Une récente tribune du figaro, rédigée par Anne-Marie Le Pourhiet, vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel, dit la chose suivante :
La Constitution française, comme ses homologues étrangères, est évidemment muette sur la question de l’avortement. Mettre un terme à une vie humaine ne s’écrit pas noir sur blanc dans le contrat social d’une nation humaniste. L’avortement n’est pas une « valeur » à brandir comme un étendard dans une loi fondamentale.
Bien qu'il s'agisse d'une demi-vérité, je suis heureux de constater que cette juriste soit du moins capable de se rendre compte que l'infanticide ne constitue pas une valeur morale...
Comme vous le savez, je n'ai pas pour habitude d'évoquer l'avortement, qu'on devrait nommer plus justement infanticide, car de nombreux catholiques en parlent sans arrêt, et s'agitent inutilement dans les rues sachant que nous sommes gouvernés depuis des décenies par une république maçonnique (à quoi s'attendent-ils ?).
L'autre écueil est d'en faire le seul péché sur terre ; c'est le plus grave mais on n'a pas besoin d'avoir commis l'avortement pour risquer l'enfer...
"Pourquoi le droit à l'IVG n'a rien à faire dans la Constitution"
TRIBUNE - Vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel, Anne-Marie Le Pourhiet s'oppose à l'inscription du droit à l'avortement dans la loi fondamentale. Sur l'inutilité...