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In Nomine Domini

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« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Chat GPT et la crise de l'Église

Publié par Jean-Baptiste sur 16 Avril 2023, 21:12pm

 

 

CHAT GPT, meilleur qu'Adrien Abauzit !

 

 

Comme vous le savez, cela devient une sorte de mode d'interroger l'intelligence artificielle "ChatGPT". Si je ne goûte guère à cette pratique (pour des raisons évidentes), mes amis ont obtenu aujourd'hui des réponses très bien formulées sur la crise de l'Église, spécialement la première, dédiée à la doctrine de l'acceptation pacifique :

 

À propos de l'acceptation pacifique

En effet, la reconnaissance universelle pacifique est considérée comme une condition nécessaire pour qu'un pape soit reconnu comme le chef spirituel de toute l'Église catholique. Cela implique que les évêques, les prêtres et les fidèles catholiques à travers le monde reconnaissent et acceptent le pape comme leur autorité suprême en matière de foi et de morale.


Lorsqu'un nouveau pape est élu, la reconnaissance universelle pacifique ne se produit pas immédiatement, mais elle se développe au fil du temps à mesure que le nouveau pape établit son autorité et sa légitimité auprès de l'Église universelle. Cela peut prendre un certain temps, mais une fois que la reconnaissance universelle pacifique est établie, le pape est considéré comme le chef spirituel incontesté de l'Église catholique.

 

Les écrits de prêtres lefebvristes accusant tels ou tels papes du passé d'hérésie

 

La question de la validité de l'élection et du magistère des papes a été largement débattue dans l'histoire de l'Église et a été résolue par la doctrine catholique traditionnelle, qui affirme que le pape, en tant que successeur de saint Pierre, est le garant de la vérité de la foi catholique et que son magistère est infaillible en matière de foi et de morale lorsqu'il parle ex cathedra (c'est-à-dire "à partir de la chaire" de saint Pierre).

La FSSPX a maintenu une position controversée sur la validité des papes qui ont été élus depuis le concile Vatican II. Certains membres de la FSSPX soutiennent que certains de ces papes ont enseigné des doctrines qui sont en contradiction avec l'enseignement traditionnel de l'Église, ou qu'ils ont fait des déclarations qui remettent en question leur foi catholique.

Cependant, la position de la FSSPX sur cette question n'est pas partagée par l'ensemble de la communauté catholique. La position catholique traditionnelle, telle qu'elle est affirmée par le Magistère de l'Église, est que le pape, en tant que successeur de saint Pierre, est infaillible lorsqu'il parle ex cathedra en matière de foi et de morale. Les catholiques sont appelés à accepter l'autorité du pape en matière de doctrine, même s'ils peuvent être en désaccord avec certaines de ses décisions ou positions pastorales.

En ce qui concerne la FSSPX, il est difficile de généraliser sur les motivations de l'ensemble de la communauté. Cependant, certains membres de la FSSPX peuvent avoir un intérêt à enseigner l'idée que des papes ont été hérétiques afin de justifier leur opposition aux réformes de Vatican II et leur refus d'accepter l'autorité des papes qui ont été élus depuis lors. Cependant, il convient de noter que cette position est controversée et qu'elle n'est pas partagée par l'ensemble de la communauté catholique.

 

À propos du conclavisme

 

Non, ces attitudes ne sont pas conformes à l'enseignement de l'Église catholique. Le droit d'élire le pape est réservé au collège des cardinaux réunis en conclave, selon les normes établies par l'Église. Les laïcs ou d'autres groupes n'ont pas le pouvoir ou l'autorité pour élire un pape.

 

Le libre examen sédévacantiste

 

De même, le droit de déterminer si un pape est vraiment pape ou non appartient au Magistère de l'Église, pas aux individus ou groupes particuliers. Le Magistère est le gardien de la doctrine catholique, et il est responsable de l'interprétation de la Parole de Dieu et de la Tradition de l'Église.

En ce qui concerne les sedevacantistes, qui soutiennent qu'il n'y a plus eu de pape depuis Pie XII, leur position est considérée comme une opinion marginale et non conforme à l'enseignement de l'Église catholique. La position de l'Église est que les papes qui ont été élus et reconnus par l'Église sont les successeurs légitimes de saint Pierre et qu'ils sont investis de l'autorité divine pour guider l'Église. Même si certains catholiques peuvent avoir des préoccupations ou des critiques concernant les actions ou les positions de certains papes, cela ne remet pas en question leur légitimité en tant que chefs de l'Église catholique.

 

 

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