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In Nomine Domini

In Nomine Domini

« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Ne pas se tromper de maladie

Publié par Jean-Baptiste sur 1 Novembre 2020, 18:29pm

 

Ce soir, je souhaitais me rendre à l'église de mon village, et j'ai eu la consternation de voir affiché sur la porte le mot suivant : "église fermée".

En d'autres termes, durant le confinement, je n'aurai même pas la consolation de pouvoir aller chanter à l'église, alors que je l'ai pu durant toute la période du précédent confinement. C'est ubuesque, je suis presque systématique LA SEULE PERSONNE présente ! Je risque de contaminer qui, les statues ? Et qui va me contaminer moi ?

Comme je l'ai déjà dit ici, je ne crois pas à cette prétendue pandémie, et quand bien même cela deviendrait quelque chose de sérieux, fermer les églises et interdire les messes n'est pas la solution, tout au contraire. Les hommes auront beau faire, ils ne pourront pas retenir les châtiments de Dieu. Pour ma part, je pense qu'il faut plutôt craindre les répercussions économiques de cette gigantesque farce.

Bonaventur Meyer, ami de Mgr Lefebvre, qui s'occupait de Rita B. (la possédée suisse) a répété jusqu'à sa mort que l'événement que nous attendons ne pourrait avoir lieu qu'au moment de la banqueroute européenne (c'est ce qui avait été révélé durant les exorcismes suisses) ; et mon frère disait souvent que pour que cela survienne, il fallait un déclencheur politique : car nos dirigeants ont une grande capacité à "zombifier l'économie", à faire tenir un système qui repose sur la dette. Mais avec une crise politique ou un autre déclencheur de ce type, tout peut exploser. Par conséquent, nous nous dirigeons progressivement vers la situation décrite dans les exorcismes.

Je ne prétends pas connaître les tenants et aboutissants de cette histoire de "coronavirus", avec les théories sur le "grand reset" ou autre, tout ce que je sais c'est qu'il y a anguille sous roche, car nos dirigeants nous manipulent et entretiennent la peur pour une maladie qui est très loin de la peste : vous ne voyez pas vos proches mourir autour de vous comme nos ancêtres victimes de (vraies) épidémies.

Mon frère n'est pas mort du coronavirus, il est mort de la médecine charlatanesque ; or, c'est précisément sous ces motifs "sanitaires" qu'on cherche à nous imposer un vaccin morbide ou d'autres dispositifs tels que le passeport biométrique, et cela fait penser à ce que dit l'Apocalypse sur la marque de la bête. La monnaie sera décrite comme sale, on vantera sa dématérialisation, on nous dira que c'est pour notre bien de nous faire injecter un dispositif transmettant des données sur notre santé, et tout ce qui s'ensuit.

La théorie du "grand reset" n'est pas impossible, mon frère parlait beaucoup de la dette des ménages dans de nombreux pays, où les épargnants ne pourraient pas payer s'ils devaient rembourser l'argent qu'ils doivent (même sans le savoir, en raison notamment de la dette extérieure) à cause de notre économie à crédit ; en ce sens, faire du chantage aux gens en leur disant "on remet tout à zéro mais vous renoncez à toute propriété" serait un bon moyen de les tenir par leurs intérêts, pour ne pas employer de terme vulgaire.

Mais je n'ai pas les compétences économiques de Simon pour évoquer ces sujets en profondeur.

En tout état de cause, cette situation, avec le port du masque et le confinement, relève d'un livre de science fiction. La maçonnerie veut réduire l'humanité en esclavage...

Le diable est content, cela lui permet d'inoculer la maladie la moins crainte : celle du péché ; car plus on songe aux maux terrestres, moins on songe aux maux spirituels.

 

 

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