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In Nomine Domini

In Nomine Domini

« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Une chrétienne ou une pute ?

Publié le 7 Mars 2019, 21:29pm

 

Pour ajouter à ce que j'ai dit dans mon précédent article sur le fléau de l'immodestie dans la tradition, je recommande vivement la lecture de cet excellent bulletin :

 

Quelques extraits éloquents :

 

« Un refrain répété par les femmes qui suivent la mode immodeste, et qui voudraient réconcilier le Christ avec le monde, est le suivant : “Quel mal y-a-t-il ?” Don Dolindo commente : « Un charbonnier, habitué à avoir les mains noires, croit que sa saleté (non coupable) est normale, alors que les femmes qui suivent la mode et disent : “Quel mal y a-t-il ?” prouvent par là que leur cœur est déjà corrompu et habitué à la saleté morale » (page 13).

 

« Scandaliser, c’est-à-dire faire en sorte que le prochain soit mis en occasion de tomber dans lepéché par notre comportement, est un péché grave(...). En ce qui concerne le scandale Jésus a dit qu’il serait préférable de s’arracher un œil, ou se couper la main, ou finir au fond de la mer avec une pierre autour du cou, plutôt que de scandaliser (Mc, IX,42-47). Don Dolindo commente : « Les femmes qui s’exhibent dans une mode provocante deviennent l’occasion de nombreux péchés en pensée, et c’est déjà un mal très grave » (page 14).

 

« La mode impudique est aussi le triomphe de la matière sur l’esprit ; c’est un regard qui porte plus sur le corps que sur l’âme, et même, c’est presque la négation de l’âme en faveur des caprices du corps. Le cardinal Giuseppe Siri disait : « Plus le corps apparaît plus l’âme disparaît. » Le corps mal habillé est une idole. Don Dolindo compare ceux qui suivent la mode impudique à celui qui vole les âmes à Dieu, parce qu’il les détourne de Lui et les concentre dans la matière et la boue. Le corps mal vêtu est semblable à une idole qui cherche à prendre la place de Dieu, comme quand les Juifs ont construit et vénéré un veau d’or tandis que Moïse parlait avec Dieu sur le Mont Sinaï (p. 15). Satan veut détruire la ressemblance de la créature féminine avec Dieu. La femme est une créature de Dieu, faite à Son image et ressemblance. Maintenant Satan, avec la mode immodeste, cherche à la défigurer en avilissant l’image divine que l’on trouve en elle, pour la remplacer par sa propre image ».

 

« Mais le corps sans l’âme n’est qu’un cadavre. La personne est un corps animé par l’âme, donc la primauté revient à l’âme qui doit enêtre le maître et le diriger, non en devenir l’esclave. Au corps s’ouvre la tombe, à l’âme le ciel. En outre, comme le dit don Dolindo : tu dois penser que le corps finit dans la tombe alors que l’âme est faite pour le ciel (p. 21), tandis que Pie XI enseignait : « Quand vous pensez à votre habillement, ô femmes, pensez aussi à quoi vous réduira la mort » (ibid). »

 

« La plage est l’endroit préféré de Satan. Un des « lieux préférés par Satan c’est la plage en période estivale. Ici l’immoralité se répand parce que le mal, par son énorme diffusion, nesemble plus être le mal, mais il semble normal, quelque chose de légitime et légalisé. » (p. 47) »

(Le bain public mixte constitue pour ainsi dire une spécificité de l'occident dégénéré issu du mouvement hédoniste américain ; au XIXème siècle en France les hommes et les femmes se baignaient dans des tenues couvrantes, la police étant chargée de veiller au respect de la pudeur. Même dans la tradition la plupart des fidèles en sont inconscients, car ils n'ont ni pudeur ni vertu ; et leurs enfants perdent la chasteté vers l'âge de 18-19 ans, comme des chiens).

 

Une chrétienne ou une pute ?

 

L'immodestie vestimentaire représente l'un des pires fléaux moraux car il corrompt toute la société, générant dans l'esprit des hommes un attachement maladif pour la sexualité et les plaisirs profanes, en les détournant de Dieu et du bien. Une jeune fille/femme de 20 ans au sommet de sa beauté, en jupe courte (aux genoux), parfois serrée pour attiser encore le scandale, avec au surplus les hauts talons et tout l'attirail du démon, exerce un attrait très puissant au point que même les âmes les plus vertueuses peinent à s'en détourner.

Dieu punit ce vice avec une grande rigueur, et la Très Sainte Vierge en a parlé de nombreuses fois dans ses apparitions, par exemple à Fatima.

Les hommes de 40 ou 50 ans, dont la femme n'est plus du tout jolie (quand ils en ont une), sont alors tentés de commettre l'adultère ou de commercer avec des prostituées, ruinant leur couple, minant leurs enfants (à cause des divorces), ce qui détruit tous les fondements de la société.

Il s'agit là d'un désordre infini...

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