux devises servent à décrire l'éclipse en deux étapes, sachant que JP Ier et JPII ont été élus alors que Paul VI se trouvait encore captif au Vatican (la première moitié de la lune commence à éclipser le soleil) ; et les deux suivants ont été élus alors que Paul VI était exilé, sachant que l'exil s'est produit sous le règne de la seconde demi-lune, ce qui nous indique précisément le moment où Paul VI a dû partir (sous Wojtyla, soit la deuxième moitié de la lune) : cela sert à faire la transition vers les devises suivantes qui décrivent l'éclipse totale.

Je donne des explications encore plus détaillées dans mes livres, je vous y renvoie. Il faut en effet ajouter des considérations liées aux nominations des futurs antipapes en tant que cardinaux, sans compter leur placement dans les devises, le fait que Bergoglio ait failli être élu en 2005 (il a été éclipsé par Ratzinger, avant de reprendre sa place, tout comme il adviendra avec Paul VI),etc.

Une victime de plus (bis repetita)

Le désespoir n'est pas la plus grande faute